Je suis fatiguée de lire dans les journaux qui se recopient les uns les autres, et font appel à des "informateurs" bien mal informés, des stupidités comme celle où j' insisterais pour que Dominique soit candidat en 2012.... parce que j'aimerais un jour rentrer vivre à Paris! Je tiens donc juste à dire que:
1) Je suis ravie de vivre pour l'heure à Washington,
2) Que bien sûr je serai, un jour, heureuse de rentrer en France,
3) Mais que surtout, heureusement, on peut vivre en France sans pour autant être candidat à la présidentielle! Globalement, c'est le cas de 60 millions de nos compatriotes ... !
Voilà.
Je comprend ce ras le bol des médias qui ne parlent que de 2012 en disant tout et n'importe quoi. Pendant ce temps ils oublient de dire que des propositions d'alternance se réfléchissent au PS .
Quel paradoxe! c'est quand Dominique est loin que tout le monde parle de lui pour 2012. En 2006 on a traNspirer , nous les petis militants pour qu'il gagne parmi les trois candidats. Et maintenant les memes qui lui ont préféré Mme Royalne pensent qu'a son retour qui je l'avoue me ferait un immense plaisir car je ne change pas d'avis en cours de route quand les valeurs sont bonnes . Mais de là à dire que votre seule reve de qu'il revienne pour pouvoir vivre à Paris!! c'est vraiment du papier pour faire vendre des journaux!!
L important est je m'en doute bien autre chose que cela pour vous et en tout cas merci pour ce blog et merci à Dominique pour ce qu'il fait car je suis sur qu'il pense aux plus démunis tout en fréquentant les grands de la finance.
amitiés à tous les deux depuis Orléans
Rédigé par : J Marc | 07 décembre 2009 à 20:59
Merci Frédéric pour vos remarques sympas. Vous nous aviez abandonnés depuis quelque temps, vous et vos moulins!
Rédigé par : Anne Sinclair | 05 décembre 2009 à 18:16
Un salut fraternel à toutes et tous, et une délicate attention à celle qui nous accueille.
Oui, chère Anne, en complément de Philippe Pugnet, je dirais qu'il serait temps que les marchands de papier respecte le retrait que vous avez souhaité observer.
Personnellement je n'y croit pas trop, je redoute même de voir leurs capacités de nuisance aller grandissant avec le temps. Je crains qu'ils ne vous laissent point de répit.
Non pas qu'ils doutent de votre capacité d'indépendance et de votre libre-arbitre, mais ils feront tout pour semer la discorde et torpiller l'éventuel retour de Dominique.
Ils savent la dimension qu'il a prise, et redoutent de le voir battre leur ami protecteur.
Ils ont bien trop peur de lui
Mais, nous vous savons courageuse, combattante et pugnace.
Mais au fur et a mesure que je tape sur mon clavier, me vient la certitude que vous saurez, avec lui, résister à toutes les tempêtes, et vous pourrez compter sur quelques uns d'entre nous pour vous soutenir.
Amitiés
Rédigé par : Frederic Audibert | 05 décembre 2009 à 15:46
Concernant les spéculations sur 2012, n'étant pas innocent en la matière, je comprends tout à fait votre ras-le-bol et je m'y résigne. Je dirais, en citant De Gaulle comme vient de le faire Martine Aubry et en levant les deux bras au ciel: je vous ai compris! tout en ajoutant que si on ne s'occupe pas de la politique, c'est la politique qui s'occupera de nous. Donc, si pas ici et c'est parfaitement compréhensible, on continuera d'en parler ailleurs.
Quel bol d'air frais votre coup de cœur (c'est loin d'être le premier et j'adore ça)sur Antonio Stradivarius! Je suis tenté de dire que j'ai une petite histoire personnelle avec ce génial luthier. Mais je la ferme, il vaut mieux.
