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« Out of Irak, back to the Economy | Accueil | UnAméricain sur 5 pense que le Président est musulman. »

20 août 2010

Commentaires

selene

Cependant, chacun, sur ce blog, essaie de ne pas voir rouge!

lol lol lol lol (je précise moi aussi, on ne sait jamais)

Anne Sinclair

Cher Christian Louboutin, je suis ravie de vous retrouver sur mon blog! C'est mon article sur Obama "musulman"qui vous a fait réfléchir?
Nous y parlons de sujets graves, mais il nous arrive de parler de sujets plus légers et les (mes) chaussures ont été l'objet de moqueries gentilles de nos blogueurs après que j'ai raconté comment j'étais incapable de voyager léger à cause de mes (nombreuses et nécessaires - toutes les femmmes en étaient d'accord- ) paires de chaussures!

christian louboutin

Votre article m'a donné beaucoup de reflexions.

Mélanie

Lady-Anne,

je vous comprends et je vous félicite de ne pas lire les journaux français, car j'ai encore envie de crier: STOP the madness avec les gitans roumains!!!

J'ai vu aux actualités le prêtre(père?!) catho qui avait affirmé ce matin, après avoir renoncé à son Ordre national du mérite, en réponse à la politique française à l'égard des Roms, prier pour que Sarkozy "ait une crise cardiaque"!!! Même s'il a ensuite publiquement "regretté" ses propos, après les horribles histoires de pédophilie, un curé qui souhaite et prie pour la mort d'un semblable, j'en suis beyond stunned, OMG, tout fiche le camp...
===
Meanwhile, à NY, les adversaires et partisans du projet de construction d'un éventuel centre musulman près du site des attentats du 9/11 ont manifesté, sans incidents... Certains plaident pour une délocalisation du projet dans un lieu moins sensible, ce qui est compréhensible et serait, une idée plus calme, peut-être...
---
Ah, de retour à DC, évitez de consommer des Iowa eggs!!! quelque 220 millions d'oeufs provenant de cet état, ont été retirés pour cause de contamination par des salmonelles, yuck, brrr, grrr!!!

Account Deleted

Bonjour Anne, Toutes et Tous..

http://joglesconneries.typepad.com/files/op.59_1-razumovsky-no.1-3-adagi.m4a

Martha la veinarde dans ses vignobles !
Je ne sais pas si c’est une chance pour l’île que cette palanquée de la haute arrivant pour y passer 10 jours !
M’en fiche je préfère et de loin Nantucket !
Bien qu’elle devienne, elle aussi, durant cette période estivale, une sorte de disneyland pour touristes affectés d’un passé qu’ils imaginent plus heureux à vivre!
Pauvre Melville et Achab !
Tous ces touristes sur les pontons vont finir par couler ces îles !!

