Il y a 50 ans aujourd'hui 20 janvier, John Fitzgerald Kennedy, prêtait serment par un jour de bourrasque de neige sur les marches du Capitole.
Dans un fameux discours, rediffusé et célébré toute la journée par les télés, les officiels et Obama lui- même, l'Amérique s'est souvenue que ses anciens ont vibré au discours de 14 minutes et de 1355 mots de JFK, ce Président dont l'élection changea le visage de l'Amérique mais dont la mort surtout, à Dallas, un jour de novembre 1963, fit une légende.
"Ne vous demandez pas ce que l'Amérique peut faire pour vous, mais ce que vous pouvez faire pour l'Amérique" est une phrase culte qui est restée dans les livres d'histoire.
Et pourtant, la Baie des Cochons, l'engagement au Vietnam, la maladie cachée, une vie agitée et des liens jamais élucidés avec la Mafia, sont quelques autres images qui collent à la peau de ce jeune et beau Président qui enflamma le monde.
Alors c'est quoi, un grand Président des Etats-Unis? Un discours, une image, une femme, sa femme Jackie, une jeunesse, une énergie redonnée à l'Amérique ou une série de fautes politiques qui ont pesé sur le destin de son pays? Mystère...La chance de la légende Kennedy est sans doute de n'avoir gouverné que 3 ans et d'être mort en martyr. Obama est le premier président noir, celui qui a redonné du tonus à une Amérique plombée par Bush, celui qui a tenu pas mal de ses promesses, mais qui a le malheur de gouverner un pays en crise et qui peut-être ne rêve plus aux héros...
@charlotte : le chat est beaucoup plus chronophage et en plus il gère mal les décalages horaire de ce blog dont l'audience est à l'évidence multi fuseaux horaires.
Rédigé par : Bloggy Bag | 24 janvier 2011 à 09:51
Je vous comprends, mais en me relisant je vois que.... J'avais oublié de dire (à propos du chat)juste pendant The State of the Union!
Pas du tout pour changer tout le blog, je me suis mal exprimé...
Et pour votre placidité... Je vous le reproche. Don't 4get u r AS. Vous voulez que je renvoie une couche de Fr Giroud?
Rédigé par : Charlotte | 24 janvier 2011 à 04:59
@ Francois Fonlac, je ne comprends pas de quelle série vous parlez: Camelot? Et je vois bien votre admiration pour Kennedy... Mais il n'était pas si altruiste que cela, n'exagérons rien...
@ Clara et Mélanie: rien compris a votre aparté sur stevia. On peut être dans le coup?
Décidément le froid qui sévit ici doit m'avoir ralenti le cerveau car je m'apercois que je ne comprends rien a ce qui se passe visiblement... :-)
Rédigé par : Anne Sinclair | 24 janvier 2011 à 01:13
Sylvian, ca m'intéresse de savoir ce que pense un ex expat de retour dans son pays. Au début, tout semble nouveau, mais après? tenez nous au courant.
Rédigé par : Anne Sinclair | 24 janvier 2011 à 01:08
Bloggy Bag, je ne vous ai jamais demandé, mais la Marianne sur votre identifiant, c'est la classique BB??
Rédigé par : Anne Sinclair | 24 janvier 2011 à 01:06
Hermès et Thésée: vous êtes les seuls (jeunes) dieux antiques de ce blog. Vous avez raison, l'autre n'est qu'un usurpateur!
Yul vous répondra mieux que moi, mais l'Amérique regorge de camps de vacances qui ont l'air d'être ce que vous souhaitez!
Rédigé par : Anne Sinclair | 24 janvier 2011 à 01:03
Charlotte, 1) Jan me semble bien vindicatif et désagréable,mais vous connaissez ma placidité
2) sur le chat, je ne crois pas qu'il faille transformer ce blog en autre chose. Entre quelques uns d'entre nous, des relations existent, mais moi je ne me sens pas d'ouvrir un grand chat avec tout le monde...
