Elle m'épate, Hillary. Je l'ai toujours trouvée formidable, au fait des sujets, connaissant parfaitement ses dossiers, une bûcheuse qui ne mâche pas ses mots. Et ma tête et mon coeur étaient partagés pendant le début des Primaires, avant deréaliser que seule l'élection de Barack Obama était vraiment historique. Ce qui fut. Mais si seulement il l'utilisait plus souvent...
Bref, au Pakistan, elle a fait très fort! Vous connaissez l'expression consacrée des diplomates - et qui ne veut rien dire - "les échanges ont été francs et constructifs"... Hé bien constructifs, je ne sais pas encore, mais francs sûrement!
D'abord, consciente du gouffre qu'il y avait entre les deux pays, faits de méfiance et de rancoeurs, elle n'a pas hésité à l'admettre. Ensuite, elle a vu tout le monde: non seulement elle a rencontré les officiels, bien sûr, mais aussi l'opposition, la presse, les milieux d'affaires et les étudiants. Elle a fait comprendre à tous ses interlocuteurs qu'après tout, si les Pakistanais voulaient voir rogné leur territoire par les Talibans, ça pouvait être leur choix, mais que c'était dommage!
Les étudiants ne l'ont pas ménagée, elle l'a pris avec bonne humeur et élégance. Elle a reconnu la justesse de leurs critiques sur le fait que les Pakistanais avaient eu l'impression d'être trahis par les Etats-Unis et a ajouté: "c'est pour cela que je suis venue, pour réparer une confiance rompue".
Aux chefs d'entreprise, elle a gentiment fait remarquer que le luxe de la salle où ils étaient réunis, contrastait drôlement avec le niveau de développement du pays (le Pakistan est 141ème sur une peu plus de 180 pays).
Enfin devant les journalistes, Hillary y est allé franchement en disant "c'est dur d'imaginer que dans votre gouvernement, personne ne sache où sont les leaders d'Al Qaida qui ont fui depuis 8 ans l'Afghanistan, et que personne n'arrive à les attraper, sous réserve qu'on veuillevraiment le faire". Ce qui s'est toujours dit en privé fut dit pour la première fois publiquement.
La diplomatie ne consiste pas toujours à tresser des couronnes au pays qui vous reçoit, ni se défendre mollement devant eux quand on a commis des fautes. Elle a reconnu les torts de son pays et a mis le Pakistan devant ses vérités. Ça ne manque pas de classe. Imaginez-la au Quai d'Orsay: elle en ferait trembler les lustres!!
Elle part pour Jérusalem demain, voir Israéliens et Palestiniens. Si elle pouvait leur parler ainsi!
Le problème, c'est que dans les vidéos que j'ai vues, elle ne répondait pas aux questions ☻☻☻☻☻☻☻☻
C'était, il est vrai, un montage qui rendait la chose encore plus agonisante, mais elle déviait à chaque fois pour répondre à ses propres questions. Après, j'imagine qu'elle n'était pas dans une position facile non plus et c'est courageux de sa part d'y être allé et d'avoir rencontré tout le monde comme vous dites.
http://frketchup.blogspot.com
Rédigé par : Ketchup | 02 novembre 2009 à 18:52
Mon Dieu, Idéfix, quelle odyssée! Je comprends que cela marque une vie...
Rédigé par : Anne Sinclair | 01 novembre 2009 à 18:50
Bonjour Anne, bonjour la Sinclairie !
HRC est une femme de grande qualité comme le paysage politique américain n'en compte pas beaucoup (puisse Mrs Campbell Brown me contredire lol), il n'y a rien à redire.
S'agissant de l'endroit ou se seraient retrachés les manitous d'Al Qaida et leurs anciens protecteurs Talibans, comment peut-elle (et son administration avec) reprocher aux dirigeants Pakistanais de faire semblant de ne pas savoir ce qui est en réalité un secret de Polichinelle ? Nous savons tous qu'ils sont dans les zones dites tribales qu'évoquait Michèle (l'autre, pas la femme de qui vous savez!) et que si l'armée pakistanaise s'est avérée "incapable" de les y déloger militairement, c'était avant tout, du moins jusqu'à récemment, pour des raisons de stratégie purement interne à ce pays complexe, raisons qui n'échappent d'ailleurs pas aux services secrets qui adressent moult rapports au POTUS. Cela fait des années que les renseignements militaires pakistanais ont fait un deal avec ces chefs terroristes, moyennant lequel les premiers faisaient semblant de faire la guerre aux seconds qui de leur côté s'engageaient à ne pas porter le chaos dans les villes pakistanaises, se contentant de combattre l'ennemi américain à partir de ces "imprenables" bases arrières. Une stratégie qui à l'évidence ne peut être payante sur le long terme du point de vue pakistanais, mais qui a permis pendant longtemps à Perez Musharaff de marcher sur des oeufs tout en garantissant un semblant de sécurité sur le territoire sous contrôle gouvernemental. Son successeur ayant choisi, sous l'impulsion des Américains, de passer en force, les islamistes lui envoient des signes qui doivent lui donner à réfléchir. Bien sûr que son gouvernement, pas plus que les Américains, n'ignorent la localisation plus ou moins précise du Saint Graal Al Quaeda-Talibans au pakistan; mais ont-ils, les uns les autres, les capacités à la fois militaires et stratégiques de les y déloger sans que le prix n'en soit un Apocalypse pakistanais sur le modèle irakien ? That's the question.
