C'est ce qu'ont fait les Obama. Et ils n'ont pas ménagé leur peine pour soutenir leur ville de Chicago à Copenhague pour la candidature aux JO de 2016. Evidemment, Chicago eût été désignée que chacun aurait loué leurs efforts. Mais comme Rio a remporté le choix de ville olympique, les critiques pleuvent.
Ceux qui s’enflammaient pour la cause, déjà bariolés et habillés aux couleurs de Chicago, sont déçus. Et ceux qui s’insurgeaient contre la surenchère, dénonçant, à l’image de John Boehner, le leader Républicain de la Chambre, en profitaient pour s’exclamer hier : "le président Obama s’envole pour Copenhague alors que nous avons de sérieuses questions, ici, aux États-Unis, à débattre et à régler au plus vite".
Il faut dire que la politique étrangère – et les voyages présidentiels conséquemment – n’ont jamais été considérés comme une priorité pour les Américains, d’autant plus en temps de crise. Aussi faire le déplacement pour un oral devant un comité d’attribution des Jeux Olympiques – une première pour un président américain – a suscité de nombreux critiques, ravivées par la défaite.
Pourtant, les représentants de Chicago avaient mis tous les atouts de leur côté, réussissant à rassembler, en plus des champions sportifs et experts habituels, Michelle et, à la dernière minute, Barack Obama – sans oublier Oprah (Winfrey) ! Et la prestation de Michelle n’est pas passée inaperçue et a été abondamment commentée et appréciée par les médias américains. (cf. WaPo ce matin " The first lady did not bring home a victory, but she was her team's most valuable player.")
En effet, en plus de donner de son temps, elle n’a pas hésité à verser dans l’émotionel et partager souvenirs d’enfance et ressentis personnels sur sa ville de Chicago devant les membres du jury, racontant comment elle se passionnait déjà pour les JO avec son père, décédé depuis et comment le sport, malgré sa sclérose en plaques, avait continué à occuper une place essentielle dans la vie de celui-ci. Pour reprendre ses propres mots, c’est non seulement en tant que First Lady, en tant que native de Chicago, en tant que mère de famille mais aussi en tant que fille d’un homme à la volonté sans faille qui serait fier aujourd’hui de voir les JO dans sa propre ville.
" See, my dad would have been so proud to witness these Games in Chicago. And I know they would have meant something much more to him, too. (…) My dad was my hero.
And when I think of what these Games can mean to people all over the world, I think about people like my dad."
Cependant, toute cette émotion (un peu beaucoup quand même, non?), palpable jusqu’en dans sa voix parfois chancelante, n’aura pas suffi face à l’argumentation brésilienne - et notamment celle de Lula - qui n’a eu cesse de rappeler au jury que donner les Jeux à Rio serait une première non seulement pour le Brésil mais pour l’Amérique du Sud toute entière.
C'est peut-être la leçon politique de cet épisode: en sport comme en politique, le rêve collectif est toujours plus fort que le rêve individuel, aussi émouvant soit-il. Et malgré la grande sympathie que j'ai pour Obama, je trouve réconfortant que dans notre monde individualiste, il en soit quand même ainsi.
Our baby has the NOBEL!!!!!!!!!!
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 09 octobre 2009 à 11:54
Merci Natan de ce long développement érudit sur le troisième Temple et Hérode, même si je ne comprends pas bien ce que vous vouliez nous dire à cette occasion...
Rédigé par : Anne Sinclair | 08 octobre 2009 à 13:23
LA MOMIE ET LE RABBIN AU BOIS DORMANT
On peut aisément comprendre que les Rabbins terrifiés aient été complètement anesthésiés par leur impitoyable Tyran Iduméen, Hérode, qui avait été arbitrairement nommé et couronné par le Sénat de Rome “Roi des Juifs”. (Plus tard cette même appellation sera ironiquement apposée par Ponce Pilate sur la croix où Jésus sera crucifié.)
Mais le fait, que durant deux mille ans, pas un seul Rabbin (ou Universitaire) ne se soit dressé et révolté pour exprimer son indignation à la profanation et à la désacralisation du troisième Temple de Jérusalem par Hérode, est l’un des événements les plus stupéfiants dans l’Histoire des Idéologies et Croyances de l’Humanité :
En effet, Hérode avait fait construire un étage supérieur au dessus du Saint des Saints et au dessus du Lieu Saint, et, de plus, le plafond du Saint des Saints avait été percé de deux ouvertures avec trappes permettant à des cages attachées à des chaînes d’accéder de l’étage supérieur au rez-de-chaussée du Saint des Saints.
Or, même le moins talentueux des élèves de n’importe quelle Yeshiva (école religieuse Juive) vous expliquera gravement que, au dessus, ou en dessous, du Saint des Saints il ne pourrait y avoir ni grenier, ni cave, ni aucune sorte de salle de maintenance (ce qui, très incidemment, est le cas pour le Dôme du Rocher, où il se trouve une grotte en dessous dudit “Rocher“.)
Pourquoi ? Parce que au dessus du Saint des Saints, la Nuée Divine (Shekinah) descendait directement du Ciel Infini sur l’Arche de l’Alliance, afin de rencontrer l’Intercesseur des Juifs, Moïse d’abord, et, après lui, le Grand Prêtre, afin de perpétuer et de célébrer le Contrat Moral passé entre l’Eternel et l’Humanité.