Rédigé par : attila | 05 décembre 2009 à 11:44
Je viens de résoudre Besson et son ministère avec. En Angleterre, au lieu du débat sur l'identité ils ont leur ministère des démarches tordues:
http://www.youtube.com/watch?v=IqhlQfXUk7w
Ainsi il resterait ministre, on changerait simplement le nom de son ministère et il pourra librement exprimer ses tocs.
Merci qui? Merci John Cleese
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 05 décembre 2009 à 00:17
Personne n'a fait mention du scandale de Climate Gate qui circule depuis le 24 Novembre dernier http://www.telegraph.co.uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/Climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html
Au début, tout le monde croyait que c'était un canular ou une histoire sans issue, mais beaucoup de monde commence à poser des questions et Al Gore est introuvable d'après les rumeurs qui circulent
Rédigé par : Yul | 04 décembre 2009 à 21:32
Elle est chouette votre histoire sur les stradivarius, l'inutile est parfois bien plus essentiel qu'on ne le pense et puis, si on devait réduire nos vies qu'à de l'utile, on deviendrait des robots!
Rédigé par : Catherine | 04 décembre 2009 à 21:04
@ Yul,
mille merci pour votre témoignage:
"On dit que le Canada est un pays socialiste à cause de son Universal Healthcare mais ma première expérience à l'Urgence a été un succès."
Mes amis de Montréal, Toronto et Vancouver m'ont raconté à peu près la même chose...
Je prends le risque de me répéter:
en octobre-dernier mon amie houstonienne Doreen, à Paris avec sa maman new-yorkaise pendant 4 jours, avant de "descendre" à Toulouse ont eu "la chance"(oui, finalement!) d'aller aux urgences de St-Vincent de Paul pour une luxation d'épaule(la maman)... eh bien, on s'est tellement vite et bien occupée d'elle, qu'elles m'ont dit très enthousiastes:
"well, Mélanie, if this is what you call socialist healthcare, we do want it, need it in the US right away!"
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Pour la décision du Prez-Obama de renvoyer des troupes en Afghanistan: he did make THE right choice... The future will tell he's been right.
Rédigé par : Mélanie | 04 décembre 2009 à 20:37
Yul
pour votre premier alinéa... BIEN DIT
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 04 décembre 2009 à 20:08
Yul, faites votre réaction anaphylactique aux USA et vous paierez encore la facture 10 ans après votre retraite....
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 04 décembre 2009 à 20:06
Superbe fragment! Kiri me donne la chair de poule
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 04 décembre 2009 à 20:02
voilà une info comme j'aime. Passionnante et inutile... Quoique les chercheurs me semblent avoir des choses plus urgentes à faire...
LE SECRET DES STRADIVARIUS
Le mystère, un des plus épais de l'histoire de la musique, tenait depuis trois siècles. Depuis la mort, en 1737, à 93 ans, d'Antonio Stradivari, des générations de luthiers, de musiciens, d'acousticiens et de chimistes avaient tenté de percer le secret du maître. Le bois, la colle, l'assemblage des matériaux, leur traitement : la composition des fameux violons avait été passée à la loupe, ou plutôt à tout ce que la palette scientifique proposait d'optiques surpuissantes. Un élément résistait toutefois à l'analyse, celui-là même dont le maître de Crémone avait toujours refusé de révéler la formule : le vernis.
C'est aujourd'hui chose faite. Après quatre années de recherche, on connaît désormais la structure exacte du mystérieux revêtement. Une équipe d'une quinzaine d'intervenants issus de sept laboratoires français et allemands, coordonnée par Jean-Philippe Echard, chimiste au laboratoire de recherche et de restauration du Musée de la musique, à Paris, doit en faire l'annonce, vendredi 4 décembre. Une publication a été mise en ligne sur le site de la Angewandte Chemie International Edition, la plus importante revue de chimie au monde. Une version papier devrait suivre en janvier, accompagnée d'un article dans la revue Nature. Autant dire que ces conclusions devraient dépasser le cercle des mélomanes.