Quant au Proche-Orient, Abbas a dit à Hillary qu'un arrêt des implantations (des colonies) était la condition sine qua non de la reprise des négociations avec Israel. Ce qui me semble une exigence minimale. J'attends de découvrir de quelle franchise Mme Clinton fera preuve devant Lieberman et ses amis. Il me semble que tous temps, les officiels Américains ont toujours tourné sept fois leur langue avant de parler aux dirigeants de l'Etat hébreu, là ou ils ne la tournent même pas une seule fois avant de s'adresser aux autres alliés, y compris quand il s'agit du pays qui est censé habriter jusqu'à ce jour un certain Oussama Ben Laden. Vivement le virage Obama-Biden-HR Cliton, dans les ACTES !
Rédigé par : Blaise d'Ottawa | 01 novembre 2009 à 18:49
Bonjour Anne,
Bonjours Toutes et Tous,
Il a fallu que je renoue avec mon fournisseur chez lequel, je suis sûr de trouver de la bonne, de l’authentique, de la pure! C’est un ami d’enfance qui hante les, maintenant rares, arrière-salles de restaurants du quartier de Montmartre où, après que les Taffinas aient été servies, les cartes sortent et les parties de Rami et de Belote commencent. Les joueurs s’interpellent, les bons mots fusent et les blagues circulent de table en table. Mon ami ignore encore l’existence d’internet, mais le portable l’a atteint, tout de même, et il s’empresse de m’appeler pour me faire partager la dernière….
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Sarah et Samuel fêtent ce soir leur 25ème anniversaire de mariage. Mariage heureux et tendre, ils s’aiment encore comme au premier jour. L’évènement est de taille mais Samuel ne sent pas Sarah très heureuse. Samuel lui demande :
- Sarah, qu'est-ce que tu as ? Cela nous fait 25 ans de mariage et tu ne parais pas très heureuse.
Sarah, lui répond alors d'un air triste :
- Tu sais Samuel, en 25 ans de mariage, tu ne m'as jamais rien acheté.
Samuel la regarde étonné et dit :
- Mais Sarah, tu ne m'as jamais dit que tu avais quelque chose à vendre... !
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Après avoir commis ce délit, je puis malgré tout vous affirmer que j’ai eu beaucoup de plaisir, également, à suivre sur Arte l’émission consacrée à Rahel Levin – Varnhagen , brillante personnalité prussienne du XIXème siècle. Femme intelligente et en avance sur son temps (son mari avait 15 ans de moins qu’elle, preuve s’il en fallait qu’elle était incroyablement moderne).
Plus ancré dans l’actualité, à part Hillary qui fait escale à Marrakech :
Bakchich dément Môssieu Charles. http://www.bakchich.info/Pasqua-Marchiani-Gaydamak-faux,09146.html Il n’avait rien à voir avec la libération des pilotes otages en Serbie. Les vannes sont ouvertes et il faudra s’habituer, de part et d’autre, à des révélations et à des démentis.
Ce blog est tolérant et l’expression ou l’imagination y sont parfois incroyablement exubérantes et déjantées.
Mythomanie ou affabulation ? Réalité ou bien fiction ? Permettez cette contribution….
Ce n’était pas le vol que je devais prendre.
Quelques autorités de la République d’Afrique Equatoriale marxiste-léniniste où se situaient mes affaires en avaient décidé autrement. Celui de la veille était parti sans moi.
Ma fille était née à Paris un mois et 3 jours avant. J’étais loin d’elle et de sa maman depuis une quinzaine de jours et j’avais hâte de les retrouver. Avant de rejoindre Paris Charly Airport, le DC10 de la compagnie africaine, au fond duquel j’avais trouvé une place, devait passer par les escales de Bangui et de Rome.