Là , au dessus du couvercle de l’Arche de l’Alliance, entre les deux Chérubins qui sont au dessus de l’Arche, JE te rencontrerai, Moïse, et c’est de là que JE te donnerai tous les Commandements concernant les Israélites. (Exode 25 : 23)
L’étage supérieur païen, ainsi inventé par Hérode et construit au dessus du Saint des Saints, n’existait ni dans la Tente de la Rencontre de Moïse (Tabernacle), ni dans le premier Temple de Salomon, ni dans le second Temple reconstruit par Zorobbabel et Jeshua à leur retour d’exil de Babylone, ni dans ce même second Temple rénové par les Hasmonéens.
En fait Hérode avait inventé cet étage supérieur afin d‘être en mesure de descendre lui-même, clandestinement, dans le Saint des Saints, en compagnie occasionnelle de quelques invités de marque, comme par exemple, Agrippa, le gendre d’Auguste (qui fut, entre autres, dans l’Antiquité, le plus illustre promoteur de Systèmes Hydrauliques et qui partageait avec son ami Hérode la même passion pour les innovations Hydrauliques).
Avec cet étage supérieur du Temple, Hérode pouvait ainsi s’offrir à lui-même ainsi qu’à une élite de Païens privilégiés, une ”initiation Judaïque” comparable, par exemple, à la très prisée initiation aux Mystères d’Eleusis.
Et, surtout, Hérode pouvait ainsi se démontrer à lui-même que, dans son Royaume, nul, pas même le Grand Prêtre du Temple (d’ailleurs nommé par Hérode) ne saurait prétendre à une prérogative supérieure au pouvoir absolu que le Tyran Iduméen exerçait cruellement sur ses sujets Juifs.
La réaction des Rabbins à cette effroyable désacralisation de l’Essence Mystique qui était au cœur du Temple de Jérusalem a été, et demeure toujours, totalement absurde et incongrue :
Le Traité Middoth de la Mishnah décrit minutieusement l’architecture du troisième Temple d’Hérode (troisième Temple qui remplaça le second Temple détruit par Hérode jusqu’à ses fondations)
Le Traité Middoth de la Mishnah, écrit par les Rabbins Palestiniens après la destruction du troisième Temple, décrit dans ses moindres détails l’architecture du troisième Temple Hérodien de Jérusalem (troisième Temple qui remplaça de fait le second Temple entièrement démoli par Hérode jusque dans ses fondations) :
Présenté ci-après, un extrait de ce Traité Rabbinique Middoth traduit une incroyable envergure de naïveté ou d’aveuglement délibéré, concernant spécifiquement cet étage supérieur Païen astucieusement inventé par le Potentat Hérode pour le nouveau Temple de Jérusalem :
Et à cet étage supérieur du Sanctuaire il y avait au sol des ouvertures avec trappes permettant de s’introduire dans le Saint des Saints : ce qui permettait d’y faire descendre des ouvriers dans des cages tout en les empêchant de se rassasier de la vision du Saint des Saints (sic) (Middoth : 4 : 5)
Le vaste océan de la Littérature Rabbinique offre parfois des découvertes de trésors de pensée rarement égalées. Mais dans le même temps, en particulier dans ses aspects Aggadiques (histoires légendées) on peut aussi découvrir dans cette même Littérature Rabbinique des récits déconcertants de par leurs acrobatiques contorsions intellectuelles.
En effet, pour ce qui concerne cet étage supérieur du temple inventé par Hérode les Rabbins, auteurs du Traité Middoth, indiquent avec une minutie quasi inconsciente comment n’importe quel quidam peut se promener au dessus du Lieu Saint et au dessus du Saint des Saints, et comment n’importe quel individu peut s’introduire, par en haut en utilisant des petites cages d’ascenseur, à l’intérieur même du Saint des Saints.
- Saint des Saints Hérodien qui, par ailleurs, a perdu les proportions sacrées du parfait Cube Mystique, prescrit par D*ieu à Moïse (5 mètres x 5 mètres x 5 mètres), et respecté par Salomon (10 mètres x 10 mètres x 10 mètres), ainsi que par les architectes du second Temple à leur retour d’exil, et qui a été souverainement profané par Hérode pour être transformé en un puits carré de 10 mètres sur 10 mètres et 30 mètres de hauteur selon Flavius Josèphe, ou 20 mètres de hauteur selon le Traité Middoth. -
Or, dans ce Lieu le plus Sacré du troisième Temple, que désormais, grâce aux modifications architecturales d’Hérode, n’importe qui pouvait désacraliser à volonté, seul le Grand Prêtre avait le droit religieux de pénétrer, une fois par an (Kippour), pour un très court instant de quelques minutes afin d’y rencontrer l’Eternel pour purifier Israël : et ce, après une semaine d’intense préparation faite de rigoureuses et incessantes immersions dans les eaux vives de source purificatrices au sein même du Sanctuaire (dans le Mikweh situé à l’étage supérieur de la Salle Parvah).