L'oeuvre d'Antonio Stradivari tient de la légende. De son vivant déjà, les cours européennes s'arrachaient ses réalisations. Rescapé d'une épidémie de peste qui décima les luthiers de la plaine du Pô (nord de l'Italie), il régnait sur la profession. Harpes, cistres, violes, altos, violoncelles, basses, et bien sûr violons : 1 100 instruments quittèrent son atelier au cours de ses soixante-dix ans d'activité. Il en resterait aujourd'hui environ 650.
Entre-temps, le stradivarius s'est imposé comme une référence. Dans les salles de concert, où les virtuoses qui le pouvaient l'ont adopté presque unanimement. Chez les collectionneurs, les prix atteignent plusieurs millions d'euros. Mais aussi chez les luthiers et les scientifiques qui ont tenté de percer le " secret " de Stradivari. L'essence des arbres (des épicéas pour la table, des érables pour le fond) ? La période de coupe (traditionnellement une nuit d'hiver par lune descendante) ?
Les plans exacts de ses instruments étaient connus. Pour le reste, on se perdait en conjectures. En 1830, le physicien Félix Savart obtient du grand luthier français Vuillaume le droit de désosser deux stradivarius. Sans résultat. Par la suite, on évoqua le traitement subi par le bois : densifié par une vague de froid, selon les uns, dopé par un parasite, selon les autres, bonifié par un passage dans la lagune vénitienne pour les troisièmes ; on copia la perfection et l'équilibre de son dessin, qui fixa l'instrument dans sa forme définitive. Et l'on se pencha sur le fameux vernis.
Ah, le vernis ! " Pendant deux cent cinquante ans, on a tout entendu, sourit Jean-Philippe Echard, tout imaginé. En termes de sonorité, comme de couleur. On a dit que Stradivari ajoutait au liant de l'ambre fossile de la propolis, cette gomme rougeâtre que les abeilles recueillent sur certains bourgeons, ou encore de la coquille de crustacés... " Depuis la seconde guerre mondiale, une quinzaine d'articles scientifiques ont été publiés sur le sujet. Les réponses demeuraient toutefois partielles. L'échantillon - un ou deux instruments - restait insuffisant. Réalisés par les seuls chimistes, les travaux ne permettaient pas de s'assurer que la partie analysée était bien d'origine.
L'équipe du Musée de la musique a employé les grands moyens. Elle a intégré à son étude un luthier, Balthazar Soulier, qui avait déjà observé plus d'une soixantaine de stradivarius. Surtout, elle a assis sa recherche sur cinq instruments conservés dans la collection de l'établissement de la porte de La Villette. Quatre violons et une tête de viole d'amour - un instrument à douze cordes tombé en désuétude au XIXe siècle - réalisés entre 1692 et 1724, autrement dit au cours d'une très large période. Sur chacun d'entre eux, ils ont prélevé une parcelle de vernis de la taille d'un grain de semoule. Et ils ont commencé l'expérience, ou plutôt les expériences.
D'abord ils ont passé les particules au microscope à ultraviolets. Ils ont ainsi pu déterminer que les échantillons étaient composés de deux couches avec, dans la seconde, des grains de pigments. " Mais nous ignorions encore comment étaient composées ces couches ", raconte Jean-Philippe Echard.
Les échantillons ont alors pris le chemin de Saclay, dans l'Essonne, pour être analysés en lumière infrarouge dans le synchrotron Soleil. Cet immense accélérateur d'électrons permet de disposer d'une source suffisamment intense pour dresser la cartographie chimique d'un matériau. Et c'est là que l'information essentielle est tombée : le maître utilisait un simple vernis à l'huile. Pas de sous-couche dopée aux extraits de peau, d'os, ou d'esturgeon, comme le voulaient certaines légendes. " Il n'était pas non plus allé traire les abeilles de Hongrie orientale une nuit de pleine lune ", s'amuse Jean-Philippe Echard. Non : pour sa base, le maître utilisait une simple huile siccative, à la façon des peintres ou des ébénistes.