3) vous avez attiré mon attention sur les chansons détournées. Vous avez raison, j'y veillerai au lieu de valider distraitement.
Rédigé par : Anne Sinclair | 24 janvier 2011 à 01:01
Vous voulez bien alors?
Qui d'autre?
PS ce Jan me semble bien limite
Rédigé par : Charlotte | 23 janvier 2011 à 18:23
Toujours droit à l'essentiel... Enfin, bref, on espère quand même que tout ça ne vous empêchera pas de passer des vacances bien méritées en Tunisie, n'est-ce pas?
Rédigé par : Jan | 23 janvier 2011 à 16:30
"Alors, raconte qui veut, ironise qui veut, je suis ouverte d'esprit et tolérante, surtout face au délire débridé."
Ça nous n'en doutions pas et il en résulte un je-ne-sais-quoi de sagesse et de bienveillance plutôt rare de nos jours.
Rédigé par : Bloggy Bag | 23 janvier 2011 à 12:49
J'ai une idée pour réveiller un peu le blog.... Un chat entre tous ici PENDANT... Enfin, si ça vous tente de le regarder avec L'Ipad sur les genoux... Nous on se couchera une nuit hyper tard et vous chatterez avec nous! (NE PAS PUBLIER SI VOUS VOULEZ PAS!!! Bisous)
Rédigé par : Charlotte | 23 janvier 2011 à 12:47
La famille Obama se met au chinois
La Maison Blanche gardait un atout caché pour étayer le G2, le directoire mondial Chine-USA: Sasha Obama, la plus jeune fille du président américain, âgée de 9 ans, apprend le chinois, a-t-elle révélé cette semaine, à l'occasion de la visite d'Etat de Hu Jintao. Sasha a même eu l’occasion de tester ses premières phrases auprès du président chinois, a fait savoir l'entourage d'Obama. « Elle a eu cette chance et je pense que cela témoigne de l’intérêt pour la Chine aux Etats-Unis, et de notre désir de mieux connaître ce pays » a expliqué Ben Rhodes, conseiller à la Maison Blanche.
Rédigé par : Charlotte | 23 janvier 2011 à 12:34
@Hi and thanx Sy(lvain)!
Je l'ai souvent pensé, mais TU l'as fait...:-)
Congrats&xoxoxo.
Rédigé par : Mélanie | 23 janvier 2011 à 11:24
Bienvenue Sylvain sous le ciel parisien. Pour les derniers jours de l'expo Monet, c'est nuit et jour ; il parait que quelle que soit l'heure, c'est 2h de queue.
Rédigé par : Françoise Dumont | 23 janvier 2011 à 10:25
Dear Mélanie,
Yes, I like stevia... It seems you have read my article in the newspaper ♥
Rédigé par : Clara | 22 janvier 2011 à 23:18
@ Yul : Désolé de ne pas avoir pu vous répondre avant. Pour les E.U, c'est un rêve mais je ne sais pas s'il se réalisera cette année. D'ailleurs, est ce qu'il existe chez vous, ce qu'on appelle ici des "colos" ou si vous préférez des camps d'été qui permettent de se retrouver avec des jeunes de la nationalité du pays.
@ Mme Sinclair
"plus si jeunes que ça" ? Qu'est ce qu'il ne faut pas lire. Je suppose que vous êtes fière de vous ? Enfin, ça a eu le mérite de me faire rigoler mais attention en juillet.... la vengeance sera terribleeeeee.
Au fait, je suis d'accord avec Syvain mais pour une autre raison. C'est qui cet Hermès usurpateur de pseudo ?