Aussi on peut se demander vainement quelle sorte de travail ces pseudo artisans auraient eu à exécuter dans cet espace sacré, où il n’y avait absolument rien depuis que l’Arche de l’Alliance avait disparu, où personne ne pénétrait jamais, et où régnait l’obscurité la plus totale.
Mais de plus, dans cette évocation totalement absurde, combien de trous aurait-il fallu percer dans le plafond du Saint des Saints afin que des ouvriers désignés pour un travail aussi virtuel, et enfermés dans une cage mesurant probablement 2 mètres sur 2 mètres, puissent être en mesure de réaliser ces taches imaginaires dans un espace de 10 mètres sur 10 mètres totalement hors d’atteinte en restant dans ces cages, et où, de plus, ils n’auraient pas été autorisés à regarder l’intérieur du Saint des Saints ?!?
Dans une perspective eschatologique on peut dire que ce troisième Temple, désacralisé aussi cyniquement par Hérode, était condamné à disparaître.
Aussi cet aveuglement entêté des Rabbins durant deux millénaires peut très vraisemblablement être attribué à leur désir de dévotion mystique pour un Temple momifié, plutôt que d’avoir à servir un Temple vivant où les Rabbins devraient partager leur pouvoir et influence avec les Prêtres héréditaires descendant d’Aaron, (comme prescrit par la Bible -Torah-), et où les Rabbins se sentiraient obligés de restaurer les sacrifices d’animaux :
- Concernant la répartition des pouvoirs, il peut utile de rappeler que les Rabbins Pharisiens non seulement partageaient le pouvoir avec les “Cohanim“ (Prêtres héréditaires) mais le plus souvent prenaient tout le pouvoir dans le Sanhédrin du Temple. Par ailleurs, et incidemment, il y a de nombreux Rabbins Cohen de par le monde…
- Concernant les sacrifices d’animaux, ces rites sanglants n’étaient pas spécifiques à la Religion Juive : presque toutes les civilisations de l’Antiquité pratiquaient des sacrifices d’animaux. Et presque toutes les civilisations ont, à juste titre, abandonné ces Rituels primitifs.
La seule, unique et révolutionnaire, Invention de la Religion Juive fut l’institution du culte d’un Pacte Moral unissant les Juifs à YHWH, Pacte qui devait être préservé, perpétué et célébré dans l’Arche de l’Alliance au Temple de Jérusalem.
Et c’est le développement de ce Culte glorieux, célébrant jour après jour l’Alliance Morale, qui donna naissance progressivement à la collective Infrastructure Morale Judéo-Chrétienne où le concept Démocratique pour l’Humanité prend sa source.
Un éclatante confirmation de cette désacralisation sacrilège par l’architecture Païenne du Temple Hérodien est fournie par la représentation du Temple qui figure sur les pièces de monnaie qui furent frappées lors de la dernière Révolte Juive menée par Bar Kockba et par le Rabbin Akiba, le principal architecte de la Mishna.
Cette révolte des Juifs contre les Romains visait, en 132-135, à reconstruire le Temple de Jérusalem qui avait été détruit par Titus en 70 :
De toute évidence, Bar Kockba et le Rabbin Akiba (qui avait connu parfaitement l’architecture du troisième Temple Hérodien) s’étaient donné comme mission de restaurer les proportions de l’architecture sacrée originale telle qu’elle avait été mise en œuvre par Moïse et par Salomon, avec la pleine signification Mystique du Cube Sacré accueillant l’Arche de l’Alliance :
En effet, ces pièces de monnaie de Bar Kockba, de toute évidence, ont supprimé l’étage supérieur Païen qui avait été installé au dessus du Lieu Saint et au dessus du Saint des Saints par Hérode.
De plus, la verticalité si caractéristique du Temple Hérodien est remplacée par une vision délibérément horizontale, avec, comme seul vestige du concept Hérodien, le Porche tétrastyle (probablement parce que sa mémoire visuelle était encore trop présente 70 ans après sa destruction, et, surtout, parce que, de toutes façons, ce Porche (ajouté initialement par Salomon) n’affectait pas la Mystique et la Puissance proportionnelle du Temple lui-même.
Et alors, dans cet authentique quatrième Temple, qui aurait été ainsi restauré par le Rabbin Akiba et par Bar Kockba, la Shekinah aurait pu, enfin, descendre de nouveau directement au Zénith absolu du Saint des Saints, afin de déposer sur l’Arche de l’Alliance sa Protection Divine, en vue de perpétuer glorieusement le Rite solennel et imprescriptible de la Célébration du Pacte Moral accordé à Israël par YHWH.
***Pour conclure cet Op-ed, nous ajouterons que cela procède d’un très bizarre état d’esprit que de vouloir penser aveuglément que les Certitudes Mystiques ne peuvent être ni analysées ni discutées, en particulier lorsque ces Certitudes Mystiques résultent, en fait et initialement, d’une brutale malveillance faite d’égocentrisme, de cruauté, de froide manipulation et d’une impitoyable soif de pouvoir.