Cette conclusion a été affinée au laboratoire du Museum d'histoire naturelle, à Paris. En couplant deux techniques - la chromatographie en phase gazeuse et la spectrométrie de masse - les scientifiques ont pu préciser la composition de chacune des deux couches. Dans la première, ils n'ont trouvé que de l'huile de peintre. Dans la seconde, un mélange composé de cette même huile et de résine de pin.
Restait à déterminer le contenu des grains de pigment. Cette fois, c'est au Laboratoire de dynamique, interactions et réactivité (Ladir), à Thiais (CNRS, Paris-VI) et à Dortmund, en Allemagne, que le dernier élément du rébus a été déchiffré. Et là, nouvelle surprise ! Le génial Antonio n'avait pas inclus dans son vernis du rouge, mais des rouges, passant, au cours de sa vie, d'un coloris nourri d'oxyde de fer à un vermillon au sulfate de mercure pour finir avec un pigment laqué à base de cochenille. " Avec le vernis, l'intentionnalité de Stradivari n'était pas acoustique, mais visuelle ", conclut Jean-Philippe Echard.
De quoi détruire le mythe ? Pas sûr. " Le luthier reste fasciné par la perfection du travail, la méthode extraordinairement aboutie ", assure Balthazar Soulier. Le public écarquillera toujours les yeux devant le prix astronomique des instruments. Les meilleurs solistes, gorgés de confiance, continueront à le faire sonner comme aucun autre. Quant aux fêlés des quatre cordes, artistes ou scientifiques, ils poursuivront leur recherche éperdue du secret du vieux maître de Crémone.
Rédigé par : Anne Sinclair | 04 décembre 2009 à 20:00
Yul, au de la de vos ennuis allergiques (je les espère finis), voilà un bel exemple de Health care dans le voisinage immédiat des US. Je ne comprends pas qu'ils ne s'en rendent pas compte! Et pourtant, le Canada n'est pas un pays "communist" comme ils disent de l'Europe en craignant, dans leurs fantasmes, qu'un système de santé qui couvrirait tout le monde ne soit totalitaire
Rédigé par : Anne Sinclair | 04 décembre 2009 à 19:58
@ mes amis Français,
Tout ce lobbying que vous faites au sujet d'un certain Monsieur pourrait nuire à sa famiile et la personne elle -même dans le futur. C'est extraordinaire de lire que cette personne est bien aimée mais le blog de notre hôtesse n'est pas un lieu de "lobbying" ( si je ne m'abuse pas) politique mais bien un regard de sa vie et expérience comme une "EXPAT" aux E.U. et les différences avec d'autres pays qui incluent son pays d'origine -La France. On a appris son expérience sur la nourriture dans les grandes surface, le jardinage, le DMV et sa leçon de conduite et sur le sujet qui me tient à coeur - la Santé. Une prise de sang qui lui a coûte quelques centaines.
Eh bien, moi j'ai fais l'expérience du Health Care du Canada hier. En bonne santé, je suis allée chez mon dentiste pour me refaire un remplissage fait en 1994 et qui me donnait quelques problèmes avec certains aliments. Elle m'a faite une piqûre pour gêler l'endroit et après 20 minutes, j'ai fait une crise d'allergies ( la première de ma vie). Pour ne pas prendre de chance elle m'a envoyée à 'l'Urgence d'un hôpital de Montréal où après quelques minutes au triage ( il y avait 3 patients avant moi) , j' étais prise en charge par deux médecins et une infirmière et après 4 heures de soins et d'observations je suis rentrée à la maison . Tout compte fait rien à payer - C'est l'État ( donc ma province) qui a tout pris en charge. On dit que le Canada est un pays socialiste à cause de son Universal Healthcare mais ma première expérience à l'Urgence a été un succès.