Alors que je relisais, étendu tel un cétacée échoué mort sur le sable, le magnifique bouquin d’André Chastel : l’Italie et Byzance, sur cette plage ayant des airs d’Île de Beauté,( ou bien alors c’est la Corse qui a des airs de Bretagne), quasi déserte pour raison d’inaccessibilité automobile et longue sente à parcourir, sous un ciel ouvragé, peinturluré d’ascendants virginaux, digne de Monet, je reluquais durant le tournage d’une page un gamin n’ayant pas encore atteint, pour son bonheur, l’âge dit de raison !
Cet enfant creusait un de ses éboulis de sable perpétuel, criait, gesticulait, tirait les cheveux de ce qui devait être sa sœur !
C’eut été sa cousine qu’il l’aurait emmenée derrière les rochers faire des choses déraisonnables, mais de grandes découvertes !
Je replongeais, page tournée dans ma relecture où Matisse se fait Byzantin et l’art contemporain fait en sorte de sauter les siècles pour bien montrer sa rupture avec le passé proche, rejoignant en cela cette Renaissance bondissant par dessus le médiéval pour s’enfoncer dans sa relecture des antiques.
Deux pages plus loin, alors que je passais au verso de ma dextre, je levai les yeux et ne vis dans une cacophonie de cris aigus du môme celui-ci se tenir la joue alors que ce qui devait être son père vociférait, sorte d’éructation rauque, vengeresse d’avoir tiré de sa sieste d’homme avachi qu’il était.
Je n’ai nullement vu celui-ci gifler le drôle, moins encore su le motif de cette soudaine réaction intempestive de l’adulte. Juste avais-je devant moi un môme vexé, un père courroucé, et un lecteur sorti du bonheur qu’il avait d’être à parcourir ces pages d’une rare richesse !
Pourquoi, alors que je me coiffais de mon casque super esthétique de baladeur, aux antennes près je dois, casqué ainsi, faire figure de martien, et écoutais le quatuor Razumovsky, celui dont vous écoutez l’adagio, je me mis à gamberger sur la réalité, ce qu’est ce concept à l’instabilité redoutable dont nous avons qu’une faible aperception.
Le père était il un bourreau d’enfant cognant son môme sous des prétextes aussi ténus qu’un fil d’Ariane ?
L’enfant, avait-il commis une lourde faute qui obligea dans l’instant son père à sévir afin que limites soient enfin perçues par le gamin ?
Non, je ne savais pas quel avait été le ressort de cette action soudaine !
Je ne gifle jamais, je claque les fesses et encore c’est aussi rare que de trouver intelligence chez certains hommes politiques ! J’ai trop peur de foutre le merdier dans les neurones et circonvolutions cérébrales anéantissant d’un coup l’avenir heureux de mes mômes !
Je pouvais imaginer, et sortais ainsi de la réalité, les muscles de la main venant s’écraser sur la tendresse de la joue la faisant se comprimer et déclencher immédiatement un appel sanguin exagéré à sa surface.
C’était la seule certitude que je pouvais avoir, comme de cette réalité marine idyllique où je me trouvais je n’avais à ma disposition qu’une futile image très éloignée de ce qu’était réellement cette plage.
Je pensais aussi à cette note de Anne, sur le départ des boys d’Irak !
Le déclenchement de cette guerre absurde, basée sur le mensonge, rejoignait la longue liste des occupations conquêtes en tout genre qu’égraine l’histoire.
D’Alexandre perdant l’Indus, Rome se scindant en deux, puis disparaissant dans une chute vertigineuse laissant pour longtemps l’Italie désemparée et civilement instable, Charlemagne procréant des fainéants et leur léguant son bien, les Omeyyades et Al Andalusia, Charles Quint voulant régner sur l’Europe, Napoléon pissant dans la Bérézina une dernière fois, les nazis et les nippons suivi du cadet tête de nœud dans un vent de terreur voulant conquérir le monde, tous échouèrent démontrant combien ces TOE anciens, ces apports de civilisation guerriers étaient voués à l’échec !
Quelque soit le motif, le bienfait de la raison si toutefois il en existe ce dont je doute, nul ne peut asservir un autre peuple que le sien, et rien ne dit qu’en l’occasion il y parvienne longtemps !
Le bushman et sa vision d’une réalité étriquée de la vérité historique, nous a fourvoyé sur le rail de la déroute…BO ici dans ce qui peut paraître à certains comme de la sagesse, sagesse qui me semble uniquement régie par la seule contrainte économique que représente cette guerre, fait en sorte d’en sortir selon un calendrier fixé une fois pour toute. Il reste que la présence américaine là bas est maintenant obligatoire, dans ce territoire dévasté, instable où s’affrontent chiites et sunnites, Kurdes et autres, sous l’emprise d’une corruption tenace et d’une mésentente politique constatée.
Si ce n’était que cela !
Le voisin iranien oublié grandement dans la géopolitique régionale en son temps et ses envies funestes de leadership.
La réalité que nous montre BO est éloignée de celle décryptée par les faits !
Puis-je penser que la réalité de BO à cet instant n’est qu’électoraliste ?

La seule conquête stable et pertinente se fait au travers des arts, par des échanges et c’est ainsi que je reviens au livre posthume d’André Chastel que je vous conseille si vous ne l’avez pas encore lu. Moi je retourne à sa relecture.