Natan Octobre 2009
Natan est l’Auteur de “La Véritable Histoire du Temple de Jérusalem”
{=On-line : www.jerusalem-4thtemple.org }
et l’Auteur de “Comment gagner la Guerre Idéologique contre le Suicide Terrorisme”
(-sans gaspiller, en vain, des billions de Dollars et de nombreuses vies humaines-)
{=On-line : http://ideology-war-observatory.blogspot.com }
Rédigé par : Natan | 08 octobre 2009 à 09:28
J’ai un grand respect pour l’oratrice qu’est Michelle Obama, et pour la femme dont l’intelligence n’est plus à prouver, mais je ne supporte pas quand elle fait de l’émotionnel comme cela. Pendant la campagne présidentielle, elle était allée parler dans une université en petit comité, et elle avait affirmé que « la Maison Blanche avait besoin d’enfants jeunes et qu’elle était partisante de voir plus d’enfants jeunes à la Maison Blanche ». Comme si le fait qu’ils avaient deux petites filles étaient un argument. J’avais trouvé cela inacceptable et heureusement que cela n’a pas été trop médiatisé car cela rabaissait dangereusement le niveau de la campagne à mes yeux.
titillement.blogspot.com
Rédigé par : margot | 05 octobre 2009 à 20:24
@ Mélanie
Dommage que le daily Telegraph et ses journaliste n'ont pas fait leurs recherches, sinon ils auraient su que le Guardian avait déja parlé des origines de Ahmadinejad:
http://www.guardian.co.uk/world/2005/jul/02/iran.roberttait
"The name Saborjhian derives from thread painter - sabor in Farsi -a once common and humble occupation in the carpet industry in Semnan province, where Aradan is situated."
Rédigé par : Yul | 05 octobre 2009 à 17:28
Lady-Anne,
vous m'avez donné une fois la permission de crier ou hurler, je vais le faire là...
"ça m'énerveee!!!"(c'est une chanson-kitch...)
Je viens d'apprendre, via inbox-Daily Telegraph qu'Ahmadinejad serait d'origine juive!!! Une certaine presse nous prend vraiment pour des veaux or what?!
On ne sait plus quoi inventer pour vendre et manipuler... quelle honte, bla-blatons pour rien dire!!! grrr-☻☻☻
Bientôt on va nous annoncer qu'Ahmadinejad est un très grand rabin?... Plus c'est gros, et mieux ça "passe"! grrr-bis!
On a dit à peu près la même chose sur hitler et khaddafi... le guide suprême iranien négationniste a des origines juives parce que sur son passeport il y avait un nom à consonnance arménienne?... Hellooo!
Il serait juif si sa mère l'était, point.
Enfin toutes ces "révélations" ne l'empêcheront pas de dormir et de continuer à vouloir rayer Israël de la carte!!!
bein oui, pensez donc: une démocratie en plein Moyen-Orient, mais quelle "horreur"!
A bon(s) entendeur(s), salut, shalom, salam, peace!
---
P.S.
"Si ceux qui disent du mal de moi savaient exactement ce que je pense d'eux, ils en diraient bien d'avantage."(Sacha Guitry)
Rédigé par : Mélanie | 05 octobre 2009 à 12:11
Pour ceux d'entre nous qui prenons l'avion: Air India... à éviter?! Voici pk:
http://timesofindia.indiatimes.com/news/business/india-business/AI-mid-air-scuffle-Molestation-assault-case-against-2-pilots/articleshow/5087178.cms
http://www.youtube.com/watch?v=l9lrU_48Xb4&feature=channel
Rédigé par : Mélanie | 05 octobre 2009 à 08:52
Bonjour everybody!
Off-topic, mais... quand même:
Pour la énième fois, on se rend compte et à l'évidence que la réalité réelle(sic!) bat, dépasse de très loin la fiction: des terroristes islamistes ont "inventé" l'explosif en suppositoire et ce n'est pas une blague, hélas!!!☻☻☻
Je mentionnais l'autre jour l'utilisation des piments forts par Vlad l'Empaleur, mais ils ne faisaient exploser rien, personne, alors que les suppos explosifs pourraient être TRES dangereux, comme leur nom l'indique...
http://www.lepost.fr/article/2009/10/05/1726092_nouvelle-arme-d-al-qaida-l-explosif-en-suppositoire.html
---
Une voix sud-américaine(argentine) s'est éteinte: la grande Mercedes Sosa... RIP.
La voilà en duo avec une autre sud-américaine célèbre, Shakira:
http://www.youtube.com/watch?v=zXBze4zysYk&feature=fvw
Rédigé par : Mélanie | 05 octobre 2009 à 08:27
Elyas 23: mea culpa, le dej d'aujourd'hui était avec la femme du Vice Premier ministre, charmante, cultivée, jeune, elle aussi avec le foulard. Mme Erdogan, je la verrai demain. Cela dit, un français fin turcophone et turcophile m'expliquait que depuis le gouvernement Erdogan, jamais la Turquie n'avait été aussi ouverte, aux idées comme aux échanges. A verifier.
Sa thèse, intéressante, est que c'est la première tentative après le Kemalisme d'Ataturk assez autoritaire, pour trouver une voie moyenne dans l'Islam, démocratique, tolérante où cohabiteraient religieux et laïques... Dans ce pays de 70 millions d'ahbitants, dont 15 millions en Europe (12 pour la seule ville d'Istanbul), ce serait bien intéressant. A vérifier aussi.