Rédigé par : Hermès et Thésée | 22 janvier 2011 à 22:41
Le Président
L’opposition à chaux vomit la bile de ses jours de soufre
Expectorant des crachats de rancœurs au-devant de la tradition
Nourrie par un nihilo-cynisme s’effritant de vieux pots de fer
Une querelle éternelle faisant l’objet d’une friction magnétique
Entre les pouvoirs olympiens et les contre-pouvoirs icariens
Aucun respect pour la figure tutélaire de la magistrature suprême
Ni pour aucune loi nationale toujours plus inique que la veille
Les tendances molles de l’anarcho-syndicalisme descendu des filatures
Quand l’homme arc-bouté sur son métier mourrait d’une arthrose crânienne
Un peu ignorant des combines et des coulisses qu’il faut bien admettre
Il trône sur son char Leclerc mandaté par une adhésion populaire
Sous les dorures de l’Élysée où les manigances sont filles du pouvoir
La moindre brindille de pensée secoue les rameaux du parti pris
Faisant tomber les enclumes clichées du large panel des déjà vus
Pas une systole de bon cœur contre la mauvaise fortune du pardon
Rédigé par : atlas | 22 janvier 2011 à 19:44
Sylvain, vous avez raison, j'ai publié ces parodies de chansons pour montrer la dérive de certains, mais ça suffit, c'est vrai, je crois que vous avez tous compris.
Quant à la distance, je n'en mets pas tant que cela et il me semble que je couvre avec intérêt (peut être le vôtre n'est plus là?) ce qui se passe ici et qui continue de me passionner.
D'où ma réponse à Bloggy Bag: je n'avais pas vu le sketch de Bedos fils. Il faut laisser les humoristes se débrouiller avec leur humour, et il semble le faire avec gourmandise. A chacun d'apprécier selon ses limites.
Pour ma part, tout va bien, Washington est une ville où je me plais contrairement à ce qu'affirment les gazettes (mais les gazettes...!) et ce blog en est témoignage. Alors, raconte qui veut, ironise qui veut, je suis ouverte d'esprit et tolérante, surtout face au délire débridé.
Rédigé par : Anne Sinclair | 22 janvier 2011 à 19:06
C'est quoi être grand (président ou pas d'ailleurs) ?
Savoir voir au-delà de l'horizon, être présent juste là où il faut le temps qu'il faut, imprimer une part de mystère dans l'esprit de l'autre pour qu'il projète sur vous ses espoirs et ses idéaux.
En somme, c'est savoir être là juste à la bonne dose dans les temps présent et futur pour laisser dans le souvenir des hommes le meilleur d'eux-même. C'est une présence, un rapport au temps.
Rédigé par : Bloggy Bag | 22 janvier 2011 à 11:08
NB : au cas où le post censurait l'article, la vidéo est la
http://www.dailymotion.com/video/xgob2p_nicolas-bedos-se-demene-pour-dsk-fun-fog-210111_fun
Rédigé par : Bloggy Bag | 22 janvier 2011 à 10:56
Aparté digressif sur un extrait vidéo transgressif : http://www.lepost.fr/article/2011/01/22/2379449_bedos-sarkozy-un-vrp-cocaine-s-est-paye-a-coup-de-pub-la-france-pour-epater-une-chanteuse-de-variete.html
Alors comme cela Anne, les soirées à Washington manqueraient quelque peu du sel irrévérencieux d'un Bedos père ou fils ?
Rédigé par : Bloggy Bag | 22 janvier 2011 à 10:56
@Hi Clara!
un peu off-topic: do you like "stevia"?...;-)
Amitiés&xoxoxo.
Rédigé par : Mélanie | 22 janvier 2011 à 09:09
Anne, pourriez-vous cesser de publier une bonne fois pour toutes les chansons détournées d'Hermès ? Votre blog est lu par beaucoup. On pourrait vous le reprocher plus tard. Je sais que vous publiez ce genre de message pour montrer à quel point c'est stupide mais là ça commence à polluer le blog. Ça pue et c'est hors sujet.
Avez-vous remarqué que la Sinclairie s'endort (à part quelques irréductibles bardes...) depuis que vous avez pris quelque distance pour vous protéger des papparazzi politiques et vous isoler afin d'écrire ce fameux livre ? On ne sait plus où vous êtes sur la planète, nous on aimait bien. On comprend mais vous nous manquez !
Je suis de retour en France. Ravi de redécouvrir ma culture (le vouvoiement, le ton feutré des conversations, etc.). L'Amérique ne me manque pas !
