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« Yes, they (partly) did it!! | Accueil | La journée la plus sanglante en Iran »

27 décembre 2009

Commentaires

Clara

PDF, ça fait certes un peu pièce jointe, mais c'est toujours mieux qu'un virus! C'est vrai qu'il faut que j'arrête avec mes fausses dépêches, ça va devenir un TOC... Mais je tenais à rendre hommage à l'irrévérence du Figaro, journal insolent et sans complaisance comme on les aime. Et vous avez raison sur le fait que leurs analyses valent le détour, dès qu'ils sortent de Sarkoland. Page 33, donc, car le PDF aurait déjà (presque) conquis le monde entier (sondage Opinion Way/MEDEF/Fouquet's). Et voilà que je recommence! Je vais me soigner chez le docteur (pas de Johnny) et je reviens.

Sélène

Merci Attila, très agréable carte puzzle de Noël.

Anne Sinclair

Clara: c'est encore une de vos dépêches foireuses de future journaliste?? De bonne journaliste, bien sûr, puisque diffusant de fausses informations comme il se doit...;-))

Cela dit votre plaisanterie très bien faite pourrait être vraisemblable tant ce journal - par ailleurs assez bon sur l'actu internationale - bat souvent des records de lèche-c... en ce qui concerne le Chef de l'Etat, le POF comme vous dites. Ou en français, le PDF (President de France)- mais cela fait un peu pièce jointe :-)

Charlotte Goulmy

http://www.dailymail.co.uk/news/worldnews/article-1238908/Ocean-motion-Surfer-captures-mesmerising-world-waves-break-shore.html

Des photos histoire de faire rêver de plages....

attila

Joyeuses Fêtes à Toutes et à Tous !!!

http://www.jacquielawson.com/viewcard.asp?code=ER13610552

Account Deleted

Ma non ne soyez pas triste !
Il est vrai qu'il est facilement possible de vous imaginer en catho intégriste, sabre et goupillon!
Ma non je deconne, je déconne!
Voilà comment j'aime les églises, c'est la seule façon que je considére comme encore possiblement sacrée!

Je vais reviendre faut que je bosse...deux jours et après cale séche, révision des millions de conneries de l'année...

Ext Milan

Nous prenons souvent conscience d’un fait au travers d’un mot jeté innocemment dans la conversation.

"Lorsque vous aurez quitté Milan", avait fait surgir en elle une insupportable tristesse visible sur ce visage d’ange immobile, figé, pleurant d’une affliction soudainement révélée.

Elle baissa la tête.

Je ne sus vraiment que dire !

Mon corps s’éveilla me faisant lever la main et prendre son délicat menton.

Je relevai son regard vers moi .

Mon pouce empressé lui caressa la joue tendrement.

Je me pris à lui sourire.

Alors, ses yeux et ses lèvres s’illuminèrent d’un ravissant sourire et je pris de plein fouet son espoir.

L’ange à nouveau riait sans que je n’eusse le moindre doute de la naissance en son cœur palpitant de ce chant langoureux aux harmonies tragiques.


Je ne suis fait que de notes, de sons, de mélodies, et je ne pus me défaire de leurs confidences envahissantes. Je n’entendais en moi que le doux et triste dialogue des violons abandonnés aux ondoiements contrastés de l’alto unis aux palpitations sombres du violoncelle.

De cette tristesse tempérée par la douceur des voix, je ne sus trouver les mots qui lui auraient fait oublier les siens.


"Lorsque vous aurez quitté Milan !"

Ces mots je les détestais pour la révélation qu’ils furent pour elle.

Je les détestais pour l’envie, le désir qu’il faisait naitre en moi.

Je les détestais de me faire sombrer dans l’oubli des miens.

L’arrivée du garçon, dans son uniforme impeccable de maitre d’hôtel, de sa voix posée, nous tira de nos murmures secrets.

Comme deux chiens sortant de l’eau, il nous fallait nous ébrouer, nous sortir de ce tendre tête-à-tête de silence.

Notre émoi se dispersa en mille gouttelettes éparses.

Je la vis me sourire et l’entendis me suggérer les plats qu’elle souhaitait me faire découvrir.

Nous mangeâmes, nous saoulant de mots inutiles et indolores, voulant chasser de nous cette velléitaire tentation que nous avions l’un de l’autre.

Elle marchait à mes côtés.

Je lui tenais la main comme à peu près tous les couples sur la place se répandent unis.