Rédigé par : Anne Sinclair | 04 octobre 2009 à 23:55
Madame Erdigan, voilée, et épouse du Premier Ministre Turc. One se souviendra que les Militaires (très puissants en Turquie) n'avaient pas voulu d'elle à leur parade! Quel comble!
Ma chère CELINE! Il faut se ressaisir, voyons! Avez-vous essayé de faire un peu de sport, du jogging, par example, pour enlever un peu votre stress. Sinon, filez voir un film au cinéma, une comédie, ou bien un genre musical du genre "Fame" qui est déjà sorti sur les écrans ici. Vouz avez peut-être le blues de l'Automne, ce qui est très fréquent. Bon courage et bonne chance pour l'opération. Bises.
Rédigé par : Elyas23 | 04 octobre 2009 à 23:10
une seule entité intégrée est-elle suffisante pour contrôler les risques systémiques du système financier d'un pays ou faut-il pour être plus efficace regrouper et analyser les informations des superviseurs financiers ou des instances de régulation des différents marchés financiers sachant qu'il y a des institutions (banques d'investissement, compagnies d'assurance, etc.) non régulées qui échappent à tout contrôle de l'information ? L'impossible est-il possible avec la force de conviction ?
Rédigé par : claude | 04 octobre 2009 à 21:26
Du monde sur la toile, mais difficile de tout faire comme Anne. Il faut lui reconnaître ce mérite.
"Après Ségolène Royal et Dominique de Villepin, c'est au tour de Carla Bruni-Sarkozy de se lancer sur la toile. La première Dame de France devrait en effet lancer son propre site lundi sous le nom carlabrunisarkozy.org, révèle l'Express.fr.
Ce site devrait comporter trois parties: la première consacreé a sa fondation, la deuxième a ses activités d'ambassadrice du Fonds mondial de lutte contre le sida, et la troisième à son action en tant que Première dame. Rien donc, sur ses activités de chanteuse, auquel le site carlabruni.com est déjà consacré."
Rédigé par : Idefix | 04 octobre 2009 à 20:58
http://www.jaime-ma-famille.com/
Vous connaissez ce site?
Les histoires de familles me font toujours trop rire...
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 04 octobre 2009 à 19:08
Ghislaine!!!!!!
Je ne mets plus les pieds en France depuis cette tête à claques, comment je fais pour éviter l'Europe habitant aux Pays Bas. Vous êtes vraiment pas drôle et vous venez de me gâcher mon dimanche et le gros de mes nuits à venir. ☻
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 04 octobre 2009 à 17:49
Istanbul c'est dans mes projets pour l'annee prochaine.
Pour les anglophones, un playdoyer pour une assurance maladie universelle aux US :
No Country for Sick Men
To judge the content of a nation's character, look no further than its health-care system.
By T. R. Reid
Published Sep 12, 2009
"Us Canadians, we're kind of understated by nature," Marcus Davies told me in his soft-spoken way. "We don't go around chanting 'We're No. 1!' But you know, there are two areas where we feel superior to the U.S.: hockey and health care."
Davies is an official of the Saskatchewan Medical Society, so it's not surprising that he would want to extol Canadian medicine. But that feeling of patriotic pride in the nation's health-care system is something that just about all Canadians share. They love to point out that Canada provides coverage for everybody, usually with no copay and no deductible—while the U.S. leaves tens of millions of its citizens uninsured. They love to remind us that, while the U.S. lets some 700,000 people go bankrupt due to medical bills each year, the number of medical bankruptcies in Canada is precisely zero.
Yet I wasn't inclined to let Davies go unchallenged. I agreed that Canada does an admirable job of providing free and prompt care to anybody with an acute medical condition. But for nonemergency cases, the system often provides nothing but a long wait. Last summer I tried to get an appointment with an orthopedist in Canada to treat my aching right shoulder; the waiting time, just for an initial consultation, was 10 months. How could you be proud of that?
"You're right," Davies said frankly. "We keep people waiting, to limit costs. But you have to understand something basic about Canadians. Canadians don't mind waiting for elective care all that much, so long as the rich Canadian and the poor Canadian have to wait about the same amount of time."
In that last sentence, Davies set forth the national ethic of health care in his country: medicine is not a commodity to be sold to the highest bidder, but a right that must be distributed equitably to one and all. In short, the Canadians have built a health-care system that neatly fits the Canadian character: ferociously egalitarian, but thrifty at the same time.
I found that same pattern—a health-care system that reflects a nation's basic cultural values—everywhere I went when I traveled the world for a PBS documentary and a book about how other wealthy countries provide health care. "The fundamental truth about health care in every country," notes Princeton professor Uwe Reinhardt, one of the world's preeminent health-care economists, "is that national values, national character, determine how each system works."
The design of any country's health-care system involves political, medical, and economic decisions. But the primary issue for any health-care system is, as President Obama made clear last week, a moral question: should a rich society provide health care to everyone who needs it? If a nation answers yes to that moral question, it will build a health-care system like the ones in Britain, Germany, Canada, France, and Japan, where everybody is covered. If a nation doesn't decide to provide universal coverage, then you're likely to end up with a system where some people get the finest medical care on earth in the finest hospitals, and tens of thousands of others are left to die for lack of care. Without the moral commitment, in other words, you end up with a system like America's.