Rédigé par : Account Deleted | 22 janvier 2011 à 07:35
WASHINGTON, DC - JANUARY 20: Colin Goddard, shot 4 times in the Virginia Tech massacre, now works for the Brady Gun Violence center, January, 20, 2011 in Washington, DC. (Photo by Bill O'Leary/The Washington Post)
By Petula Dvorak
Thursday, Jan 20, 2011
"Yeah, yeah, yeah," he would hear, one navy blue suit nodding to another.
They would listen to what Colin Goddard had to say, shake his hand, then open the door for the next Washington lobbyist or constituent.
See, Goddard doesn't really warrant a second glance on Capitol Hill. He's a tall, well-spoken, broad-shouldered 25-year-old with a good suit and purposeful handshake. Plus, the arguments he was peddling on sensible gun control had been heard before.
But as Goddard was giving his earnest, wonky spiel about banning the kind of magazines that Jared Loughner allegedly used to spray gunfire in Tucson or requiring background checks on people who buy weapons at gun shows, those listening didn't know there were three bullets painfully worming their way through his body.
If he wriggled in his seat too much, it hurt. And if you touched his skin in a certain spot, you could feel the outline of one of the 9mm hollow-points poking through.
So after trying to play it straight for a while - just another young climber doing his time in the marbled halls of Congress - Goddard realized that he had to speak up about why he cared so deeply about this issue.
"The whole dynamic changed once I told them," Goddard said.
He told them what it felt like to be in French class at Virginia Tech on April 16, 2007, conjugating verbs one minute, then trapped in what looked like a bloody war movie the next.
He told them how feels to be shot four times - left knee, left hip, right shoulder, right hip. (No pain, at first. Just the trickle of blood.)
He told them what it's like to see a pile of bodies so high, the police can't open the door.
And he told them that the 32 people killed at his college that day by Seung Hui Cho might still be alive if it hadn't been so easy for Cho to get the semiautomatic handguns he used.
Gun control activists are often grieving parents, a Million Moms marching. Rarer among their ranks: a 6-foot-3 guy with a high and tight haircut and an easy way with a shotgun.
Goddard's a former ROTC student. He's a sportsman. Three months after he was shot at Virginia Tech, he went wild-duck hunting in Madagascar. His knee hurt a little. But firing a shotgun at Daffy? No problem.
He went on with his life - graduation, internships, job.
But when an oceanography class at Northern Illinois University in Dekalb was interrupted on Valentine's Day 2008 by a graduate student who went off his medication and fired three pistols and a shotgun into the stadium-style lecture hall, killing six, Goddard's mind went right back to that day in French class.
"I was glued to the TV watching it all. Minute by minute, reliving it all," he said in an interview this week.
And that's how he wound up taking a job at the Brady Center to Prevent Gun Violence.
"I didn't even know who Jim Brady was," he said. "My generation doesn't even know about Jim Brady," the press secretary who was shot and partially paralyzed during an attempted assassination of President Ronald Reagan in 1981. "But this is my generation's issue. We are the ones who grew up doing gunfire attack drills in class. Why shouldn't we do something about this?"
He has gone undercover at gun shows all over the nation, his hidden camera capturing how easy it is to buy an assault rifle from someone for $400, no identification necessary.
"It's like buying a TV. Or a sofa," he said.
Apparently, that's not enough for the lawmakers from both parties who are ignoring the bill introduced in the House this week by Rep. Carolyn McCarthy (D-NY) that aims to limit the high-capacity magazines used in these mass shootings.
Come on, now. If you're not going to listen to Goddard - a guy who knows guns and likes to shoot them, who hunts, who walks around with bullets in his body - then what will it take, lawmakers?
When are you going to stop saying "yeah, yeah, yeah" and really listen to what the folks fighting for sensible gun control are saying?
Maybe watching a movie about it will help. Goddard's journey from college student to gun control advocate was made into a documentary, "Living for 32," that will be shown at the Sundance Film Festival next week. Produced by Maria Cuomo Cole and directed by Kevin Breslin, the documentary is on the short list for an Oscar, too.