Au petit matin, l’avion décolla de Fiumicino, l’aéroport romain, vidé d’une bonne moitié des personnes qu’il transportait. Il devait être un peu plus de 6 heures du matin. Au bout d’une dizaine de minutes de vol, les passagers de l’avant de l’appareil refluèrent précipitamment vers l’arrière et la cabine de queue dans laquelle je me trouvais. Parmi eux, Jean Claude B., un copain Représentant du PNUD. Tout excité, il me gueule : « Putain, on est détourné ! » Son humour n’était toujours pas du meilleur goût et je ne pouvais croire à ce qu’il disait : « Arrête tes conneries ! Que se passe-t-il ? » L’angoisse d’un coup me saisit alors pour de bon ! Avec tous ces visages livides et apeurés autour de moi, je me sentis blêmir moi aussi. J’entendis Jean Claude me dire que le « pirate » avait brandi une arme et montré sa ceinture d’explosifs à l’avant de l’appareil, qu’il avait chassé les passagers vers l’arrière et qu’il était entré dans la cabine de pilotage. Nous devions être maintenant à 7 ou 8000 mètres d’altitude.
La peur, l’angoisse, la trouille, la folle inquiétude ! Nous étions tous dans la même cabine arrière, aux prises aux mêmes sentiments. On comptait parmi les passagers, environ, quatre-vingt européens et une trentaine d’africains, hommes, femmes et enfants. L’équipage commercial, hôtesses et stewards, était africain et le personnel technique européen. Au bout d’une dizaine de minutes, la voix calme du pilote se fit entendre par les haut-parleurs. Il nous signala simplement que nous allions nous poser à Genève pour faire un plein de carburant. Une trentaine de minutes de vol nous séparait de notre prochaine escale. Elles durèrent une éternité. Je me tordais de douleur, la peur panique d’une explosion en plein vol torturait mon ventre. J’allais et venais dans le couloir au milieu des autres passagers, la plupart assis et apeurés. Toutes mes pensées convergeaient vers mon épouse et ma petite fille que je n’allais, peut-être, plus jamais revoir… !
Enfin les roues arrières du train d’atterrissage embrassèrent le sol suisse et je me jurai de ne pas aller à Beyrouth, destination finale décidée par le pirate, membre du Hezbollah. Il s’appelait Harriri, comme le propriétaire d’un certain appartement … -:)!
Les passagers africains furent soulagés d’apprendre qu’ils seraient renvoyés à Paris immédiatement après l’arrivée à Beyrouth. Les soixante quatre Français à bord devraient rejoindre leurs compatriotes otages qui croupissaient dans la capitale libanaise depuis des mois et des années.
Les minutes, redevenues longues, passaient. Deux ou trois heures. L’avion était en stationnement à un endroit isolé de l’aéroport, portes fermées. Personne ne fit attention au nom qui fut appelé par les haut-parleurs, ni au jeune homme qui s’était alors levé et dirigé vers l’avant de l’appareil. Personne n’entendit le coup de feu qui claqua sur sa nuque ni le bruit de son corps, sans vie, jeté au bas de l’appareil. C’est le Chef de Cabine qui vint aussitôt nous en avertir.
Le plein en carburant put alors démarrer……
Depuis l’âge de 20 ans, j’en avais alors 37, j’avais passé ma vie dans les avions. Les pilotes, les stew, les hôtesses, je les connaissais presque tous, au moins sur cette ligne. « Vieux Elouma, nous n’irons pas à Beyrouth ! Le pirate tuera un autre passager et l’autorisation de décoller sera donnée par les Suisses et ce sera terminé pour nous ! Pas question d’aller croupir à Beyrouth. ! »
L’avitaillement s’était achevé sans que les policiers interviennent. Les passagers, dans leur ensemble, semblaient passifs et résignés. Deux policiers français du STIP montés à Bangui étaient restés tétanisés sans chercher à intervenir. Avec Jean Claude B., le Représentant du Pnud, un Iranien, Firouz, ancien Secrétaire d’Etat du Shah d’Iran, alors Expert de la Banque Mondiale à Bangui (il préférait mourir cent fois à Genève plutôt que de se retrouver dans les mains du Hezbollah) et un autre Français nous envisagions toute solution pour nous libérer.
Au moins, deux longues heures s’étaient écoulées depuis que le plein de kérosène avait été effectué.