Around the world, cultural influences govern much of the nitty-gritty of daily medical practice. In the Confucian nations of East Asia, doctors were traditionally expected to treat people for free; they earned a living by selling medicine to be taken once the patient went home. To this day, doctors in Japan and China do both the prescribing and the selling of medicine. And guess what? Those doctors tend to prescribe far more drugs than their Western counterparts, who don't share in the pharmacy's profit.
British women tend to have their babies at home; American women tend to deliver in the hospital, but go home a day or two after the birth; Japanese women remain in the hospital with the baby an average of 10 days after delivery. In Britain, Spain, and Italy, the basic rule of medicine is that people never get a doctor's bill; health care is funded through general taxation. But just across the border, in France, patients are expected to make a cash payment for any encounter with the health-care system, even though the insurance plan will reimburse most of that copay within a week or so. The French have decided that people should be reminded on every visit that health care costs money—even if it's the insurance company's money.
In Germany and Austria, health insurance pays for a week at a spa, if a doctor prescribes it to deal with stress. In Britain, when I asked whether the National Health Service would provide the same benefit, my doctor laughed at the very thought of it.
But the most important influence of national culture can be seen in the most basic question facing any country's health-care system: who is covered?
On this fundamental issue, the United States is the odd man out among the world's advanced, free-market democracies. All the other industrialized democracies guarantee health care for everybody—young or old, sick or well, rich or poor, native or immigrant. The U.S.A., the world's richest and most powerful nation, is the only advanced country that has never made a commitment to provide medical care to everyone who needs it.
Our lack of universal coverage has consequences. According to government and private studies, about 22,000 of our fellow Americans die each year of treatable diseases because they lack insurance and can't afford a doctor. This generally happens to people with a chronic illness who have too much money to qualify for Medicaid, but too little to pay for the drugs and treatment they need to stay alive. Among the rich nations, this happens only in America. Likewise, the U.S. is the only developed country where medical bankruptcies can happen.
Those Americans who die or go broke because they happened to get sick represent a basic moral decision our country has made. All the other rich countries have made a different decision: they cover everybody. A French physician, Dr. Valerie Newman, explained it this way: "You Americans say that everybody is equal," she said. "But this is not so. Some are beautiful, some aren't. Some are brilliant, some aren't. But when we get sick—then, yes: everybody is equal. That is something we can deal with on an equal basis. This rule seems so basic to the French: we should all have the same access to care when it comes to life and death."
Other nations adhere to the same principle, with slightly different explanations. For Switzerland—a rich, capitalist country that didn't create a universal health-care system until 1994—the underlying rationale is the concept of solidarité. That's a crucial word in the Swiss vocabulary, freighted with meanings that include "community," "equal treatment," and "despite our differences, we're all in this together."
"To have a great sense of solidarité among the people," former Swiss president Pascal Couchepin told me, "all must have an equal right—and particularly, a right to medical care. Because it is a profound need for people to be sure, if they are struck by the stroke of destiny, they can have a good health system."
That principle seems so obvious to people in Europe, Canada, and the East Asian democracies that health officials asked me over and over to explain why it isn't obvious to Americans as well. "The formula is so simple: health care for everybody, paid for by everybody," a deputy health minister in Sweden told me. "You Americans are so clever. Why haven't you figured that out?"
This formula is so basic in the other industrialized democracies that virtually all of them have included some version of a "right to medical care" in the national constitution. Nearly all European countries (the striking exception is Russia) have signed on to the European Union's Charter of Fundamental Rights, which serves as a sort of continentwide Bill of Rights, enforceable by the courts. "Everyone has the right of access to preventive health care and the right to benefit from medical treatment," the charter says.
The new democracies that have emerged in the two decades since the fall of the Soviet Union generally include a "right to health care" in their constitutions. The Czech Constitution, written in 1992, is typical. "The state is obliged to guarantee the right to life and the right to protection of health, and health care for all," the document declares.
In the U.S., in contrast, neither the federal Constitution nor any state guarantees "health care for all." Some Americans have gone to court claiming a right to care. The legal theory is that our Declaration of Independence says we all have "inalienable rights," including a right to life, and you can't have life without medical care to keep you alive. No U.S. court has ever bought this argument.
In the other advanced democracies, though, there's no debate. All of them recognize a right to "health care for all" as a moral obligation. But they don't all agree on the way to assure that right.
Some nations—Britain, Spain, Italy, and New Zealand, among others—have decided that providing health care is a job for government, just like building roads or putting out fires. In those countries, government owns the hospitals, employs many or most of the doctors, and pays the bills. That seems pretty close to what Americans think of as "socialized medicine."
But many rich democracies—Germany, France, Switzerland, the Netherlands, Japan—provide universal coverage with private doctors, private hospitals, and mainly private insurance plans. Unlike Americans, who switch to government-run insurance (Medicare) at age 65, Germans stick with private insurance from cradle to grave. Japan has more for-profit hospitals than the U.S., and far fewer doctors on the government payroll than we do. This is universal coverage, but it's not socialism.