The timing for the film couldn't be better, given the shootings in Tucson.
Goddard was furious that day. And he asked the question we all should be asking.
"How many is it going take? How many?"
"I'm sitting here watching all those images again. The ambulances. The people crying. The police racing. The flowers. The candles," he said, sitting back in his chair and looking up at the ceiling. "How many is enough?"
E-mail me at [email protected]
Rédigé par : Charlotte | 22 janvier 2011 à 03:53
Vendredi 21 janvier,
Le cow boy Malboro....
The key to this success was its transparency. Place lone ranch against a backdrop of buttes at sunset, and just about every positive association a cigarette can carry is in the picture, rugged individualism, masculin sexuality, escape from an urban modernity, strong flavours, the living of life intensely. The Malboro marks our commercial's culture passage from an age of promises to an age of pleasant, empty dreams....
Jonathan Franzen
Et il continue plus loin....
Time stops for a duration of a cigarette, when you are smoking you're acutely present to yourself; you step outside the unconsious forward rush for life. This is why the condamned are allowed a final cigarette, this is why (or so the story goes) gentlemen in evening dress stood puffing at the rail as the Titanic went down, it's a lot easier to live the word if you're certain you've really been in it.
JFK était ce riche passager du Titanic, aucun doute dans son esprit, il habitait pleinement sa vie, il avait et garde une présence au monde qui lui a permis de le quitter avec légèreté et ce malgré les circonstances tragiques de sa mort.
Et c'est cette légèreté, cette vie partie en fumée, que l'on garde en mémoire. Camelot.
La série Mad men, les hommes de Madison Avenue, ceux de la publicité, décrit superbement cette période, le temps de la cigarette triomphante.
Et l'épisode qui relate l'assassinat du président Kennedy est un vrai petit bijou. Pourquoi parce que la série mélange merveilleusement la vie ordinaire des gens avec la grande histoire.
Le bureau avec tout New-York s'est arrêté de vivre. On voit tous les protagonistes qui nous sont devenus familiers, que l'on commence à connaitre comme des proches, éberlués, désemparés, se regrouper devant les postes de télé en noir et blanc.
Ils pleurent, l'incompréhension, la peur, la peine, tout ça est immense.
Mais ceux qui sont le plus affectés, et d'abord la femme du héros de la série, sont ceux pour qui la vie était déjà très lourde.
Et en face de la légèreté du grand héros qui vient de rejoindre sa légende la vie semble encore plus pesante à supporter.
Et le trait de génie des scénaristes est d'avoir imaginé la tenue d'un mariage qui se passe le lendemain de l'assassinat.
Le mariage événement léger par excellence pèse ce jour là des tonnes avec tous les invités qui s'esquivent à un moment ou à l'autre dans l'arrière cuisine pour regarder les nouvelles.
Et pour conclure à votre avis pourquoi les Kennedy gardent-ils un tel aura , n'est pas parce qu'ils ont mis leur richesse au service de tous, mal acquise certes comme d'autres à travers un quelconque cow boy Malborough mais dépensée et mise au service du public. Devenue ainsi utile.
Pendant que les pauvres petites filles riches de leur temps les Doris Duke, héritière du tabac ou pire sa copine Barbara Hutton, gâchaient la leur et passaient de maris en gigolos une vie très malheureuse.
Non l'argent ne fait pas toujours pas le bonheur cinquante ans plus tard mais l'Industrie du tabac est toujours vivante et elle avec ses copines, les autres grandes corporations, elles ont perdu pour la plupart tout sens de la responsabilité vis à vis de la société qui fait leur richesse. Elles ne gardent l'œil rivé que sur leur bottom line, leurs profits et le cours de leurs actions.
Et c'est toute la différence avec l'époque et l'action des Kennedy, ce passage du temps des promesses à celui des rêves plaisants mais vides.
Rédigé par : François Fonlac | 21 janvier 2011 à 21:53