Quartet à cordes opus 59 en fa majeur.
Dit Quatuor Razumovsky De Ludwig van BEETHOVEN
Adagio molto e mesto.
ARTEMIS Quartet.

Enregistré du 23 au26 juin et les 2 et 3 juillet 2005 en l’église Jésus Christus de Berlin.
Une bande de jeunes épatants qui deviendront vite inoubliables.
Une fille et trois garçons avec un amour immodéré de la musique et de Beethoven !
Que demander d’autre ?
What else ?
Ce mouvement est sans doute l’un de ceux les plus profonds écrits pour quatuor de toute la littérature musicale.
Tonalité en mineur et plongeon vertigineux dans l’obscure clarté des âmes !

Michèle Doige

Bonjour Anne, bonjour à tous

@ Mélanie

Oui Spencer Tracy et "la dame du Connecticut" belle histoire et beaux films !
La dame avait un caractère bien trempé et faisait preuve pour l'époque d'une volonté d'indépendance assez remarquable.
Je ne me lasse pas de voir et revoir "Bringing up Baby", "l'impossible Monsieur Bébé".

Et puisque nous sommes dans les citations, au moment du Maccarthisme elle a dit "Depuis le commencement des temps, l’artiste a toujours exprimé les aspirations et les rêves du peuple. En imposant silence à un artiste, vous bâillonnez la voix la plus puissante qui soit".

Je ne savais pas que le Wisconsin était un autre pays du fromage.

Obama ou plutôt le gouverneur de l'Etat pourrait reprendre à son compte la citation attribuée au général de Gaulle " Comment voulez-vous gouverner un pays où il existe plus de 300 sortes de fromage ?"

Vous voyez Anne, j'apprends et je ne pense pas être la seule, plein de choses sur votre blog, futiles ou plus sérieuses, c'est formidable.

charlotte

Céline, je te cite... Comment ça tu le laissais pas sous entendre?

On ne peut pas toujours quand on le veut et qu'on peut faire marcher. On ne peut pas toujours. Pas en France. Dommage. Je vais remballer pour quelques temps.

Clara

J’ai une blague ! Elle parle d’Amérique, donc je ne suis pas hors-sujet !

Elie et Samuel descendent ensemble la rue du Sentier. A un moment, Elie interpelle son ami (à faire avec l’accent « La vérité si je mens »):
« Imagine, Samuel, que tu gagnes le droit de passer deux heures avec Obama. Est-ce que tu m’offrirais une des deux heures ? »
Samuel : « Elie, tu rigoles, mon frère ? Je ne comprends même pas que tu me poses la question ! On est les meilleurs amis du monde ; tu as été là à tous les grands évènements de ma vie ; on a tout partagé ! Bien sûr que je t’offre une des deux heures ! Et même une heure et demi. Je t’aime trop».
Elie : « Tu es vraiment génial, Samy ».
Les deux compères continuent leur promenade. Puis, au bout d’un moment, Elie se tourne à nouveau vers Samuel.
« Et imagine, Samy, que tu gagnes au loto deux millions d’euros. Là aussi, tu m’offrirais un des deux millions ? »
Samuel : « Mais arrête, un peu, avec tes questions idiotes ! Je t’offre les deux millions mon frère ! Tu sais très bien que je n’en ai pas besoin. Et que tout ce qui peut te faire plaisir me fait encore plus plaisir ».
Elie : « Tu es fantastique ».
Les deux amis marchent désormais bras dessus bras dessous. Jusqu’à ce qu’Elie se retourne une dernière fois vers Samuel :
« Promis, après ça, j’arrête. Mais imagine, Samy, que tu as deux écrans plats...»
« Je t’arrête tout de suite, Elie. Tu SAIS pertinemment que j’ai deux écrans plats ».

CelineElias

Robert, je ne voudrais pas montrer pessimiste mais parti comme c'est parti, il va perdre le Congrès.
Ce qui va lui laisser moins de 2 ans pour reconquérir son monde. Possible et faisable s'il n'y a pas de nouvelle crise intra-américaine au programme d'ici là. La marée noire dans le Golfe du Mexique et surtout sa durée et l'impossibilité pour quiconque d'y mettre fin a joué dans les opinions publiques. Non ?