Some countries—Canada, Taiwan, Australia—have a blended system, with private-sector doctors and hospitals, but a government payment system. The Canadian model—private providers, but public insurance to pay them—is the system Lyndon Johnson copied when he created Medicare in 1965. The difference is that Canada, Taiwan, and Australia provide the public insurance for everybody, while the U.S. restricts it to seniors and the disabled.
In our current debate on health care, many have warned that universal coverage will inevitably lead to "rationing" of health care. The argument overlooks a basic fact: the United States already rations health care. Indeed, every country rations health care, because no system can afford to pay for everything. The key distinction is the way rationing happens.
In the other developed democracies, there's a basic floor of coverage that everybody is entitled to; that's why nobody dies in those nations for lack of care. But there are limits on which procedures and which medications the system will pay for. That's where the rationing kicks in. "We cover everybody, but we don't cover everything," the former British health minister John Reid explained.
In the U.S., in contrast, some people have access to just about everything doctors and hospitals can provide. But others can't even get in the door (until they are sick enough to need emergency care). That amounts to rationing care by wealth. This seems natural to Americans; to the rest of the developed world, it looks immoral.
"Canadians don't mind waiting for elective care all that much, so long as the rich Canadian and the poor Canadian have to wait about the same amount of time." In that one sentence, Marcus Davies laid out the ethical basis of Canada's health-care system. The question facing Americans this fall is: what should be the ethical basis of America's health-care system?
Reid’s Book The Healing of America: A Global Quest for Better, Cheaper, and Fairer Health Care was just published by Penguin Press. He was the Correspondent for Two PBS Frontline documentaries based on the book.Reid’s The Healing of America: A Global Quest for Better, Cheaper, and Fairer Health Care
Rédigé par : Sylvain - New York, NY | 04 octobre 2009 à 17:01
Ghislaine, vous allez désespérer non pas Billancourt, mais Céline qui aimerait voir son Président favori faire au moins 3 mandats ;-))
Rédigé par : Anne Sinclair | 04 octobre 2009 à 16:48
@ Yul
Je pense personnellement que si un jour il y a un président à la tête du conseil de l'Europe, le candidat sera certainement pour la France, Nicolas Sarkozy !
Je le trouve à l'étroit dans notre pays, la France, pays beaucoup à gauche pour le porte-monnaie et à droite pour les valeurs. Donc difficile à gouverner.
Rédigé par : ghislaine | 04 octobre 2009 à 12:22
Je ne vous étonnerai pas quand j'écrirai que la venue du couple Obama était un peu présomptueux et prétentieux à mon goût.
Il ne suffit d'apparaître pour que le miracle se produise.
Les raisons pour lesquelles les Etats-Unis n'ont pas été retenus par rapport au Brésil sont nombreuses :
- Les Etats-Unis ont plusieurs fois organisés J.O. d'été et d'hiver,
- Les conditions d'entrée aux U.S. sont tellement drastiques, la paranoïa est tellement forte, que chaque visiteur ou sportif aurait dû donner son pedigree jusqu'à la couleur du gant de toilette de l'arrière grand mère.
- l'Amérique du Sud n'a jamais accueilli les J.O.
- certainement des accords financiers un peu trop difficiles à admettre.
Les Etats-Unis sont trop renfermés sur eux-mêmes, trop responsables de beaucoup de choses dans ce monde (crise, guerres) pour qu'on réussisse à croire aux J.O. aux U.S.
On a déjà eu droit à la Chine, alors ...
Rédigé par : ghislaine | 04 octobre 2009 à 12:17
Mrs DSK,
enjoy your lunch and your company!
Je me demande s'il y aura des "doggy bags"...;-)
@ Yul:"J'espère que Tony Blair ne soit pas le Président de l'Union Européenne - ce sera une catastrophe."
j'espère la même chose, même s'il a les mêmes initiales que mon cher et tendre...;-)
Connaîssez-vous la région toulousaine?...
j'ai failli croiser TiBi à l'Auberge du poids public(ça ne s'invente pas, it does exist!), car il y mange chaque fois qu'il passe qqs jours dans notre région...
J'y étais invitée par une amie pour fêter son anniv' en août-dernier, je vous confirme qu'on y mange très bien, les patrons sont attentifs, accueillants, le cadre très pittoresque, le Lauragais oblige:
www.auberge-du-poidspublic.com
But again, la cuisine tarnaise et/ou aveyronnaise de nos cousins-fermiers est excellente, aussi, et... gratuite!!!;-)
Have a wonderful Sunday!
Rédigé par : Mélanie | 04 octobre 2009 à 11:48
Anne Merci à vous et à Mélanie de nous avoir rappeler combien la vie de Marek Edelmann revêtait de nos jours et pour longtemps encore le plus beau des symboles:
Ne pas céder devant la monstruosité quitte à en mourir...
C'est ici que le mot liberté devient éclatant, prend toute sa valeur!
Sans doute est -ce même la seule signification réelle de ce mot!
Toutes autres acceptions ne sont que choses bizarroïdes et assez contradictoires !