Le Duomo paré de sa forêt de pierre sculptée, d’une finesse extrême, nous attendait.

Ces centaines de flèches érigées pour la gloire de personnages immobiles à leur pointe effilée, se détachaient sur fond d’azur.

Nous gravîmes les marches en colimaçon, nous permettant d’atteindre les toits dentelés de marbre blanc de la cathédrale.

Elle était heureuse.

Cela donnait à la tessiture de sa voix une légèreté étrange, chantante.

Plus nous approchions de notre but, plus son souffle entrecoupait plus puissamment ses phrases.

La délivrance arriva en une bouffée de chaleur.

Nous fumes assailli par elle !

Nous parvînmes au seuil des arcs bellement décorés de guipures blanches rosées.

Je voyageais avec elle dans le temps, le passé des hommes.

Chaque pierre, chaque ciselure avait une histoire.

Elle me contait celles-ci.

J’étais émerveillé par elle, plus que par la pierre, immobile reflet d’un spleen minéral baudelairien.

Elle me fit découvrir, sous une volée d’arcs-boutants, le chemin labyrinthique qui menait au portrait de l’architecte Joantonius Homoderus, sculpté en médaillon dans du marbre rosi.

En reculant pour admirer la flèche sur le haut du dôme elle trébucha sur une marche.

Je la reçu dans mes bras.

Mes mains posées en corset au creux de sa taille découvrirent son corps.

J'apprenais par le toucher les lignes d'harmonie de cet être gracieux, à la ceinture si délicate.

Elle me considéra surprise et charmeuse.

Je vis dans ses yeux ce que sans doute les siens ne virent pas dans les miens.

Il me vint le souvenir puissant de ma première étreinte.

Il y a déjà si longtemps, dans la grotte aux Loups, alors que je venais juste de sortir de l’engourdissement ou m’avait plongé une balle nazie.

Les yeux sombres d’Aléria virèrent au violet intense.

Elle tourna la tête, je lâchais mon étreinte.

Elle me tourna le dos et s’en alla sur le toit de la nef en direction du fronton de l’église.

Le visage de Violette était là penché sur moi. Ses boucles de cheveux noirs encadraient son sourire et les premiers mots que’ j’entendis d’elle furent :

- Je t’aime Misha !

Je regardais Aléria s’éloigner de moi d’une démarche pesante.

J’étais immobile et tout aussi pesant, affublé d’une toute nouvelle désolation.

Je secouais la tête refusant ce nouveau sort.

Je me décide enfin à m’en retourner vers elle.

Je suis très vite dans ses pas et je tends la main vers son épaule.

A peine l’ai-je effleuré qu’elle se tourne vers moi et je vois ce cristal glissant doucement au coin de ses paupières.

Désemparé, je le suis, comme l’est tout être sur le fil oscillant de la vie.

Elle se jette dans mes bras et léve son visage que j’admire avec convoitise.

J’entends alors portée par son regard sa caressante supplique :

- Embrassez-moi !

Nos lèvres se touchent.

Leur appétence partagée ne laisse à leur timidité première qu’un espace de courte découverte.

Le temps s’arrête en un commun vibrato.

Sur le toit du Duomo, dans cet univers minéral figé, nous sommes la vie.

Je ne pourrais jamais oublier ce baiser là !

Quartet à cordes opus 59 en fa majeur.

Dit Quatuor Razumovsky De Ludwig van BEETHOVEN

Adagio molto e mesto.

ARTEMIS Quartet.

Heïme MÜLLER violon 1

Natalia PRISCHEPENKO violon 2

Volker JACOBSEN Alto

Eckart RUNGE violoncelle

Enregistré du 23 au26 juin et les 2 et 3 juillet 2005 en l’église Jésus Christus de Berlin.

Une bande de jeunes épatants qui deviendront vite inoubliables.

Une fille et trois garçons avec un amour immodéré de la musique et de Beethoven !

Que demander d’autre ?

What else ?

Ce mouvement est sans doute l’un de ceux les plus profonds écrits pour quatuor de toute la littérature musicale.

Suivre la flèche!

Michèle Doige

Anne, je profite toujours de cette improbable connexion matinale.
Je ne suis pas encore aller voir le site concernant la demande de fin de ce débat « défouloir » sur l’identité nationale.
mais hier j’ai signé une pétition à la portée beaucoup plus locale j’en conviens ! à savoir contre la fermeture de la Maison de la Presse place Masséna à Nice.