Les haut-parleurs lâchèrent un nouveau nom. J’avais anticipé cela et je m’étais positionné, couloir droit, dos à l’avant de cette cabine, contre le rideau fermé qui nous séparait de la cabine centrale. Un autre petit jeune homme s’était levé et, dans l’inconscience la plus totale, se dirigeait vers moi pour rejoindre le terroriste. Je lui intimai l’ordre de retourner à sa place, puis me décalant vers le centre, d’une voix autoritaire, j’informai les autres passagers que nous allions ouvrir les quatre portes arrière du DC 10, qu’il nous faudrait emprunter les deux portes côté droit pour ne pas être vus. Cédant à un réflexe de précaution, je lançai tout de même : « Personne n’est contre ? » Aucune réponse dans les deux secondes qui suivirent, je donnai l’ordre d’ouverture des portes et me dirigeai vers celle de gauche qui était à côté de moi pour l’ouvrir. Tous les passagers se levèrent en même temps et se précipitèrent vers les sorties indiquées dans un bref moment de panique.
Un seul toboggan s’était ouvert. Celui de la queue à droite. Des passagers, dont Firouz, sautèrent de l’autre porte de queue, d’une hauteur de 6 ou 7 mètres sur le béton de la piste et se blessèrent très grièvement. Je me mis en embuscade à côté du rideau du couloir à droite. Dans le cockpit des voyants avaient dû alerter le terroriste. Les secondes maintenant duraient des heures. Je me concentrai sur le moindre bruit qui pouvait me prévenir de son irruption dans notre cabine. Un bain de sang pouvait s’en suivre.
La porte ouverte à l’avant de la cabine donnait sur l’aile de l’avion sur laquelle s’entassait un groupe de passagers qui hésitaient à sauter. Presque deux minutes s’étaient écoulées et je décidai de rejoindre la porte au toboggan. Quelques passagers s’y bousculaient encore empêchant un père et sa toute petite fille de l’emprunter. J’intervins et les fis passer devant. Au bas du toboggan je vis la jeune maman morte d’angoisse dans l’attente qu’ils la rejoignent. Quelques secondes encore, dernier à quitter l’avion, je touchais enfin le sol suisse !
Le terroriste avait été effectivement alerté par les signaux déclenchés à l’intérieur du cockpit, il avait alors couru vers l’arrière. Par chance, il devait passer au milieu des stewards africains qui, courageusement, l’interceptèrent. Une balle fut tirée qui atteignit Elouma au ventre, sans trop de gravité heureusement. La police suisse put intervenir avant qu’Harriri, le terroriste, ne fut lynché par l’équipage.
Dès que nous fûmes tous regroupés dans une salle, des policiers me demandèrent de les suivre. Des passagers s’écrièrent : « C’est lui qui nous a sauvé ! ». La maman de la petite fille vint vers moi, bras et main tendus. En me serrant la main, elle me dit : « Merci, heureusement qu’il y a encore des hommes comme vous ! » Pas un instant, durant cette période intense, je n’avais pensé aux miens ! Je n’avais pensé qu’aux autres.
Il devait être 15 heures. Nous sommes restés à l’isolement « pour notre sécurité ». Nous avions à boire et à manger, mais coupés du monde (il n’y avait pas de portable à cette époque). Tardivement dans la soirée, un avion fut mis à notre disposition. Nous arrivâmes vers 21 heures directement au Pavillon d’Honneur de CDG, « toujours pour notre sécurité », loin de la presse et des curieux.
Fiction ? Vous pourrez « Google-er » tant que vous voudrez ! Vous ne trouverez pas une quelconque trace des éléments de ce récit ou si peu.
Fanfaronnade, élucubration… ?
Les services de Môssieu Charles, qui était aux commandes à l’époque, avaient été efficaces pour tout taire, tout couvrir de cette affaire qui révélait la proximité d’un des principaux acteurs et amis de la Françafrique. Circulez, il n’y a rien à voir !
Il y a bien eu des journaux télévisés ce jour-là. On en a parlé effectivement. Mais le moteur de recherche de l’INA ne vous donnera rien.
Sauf qu’il est difficile de tout effacer. Sur le site de l’INA, on peut consulter le journal de sa date de naissance…
http://www.ina.fr/video/CAB02066492/ja2-20h-emission-du-24-juillet-1987.fr.html
Les quatre ou cinq premières minutes, en observant bien vous vous rendrez compte qu’il y a des tas de choses qui clochent…. On ne voit qu’un seul «passager otage ( !?!?) » à qui les « journalistes » soufflent la réponse à leur question. Le Premier Ministre de l’époque, qui parle de la ville d’où était justement parti l’avion (coïncidence ?), et qui remercie un Président Africain qui n’y était pour rien ! Les Suisses seuls géraient cette affaire, comme ils le font pour l’affaire Polanski, depuis le moment où l’avion était entré dans l’espace aérien de leur pays, peu avant 7h du matin ce jour-là !