Rédigé par : Jog | 04 octobre 2009 à 11:35
C'est très curieux mais Rio me laisse indifférent, cette grande fête du sport est une GABEGIE, frisant l'indécence!
Pas certain en plus de rentrer dans ses fonds investis le Brésil!
Que de pognon jeté en l'air pour que le monde Occidental jouisse !
Pour se foutre après quelques instants sur la tronche!
Ce même pognon dans les pays du tiers monde ferait sans nul doute des heureux...Donc il n'est pas essentiel d'y participer!
Rédigé par : Jog | 04 octobre 2009 à 11:27
Le retour de la Panthère Rose…
Topkapi…Ste Sophie et la Mosquée Bleue…
D’accord avec vous la Mosquée est magnifique…
Manque la musique de Mancini et pour moi les Derviches tourneurs !
Réponse à Frédéric .
Je dis ce qui va suivre avec le sourire, mais la reconnaissance de la Nation irait elle aussi au balayeur de chez Eolia, pardon le technicien de surface de chez Eolia ?
Le travail bien fait mérite il de facto la reconnaissance de la Nation…ou bien est-ce une locution politique un peu emphatique, pour ne pas dire grandiloquente ?
Discrimination ou dévalorisation, ce n’est pas la même chose, l’une est répréhensible de par la loi l’autre non !
Je conçois que passer du stade de technicien à celui de vendeur en agence puisse perturber.
Mais est-ce une dévalorisation de l’individu pour autant ?
Il y a en France, et cela lui est préjudiciable économiquement, une forte propension à penser le job de vendeur comme moins que rien, comme quantité négligeable…Oserais-je dire que vous pourrez produire tous les produits du monde, sans vendeur cela ne servira à RIEN !
La technique ne prévaut pas sur la vente, l’inverse est exact aussi !
Juste un rappel sur la confrontation des cultures d’entreprises…Celui de Mercédès et de Chrysler, pour les allemands ce fut un choc au point que même majoritaire, ils quittèrent le navire Chrysler ne pouvant appliquer à Detroit ce qu’ils appliquaient en Allemagne.
Dans le cas qui nous occupent, sans que vous puissiez penser qu’une quelconque sous estimation du travail d’un fonctionnaire m’habite, passer d’une entreprise publique au statut d’une entreprise privée et concurrentielle ne se fait pas facilement.
Entre mœurs anciennes et mœurs nouvelles il nait souvent un conflit…On en revient donc à la question de management…
Pour les stats Inserm, je suis désolé de dire que dans ce cas précis à la vue des stats de la police et de l’enseignement, l’Etat est le plus mauvais employeur !
Cette affaire grave au possible n’a pas la simplicité que l’on tente obstinément de nous montrer !
La succession de PDG dans la boite en est sans doute l’une des raisons…Je n’ai qu’à regarder une des Cie avec laquelle je travaille combien les directeurs successifs n’ont fait que jalonner leurs passages de stratégies industrielles n’ayant pour seules résultats que de leur faire toucher leurs bonus au détriment des réseaux qu’ils avaient à gérer…
La stabilité de la direction et de l’encadrement est une chose essentielle pour la sérénité d’un développement durable ce que FT n’a jamais mis en place…
Rédigé par : Jog | 04 octobre 2009 à 11:04
Bonjour d'Istanbul, pluvieuse et chaude aujourd'hui, avec une circulation de malade...
Je viens de lire le FT de ce week end qui est d'une grande severite avec Polanski et ceux qui l'ont soutenu (milieux artistiques ou politiques francais). Ils disent que le seul argument plaidable est en effet les 30 ans ecoules, mais que les defenseurs de Polanski, en voulant minimiser sa faute sous pretexte qu'il est un grand artiste, se trompent gravement de combat. a mon avis, la societe du spectacle en prend pour son grade...
Sinon, a Istanbul, les debats sur la crise, ses remedes et le nouveau monde qui se cree continuent.
Je vais dejeuner (en compagnie de 250 autres femmes - car les hommes font des choses serieuses et les "spouses" pas, bien sur!) avec la femme du premier ministre Mme Erdogan.
Rédigé par : Anne Sinclair | 04 octobre 2009 à 10:59
Merci Anne de nous donner à lire l'article du Monde concernant cet homme si héroïque, les mots ns manquent pour le qualifier. Puisse-t-on ne jamais revoir cela !!!!!
Je suis très contente pour Rio, pour l'Amérique du Sud et le sud en général. Cela va être un sacré catalyseur pour le développement de ce pays-continent.
L'Irlande a dit "oui" cette fois-ci. L'Europe politique peut naître ?
Rédigé par : Françoise Dumont | 04 octobre 2009 à 09:54
je pense que B. Obama à fait une belle prestation de charme, toujours en campagne perpétuelle.. Même si intérieurement il savait que les chances étaient extrêmement réduites de voir la ville de Chicago sélectionnée, le potus a montré au monde entier qu'il était bien meilleur de se réunir dans la détente pour parler sport et défendre une ville pour les jo que de se battre pour gagner la course aux armements.
Déplacement symbolique mais plein de bon sens; critiques négatives à laisser dans les starting blocks, critiques positives hautes en couleurs.
Rédigé par : claude | 04 octobre 2009 à 09:36