Oui je sais ça peut faire sourire mais cette institution centenaire est tout de même je n’hésite pas à dire d’utilité publique, le nombre de publications nationales et internationales quelle propose est incroyable, j’y ai même feuilleté hier le New Yorker c’est dire ! Elles est ouverte 7 jours sur 7 et les touristes notamment étrangers s’y précipitent.

Le propriétaire veut vendre à un prix que je qualifierais d’indécent et que l’on ne me parle pas de prix du marché, je bondis !
Les loyers sur cette place mises en valeur par l’arrivée du tramway sont inaccessibles. Les commerces traditionnels ont tous dû fermer pour laisser place à une boutique de transports en commun…et à un immense magasin Nespresso impersonnel au possible, je suis allée faire ma curieuse tout de même, désolée pour les fans George n’y était pas, sa photo oui.

J’aime toujours autant la ville de mon enfance, son site, la mer, pour le reste c’est tout autre chose, les esprits s’échauffent si vite qu’il est impossible de rester zen…tendre l'autre joue ce n'est pas trop mon truc !

Michèle Doige

Bonjour Anne, bonjour à tous

PLus de Wi Fi ces derniers jours, merci à Charlotte d'avoir fait la messagère!
Je profite de quelques instants où je capte un faible signal pour écrire ces quelques lignes.

Notre Potus a une sacrée force de caractère tout de même, il ne se laisse pas décourager par les difficultés et la batons qui lui sont mis dans les roues par ses propres "amis" démocrates, comme on dit "il trace".

Le bilan qu'il fait de son action en 2008 est significatif à cet égard. IL est vrai que la tendance à n'évoquer que les promesses qu'il a faites pendant sa campagne électorale et qu'il a du mal à appliquer du moins en totalité est si facile.

Quand je lis son bilan je me dis que finalement sans m'en rendre bien compte,car toutes ses décisions n'ont pas une portée internationale, et après tout il est Président des Etats Unis avant tout, il en a accompli des choses en plus en période de crise économique et sociale d'une grande ampleur.

Cela faisait longtemps qu'un Potus ne s'était pas investi autant en politique intérieure.

Les Etats Unis se sont montrés maîtres du monde si longtemps que ce serait somme toute paradoxal de le critiquer d'être autant investi dans des thèmes qui ont été négligés depuis longtemps.

En ce qui concerne la health care il pratique la vision de la bouteille à moitié pleine si je puis dire et son optimisme en serait presque communicatif, j'espère qu'il a raison.

Il lui était certainement trop demandé et Obama rappelle par le bilan qu'il établit qu'il est après tout qu'un simple humain! et qu'il n'a durant un an à peine accompli pas mal de réalisations.

Je vais lire les liens que vous nous indiquez Anne si la connexion se maintient mais j'allais en premier au plus pressé en tapant à toute vitesse, je crois que je vais me hâter de valider, j'espère que vous excusererez les fautes éventuelles car vérifier par "aperçu" risquerait de tout bloquer.

Bonne fin d'année à tous depuis une Côte d'Azur qui porte enfin bien son noms, le soleil et le ciel bleu sont revenus après des trombes. Une touriste est tout de même toujours hospitalisée dans un état grave après avoir été balayée par une vague. Comme quoi, si je m'extasiais l'autre jour en me promenant au bord de mer en voyant la Méditerranée agitée comme jamais je ne l'avais vue, je n'avais pas eu conscience du danger...

Clara

Chère Anne, vous qui savez tout sur Obama, savez-vous aussi qu'à Copenhague, il a profité d'une interruption de séance demandée par Tuvalu (la fameuse…) pour faire une course à vélo avec Tsarkozy? Malgré un mal de dos, une entorse et une conjonctivite, Obama a gagné haut la main en mettant cent mètres dans la vue au POF (President of France). Le lendemain, Le Figaro a titré en une: "Triomphe français à Copenhague: Sarkozy finit deuxième; Obama avant-dernier".

Elyas23

Madame Sinclair, justement l'edition spéciale du magazine Essence s'intitule "The Obamas in the White House". Je vois que ce magazine a très souvent mis en couverture le couple présidentiel. Robert Bizolier, j'image que vous devez être très très occupé en Décembre. Pas possible de trouver une place à l'hôtel durant cette période à Marrakech!
Ici, la neige a beacoup fondu mais il va faire froid à partir de demain encore. Amitiés à tous et à toutes.

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