Rédigé par : Yul | 04 décembre 2009 à 19:13
Excellent!
je pense que sur ce coup-la la presse prend le relais de l'opinion publique. Tout le monde est desesperé par les candidats potentiels pour l'instant et le paysage politique francais actuel alors les gens revent au candidat ideal :)
Rédigé par : French Ketchup | 04 décembre 2009 à 19:08
Bonjour Anne Sinclair,
L'opposition est dans un tel état, même si Martine Aubry essaie de reconstruire le P.S., que les journalistes s'occupent comme ils peuvent.
Je pense qu'inconsciemment, chacun craint un nouvel épisode de style des primaires de 2006.
Nous refaire le coup de Mme Royal candidate, n'est pas pour plaire parce que chacun connaît désormais la partition de la personne, partition qu'elle nous rabâche à chacune de ses interventions.
Nous avons besoin d'un candidat compétent, raisonnable, pro-européen, qui sache s'imposer au niveau international et ouvert.
Avouons qu'à gauche, la liste est plus que restreinte.
En outre, désormais, nous avons l'impression d'être en campagne électorale continuelle car l'opposition est sans réelle idée et se complaît dans la critique.
C'est usant et infructueux!
Pour finir, les journaux bruissent sur une mise en garde faite par DSK à Sarko dans les toilettes du G20 !
Rédigé par : ghislaine | 04 décembre 2009 à 18:33
@ Yul,
merci bcp d'avoir pensé à moi...
je vais le voir, même si je connaîs la terrible réalité sur place.
Amitiés toulousaines.
Rédigé par : Mélanie | 04 décembre 2009 à 18:12
C'est plus qu'une petite précision, Anne : c'est une mise au point que nous ne pouvons que souhaiter qu'elle soit entendue.
Espérons que ces vendeurs de "torchons" qui sont constamment à l'affût, en feront de même ?
Rédigé par : Philippe Pugnet | 04 décembre 2009 à 18:07
Wouaouh....Ca chauffe!
M'enfous moi en 2012 je pars chez les kangourous!
Voilà!
Rédigé par : Account Deleted | 04 décembre 2009 à 17:47
Juste pour rassurer... la presse m'avait fait croire au retour en force de Martine Aubry, je n'ai rien entendu sur vous... j'aurai retenue! On ne doit pas lire la même presse
PS je me dis que 2012 est une bonne année pour prendre sa retraite anticipé à Paris, assez bossé comme ça! (juste m'écrire votre autobio et qq émissions de 7/7)
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 04 décembre 2009 à 17:39
@ Mélanie
Je ne sais si vpus l'avez vu:
http://plus7.arte.tv/fr/1697660,CmC=2956902,scheduleId=2927892.html
Rédigé par : Yul | 04 décembre 2009 à 17:36
Mrs DSK,
je vous remercie pour ce poste. Je constate que la télépathie "marche"... je me suis "tue" ces derniers jours justement à cause et because de tout ce que vous avez mentionné ici et ceux que certains "journaleux" invités chez Denisot avaient déjà avancé dans l'éventualité que Mr DSK soit candidat en 2012.
Je vous comprends et je me réjouis de vous savoir far away from the maddin' "chacals" parigots...
Respectful regards et en avant la musique...
Dame Kiri Te Kanawa & (la roumaine) Ileana Cotrubas:
http://www.youtube.com/watch?v=gaVIwwNhocg&feature=related
Rédigé par : Mélanie | 04 décembre 2009 à 17:33
Bonjour Anne Sinclair,
Il faut que Dominique soit candidat en 2012.
Si vous le souhaitez même nous pouvons l'aider.
Visitez s'il vous plait avec votre mari mon site et si vous le désirez contactez-moi.
www.alban-haik.com
Cordialement
Alban Haïk
Rédigé par : Alban Haik | 04 décembre 2009 à 17:31