Entre l’actualité et l’histoire, il y a le facteur temps qui permet de décanter la vérité. Les journalistes finiront bien par s’y intéresser !
Rédigé par : Idéfix | 01 novembre 2009 à 18:28
Si ce n'est pas vous, alors c'est Typepad qui fait des siennes...
LES NOTES RÉCENTES
Connaissez vous le "power jean"?
Halloween
Drôle d'accueil au Pakistan
Le job de Président
Le temps des conservateurs est venu nous dit-on...
A la place de Connaissez vous c'est Hilary qui devrait s'y trouver...
Je trouve honnêtement que parfois dans la programmation typ déconne un max...
C'est comme lorsque vous mettez en ligne un fichier audio il ne place pas toujours le pavé de lecture à tous...comme sur ma note ou seul Carolan's concerto le cposséde...Les autres faut toujours cliquer droit pour ouvrir un nouvel onglet!
Je vas gueuler je sens ça!
Rédigé par : Account Deleted | 01 novembre 2009 à 18:09
Zai rien fait: juste publié dans l'ordre...
Rédigé par : Anne Sinclair | 01 novembre 2009 à 17:52
Il y a un binz ou un bin's c'est comme vous voulez!
Qu'avez vous fait malheureuse!
La dernière note est l'avant dernière et réciproquement!
Enfin c'est la pagaille...
Mon com sur Hilary se trouve donc sous le jean...
Wouaf !
Ou bien c'est mon pc qui déconne, remarquez il flotte aujourd'hui...l'a peut être pris l'eau!
Rédigé par : Account Deleted | 01 novembre 2009 à 17:43
01/11/2009
Coupable d'avoir aidé une malade ?
SOCIÉTÉ. Les magistrats ne sont pas si méchants que ça: mercredi dernier, cette Camérounaise n'était après tout convoquée au palais de justice des allées Jules Guesde à Toulouse que pour un simple rappel à la loi.
Vous avez hébergé une compatriote à la recherche d'un titre de séjour comme il peut en être accordé aux étrangers souffrant d'une affection d'une «exceptionnelle gravité», aurait pu lui signifier la délégué du procureur. On peut comprendre, aurait-il poursuivi: admettez donc que vous avez enfreint la loi en hébergeant une clandestine et vous serez dispensée de peine.
Sauf que l'hébergeante, reconnaissant l'hébergement, n'a pas voulu admettre qu'aider une malade très lourdement affectée puisse constituer un délit. Ce rappel à la loi devenait dès lors impossible. Et c'est la loi tout court qui peut encore lui tomber dessus. L'affaire passe entre les mains du procureur en titre qui a le choix entre un classement sans suite et la correctionnelle...
La Cimade, la Case Santé Arnaud Bernard et Réseau Éducation sans frontières n'attendront pas de savoir quel sort sera le sien: «une fois de plus, protestent ces associations, preuve est faite, malgré les constantes dénégations du ministre de l'Intégration Eric Besson, que le délit de solidarité existe bel et bien en France».
Le texte de loi européen réprimant l'aide au séjour des étrangers en situation irrégulière fait la part des choses: sont visées les personnes qui pratiquent cette aide «à titre lucratif». Les passeurs, notamment.
Les associations demandent une application stricte de ce texte et entendent dénoncer ce qu'elles considèrent comme des «débordements» d'un gouvernement pressé de reconduire le plus de monde possible aux frontières.
«Même muni de certificats médicaux dans les formes, il devient de plus en plus difficile d'obtenir de la préfecture de Haute-Garonne un formulaire de demande de ce type de titre de séjour», expose la Case Santé.
«Un simple franchissement de rue hors des passages piétons ou le fait d'avoir craché par terre devient un motif de reconduite à la frontière», déplore le représentant de la Cimade au centre de rétention de Cornebarrieu. Celui-ci a même vu passer le cas d'un étranger clandestin retenu pour avoir aidé une vieille personne à se relever après une chute dans le rue.
Les deux Camérounaises n'ont pas eu à cracher par terre pour se faire toper. Ce sont des compatriotes de l'hébergée qui ont dénoncé les deux femmes à la PAF, Police de l'Air aux frontières, avec l'adresse où les trouver et leur numéro de passeport. Le diable se cache partout.
GLv.
http://www.libetoulouse.fr/2007/2009/11/coupable-davoir-aid%C3%A9-une-malade-.html
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 01 novembre 2009 à 15:34
Hillary vient d'arriver à Marrakech, Jacques Chirac y passe comme par hasard quelques jours de vacances... Il y a anguille sous roche... J'attends avec impatience le prochain livre de Jacquouille. Après Giscard "Destin" et Lady "Died", tout est possible !
Rédigé par : RobertBizolier - Marrakech | 01 novembre 2009 à 13:49
@ Fredéric de Val du marne:
Chère Anne, ne sachant à quelle étape vous butez, je vais partir du début.
De même, lorsque vous parvenez à publier une note, je ne sais pas à partir de quel intitulé d'adresse vous le faites.
Le commun des mortels utilise l'adresse URL suivante : http://annesinclair.typepad.fr/journal/
Une fois la page apparue, il faut zoomer en cliquant avec la bille (trackball) pour activer les liens
Le lien intitulé "commentaires" devient actif ; avec la petite boule on vient placer la petite flèche et on clique dessus.
Pardonnez de m'adresser à vous de la sorte, certainement trop didactique, mais je ne sais pas du tout où se situe votre connaissance, déjà que la mienne n'est pas terrible !
Une fois la liste des commentaires apparue, on file tout en bas de la page à l'aide la bille que l'on fait rouler sous son petit doigt fin et délicat.
Et on découvre 4 rectangles pour écrire.
En cliquant sur la bille, on zoome.
A l'aide la bille, on place la flèche dans le premier rectangle, puis on clique : le curseur est alors fixé dans ce rectangle et on peut taper "Anne Sinclair" avec le clavier.
On fait ensuite glisser la flèche vers le deuxième rectangle, même opération et on écrit son adresse mail (qui ne sera visible que par le modérateur)
Même opération pour le troisième rectangle dans le quel vous tapez habituellement http://profile.typepad.com/1223137972s26524
Dans le 4eme rectangle vous taperez votre commentaire.
Une fois rédigé, vous envoyez votre commentaire en plaçant la flèche sur le bouton "Envoyer" et vous cliquez dessus d'un geste ferme, décidé et irrévocable.
La page apparaissant est la page de vérification avec un rectangle dans lequel il faudra écrire le code en image.
Zoomer en cliquant sur la bille.
Si l'image contenant le code n'apparaît pas au dessus du rectangle c'est que l'option "afficher les images" est "no" dans la configuration du navigateur.
Si tel est le cas, placer la flèche entre les crochets [ ] situés au dessus du rectangle, appuyer sur le bouton à gauche de la bille et, dans le menu apparaissant, venez cliquer sur "obtenir une image" , ou l'équivalent en anglais, à l'aide de la bille.
Le dessin au dessus du rectangle apparaît, zoomer,
Placer la flèche sur le rectangle, cliquer, et recopier dans le rectangle le code que vous voyez sur le dessin.
Cliquer sur "continuer"
Si un message d'alerte apparaît à ce moment, ne cliquer pas sur "OK" mais sur "Détail". Vous verrez alors dans le bandeau noir tout en haut apparaitre l'inscription " Posting comment"
Cela vous évitera de le poster plusieurs fois comme cela m'était arrivé.
En revanche il faudra bien que quelqu'un valide votre message pour qu'il apparaisse, et la validation par BlackBerry, je ne connais pas.
Auquel cas, tout ce que j'aurais écrit ne servira à rien.
Celà étant, cette procédure établissant des échanges de scripts entre votre BBerry et le serveur, il est possible que votre opérateur ait mis des barrages de protection.
Bonne chance, et n'hesitez pas me contacter.
Frederic
Posted by: Frederic Val de Marne | 04 mars 2009 à 14:37
J'ai suivi vos instructions... mais... sur le lien VALIDER pour poster mon message la petite main n'apparait pas... je ne peux rien poster ia le bb...
Avez vous une solution et.... comment fait-on pour copier et coller?
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 01 novembre 2009 à 12:07
C'est vrai Michèle que je ne souhaite pas trop décliner où je me trouve géographiquement dans le 92. Je sais que je suis très chouchoutée ici. Aucune envie de déménager chez les Balkany, les Ceccaldi-Reynaud et consorts (excusez l'orthographe).
Quelle discrimination intolérable que celle d'interdire l'accès à un pays pour des malades !!!!!! Le prix Nobel de la paix ne pouvait tout de même pas faire perdurer cette mesure.
Comme tous les internautes ici qui lisent un peu, Zweig est un incontournable. Tu ns diras, Michèle ce que vaut cet inédit.
Je suis très très préoccupée par la politique locale en ce moment et j'ai du mal à me concentrer sur l'objet de ce blog. Réforme des collectivités - recentralisation, modif du mode de scrutin favorable à la droite, décrit de l'Etat qui sucre la ville de Nanterre de la moitié de sa surface, je suis très inquiète pour notre démocratie. Villepin me fait plaisir en parlant de la "concentration du pouvoir". Si on m'avait dit un jour que j'aurais plaisir à écouter Villepin !!!!!!
Rédigé par : Françoise Dumont | 01 novembre 2009 à 10:25
Pour celles et ceux qui ne savent pas ou se trouve Palau qui vient de recevoir 6 ex-detenus de Guantanamo : http://en.wikipedia.org/wiki/Palau
Je ne peux que recommander une nouvelle fois le documentaire suivant sur l'organisation de la torture par Bush, Cheney & Rumsfeld : http://www.mediapart.fr/contenu/torture-made-usa-une-enquete-exclusive
Rédigé par : Account Deleted | 01 novembre 2009 à 10:24
Je suis triste pour l'Afghanistan. Amid Karzai reste seul en course. Quelle legitimite va-t-il obtenir ? A nos frais. Quel gachi ! Quelle occasion manquee ! Ce n'est vraiment pas bon pour l'avenir. Au moins Obama peut rendre publique sa decision avant le 7 novembre puisque l'on connait deja le resultat.
Rédigé par : Account Deleted | 01 novembre 2009 à 10:14
Ah oui... "Le gros Navion" vu a la Michodiere a l'epoque, irresistible et tordant, a se pisser dessus...
C'etait amusant hier soir de voir le metro New-Yorkais bonde de monstres en tout genre vers 19h, sympathique spectacle. Mon prefere : le mec deguise en Frigidaire (marque tres populaire ici), pas facile pour lui de se mouvoir.
Rédigé par : Account Deleted | 01 novembre 2009 à 09:59
Bonjour !
Si vous permettez, une petite pub...
Avis à celles et ceux qui ont les pieds gelés au nord du 49e parallèle : le lundi 9 novembre à 20 h (heure normale de l'est), TV5 Québec Canada commence la diffusion de la série APOCALYSPE de FR2 sur la 2e GM.
Rédigé par : Robert | 01 novembre 2009 à 09:04
@ Sir Bob of Marrakech,
Mrs Clinton est arrivée chez vous, en fin, à Marrakech, are your famous "macarons" ready?...☺☺☺
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Meanwhile, Chirac is back to France(from Maroc!) où son "tombeur"(sic!) l'écolo Pierre-Alain Brossault(les emplois fictifs) est satisfait...
douce et pauvre France-2009...
Rédigé par : Mélanie | 01 novembre 2009 à 08:59
Autant pour moi Anne, c'est moi qui est fait, une erreur, un raccourci, je vous fais mes excuses, Nicolas Sarkozy as bien dit: " la terre fait partie de l'identité national", mais cela ne change pas grand chose au fond du débat, puisque cette phrase reste une provocation, très ambigüe, et qui est très proche de la citation "la terre ne mens pas" du Maréchal Pétain
Rédigé par : adonis | 31 octobre 2009 à 21:16
Anne, le discours de Nicolas Sarkozy sur le débat sur l'identité national, ainsi que le débat sur ce sujet dans l'émission "C dans l'air": http://www.france5.fr/c-dans-l-air/ ..Vous pourrez constater par vous-même que Nicolas Sarkozy as bien dit ,dans son discour, que la terre ne ment pas.. Nier l'évidence, ce serait défendre Nicolas Sarkozy, alors qu'il as reprise une citation du Maréchal Pétain durant le Régime de Vichy, et ce serait grave
Rédigé par : adonis | 31 octobre 2009 à 20:35
Michèle, moi aussi, amoureuse de Zweig, j'ai hésité à acheter cet inédit. Le précédent n'était pas bon et j'ai la faiblesse de penser que les inédits des grands écrivains, sauf s'ils sont tombés par hasard derrière un buffet Henri II et oubliés, s'ils sont inédits, c'est qu'ils ne sont pas très bons...
Les dans es hongroises, je les ai beaucoup aimées, mais enfant. Elles me gonflent aujourd'hui, vous ne pouvez pas savoir!
Rédigé par : Anne Sinclair | 31 octobre 2009 à 19:54
"Pour des millions d'Européens, le mur de Berlin est tombé trop tard... ", jolie phrase, Mélanie...
Sylvian, oui, c'est une belle victoire sur la non discrimination que les malades du Sida aient le droit d'entrer aux US. 22 ans que cela leur était interdit! C'est fou...
Rédigé par : Anne Sinclair | 31 octobre 2009 à 19:51
Bonsoir Anne, bonsoir à tous
@ Mélanie
Hello from grey Nice too !!
Le Negresco rien que ça !! Je n’ai jamais mis les pieds dans aucun des deux restaurants de ce palace, un des derniers si ce n’est le dernier ayant un , en l’occurrence une propriétaire privée qui a toujours refusé de céder aux grands groupes.
Mais pourquoi pas, nous pouvons nous offrir cela nous le valons bien !!
Au passage un petit signe à Robert de M. qui y a effectué ses classes.
@ Sylvain
Alors on va prendre le gros navion, sketch de trois filles dont deux Michèle, il faudra nous raconter ! Il est impressionnant, je l’ai vu sur les chaînes de montage à Toulouse en avril !
Quant à la décision des Etats-Unis d’accepter sur leur sol les porteurs du VIH il faut en être satisfaits, mieux vaut tard que jamais, mais j’ai beaucoup de mal à tolérer de telles mesures de discrimination, c’est la double peine, non seulement la personne est déjà porteuse d’un virus mais en plus mise à l’écart de la société !
@ Jog
Pour Brahms j’étais sûr de votre réaction s’agissant des danses hongroises, je l’avais un peu ?? fait exprès, je les écoutais gamine en fait, c’est pas mal pour une initiation à la musique classique à cet âge !
L’inédit de Zweig acheté à Nice s’intitule « un soupçon légitime », j’en avais lu un extrait et donc il me semble plus prometteur que l’inédit précédent.
Rédigé par : Michèle Doige | 31 octobre 2009 à 19:07
Un classique de circonstance:
If there's something strange
in your neighborhood...
Who ya gonna call? GHOSTBUSTERS!!!
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"I'm afraid of no ghost..."♫♫♫
Ray Parker Jr - Ghostbusters
http://www.youtube.com/watch?v=g4uxIo4t7xM
Have a serene weekend, pumpkins!
Rédigé par : Mélanie | 31 octobre 2009 à 18:36
@ Françoise-D, lucky you!♪♪♪
je ne sais pas où vous habitez, mais si Radu vient à Toulouse, j'irai le voir, aussi. Son "Concert" a eu des critiques assez positives.
@ Sylvain, j'ai vu Prez-Obama signer "le papier" en question and I did think of you, too...:-)
Quant à l'A-380, it's very impressive, indeed... j'en suis survolée du lundi au vendredi, mais je ne m'en lasse pas!♪;-)♪
Pour visiter "Airbus", il faut s'inscrire à l'avance, pendant et en dehors des vacances scolaires.
Rédigé par : Mélanie | 31 octobre 2009 à 17:33
"Elle part pour Jérusalem demain, voir Israéliens et Palestiniens. Si elle pouvait leur parler ainsi!" Cool, elle le fera. N'est-elle pas "la voix de son maître" tout en étant sur sa longueur d'onde. En tout cas, elle prépare les décisions que va prendre BO dans toutes ces régions et qui auront l'avantage d'être claires. Fini le temps de Condeleeza Rice qui est restée dans ses pantoufles pendant les derniers mois de Bush, qui avait pourtant promis de régler le problème israëlo-palestinien avant la fin de son mandat.
Rédigé par : attila | 31 octobre 2009 à 15:57
M'dame Sinclair, Bonjour.. Alors c'tte grosse feignasse d'Obama, toujours pas résolu la Crise?.... M'dame Sinclair, si j'peux me permettre, j'vais profiter d'l'espace d'parole qu'est votre Blog, pour passer une annonce: "Moi, Nicolas Sarkozy, Président d'la République, r'cherche désespèrément électorat du F.N pour les élections Régionales.. Et j'm'engage à r'prendre une citation du Maréchal Pétain par s'maine, c'est moi qui offre, c'est cadeau".. et M'dame Sinclair, j'tiens à r'dire ce que j'ai dis puisqu'j'l'ai bien dit.. Au sujet d'l'identité nationale, la terre ne mens pas!......... Quoi?.... Qu'est-ce t'as l'Résistant?.... T'es pas content?.... Ça t'dérange que j'reprenne une citation d' Pétain?....... Eh bien casse-toi pauvr'con!
Rédigé par : Nicolas-Laval-Sarkozy | 31 octobre 2009 à 15:53