@ Charlotte : si tu me tues, je ne pourrai plus venir. T'as réfléchi à ça, la Duduche ??? ☺☺☺
Cela dit, je n'avais pas l'intention de partir. Je ne l'ai pas laissé entendre en tout cas. Je disais juste que si j'étais la cause de certains départs trop nombreux ou trop importants, cela n'était pas normal et qu'il était dès lors normal que ce soit moi qui parte plutôt que d'autres. C'est tout. Mais, je te rassure, même si je fais la mouche du coche, je ne veux pas partir. Puisque Anne a la gentillesse et l'inconscience de me tolérer en dépit de tout, et de tout publier qui plus est - ce qui aggrave son cas ! -, je reste. Evidemment. Je ne lâche rien sans raison.

Mélanie

@Charlotte(Corday?!):

"Céline si tu te barres je te tue!"

wow, quelle autorité, menaces en publique(sic!), avec bcp de témoins, ça va aller très loin, mais bon, tu vas assumer, vues tes origines françaises, I guess...
Je me demande ce que Marat en penserait?!☺;-)☺

Charlotte

Je me demandais depuis une semaine ou deux ce que les USA allaient bien pouvoir faire pour stopper Julien Assange de Wikileaks... Je m'attendais au pire mais je ne suis pas déçue... On l'accuse de viol!!! Je n'y crois pas UNE seconde, il es bcp trop reconnaissable pour s'amuser à violer en comptant rester anonyme. C'est une honte. Obama devrait s'occuper lui-même à tirer les choses au clair étant donné que cette magouille se fait son son autorité...

Mélanie

Bonjour de hot Toulouse!

eh, oui, Prez-Obama est parti se relaxer, il en avait besoin après les résultats du récent sondage qui reconfirme que de plus en plus de ses compatriotes pensent, à tort, qu'il est musulman. Mais comme dit le sympa Paul Begala, tout cela importerait sans doute moins si l’économie-US allait mieux:"il pourrait être druide(hi Jog!) si seulement nous créions des emplois!"

frankly speakin', ses vacances n'en sont pas vraiment:"c'est un concept relatif pour le dirigeant de la première puissance mondiale.", dixit Bob Gibbs.

quant au retour à NO 5 ans après "katrina", je lui souhaite bon courage & bonne chance, car meanwhile il y a eu l'horrible marée noire et les louisianais sont de plus en plus déespérés... cette cata est finie en surface, seulement, alors qu'un épais "nuage" de pétrole flotte à plus de 900 mètres de profondeur, s'étend sur au moins 35 km et 1,9 km de largeur, le pire étant le manque de moyens d’agir sur le pétrole dilué dans l’eau… BP a mis de côté(où ça?!) 20 milliards $US pour compenser ceux qui auront été touchés par la catastrophe écologique s'ils renoncent à leur droit à poursuivre BP, selon New York Times!!! donc, pas d'indemnisation en cas de poursuite?!... cynisme, banditisme, beurre(salé!) et son argent?!...:-(

Charlotte qui regarde West Wing quand Bartlett ne peut pas atterrir

It's Obama's White House, but it's still Bush's world

By Julian E. Zelizer
Sunday, Aug 15, 2010

When conservatives brand President Obama a socialist or a foreigner, his aides laugh it off. When critics disparage him as arrogant or aloof, they roll their eyes. But if liberals dare compare Obama to his predecessor in the Oval Office, the gloves come off.

"I hear these people saying he's like George Bush," White House press secretary Robert Gibbs told the Hill newspaper last week. "Those people ought to be drug-tested. I mean, it's crazy." Gibbs went on to deride such critics as the "professional left," who will be content only "when we have Canadian health care and we've eliminated the Pentagon."

Even though Gibbs later semi-apologized, saying he had spoken "inartfully," it's not hard to see why the comparison stings. As the midterm elections approach, Democrats have made George W. Bush a focus of their fall campaign. Speaking at a Texas fundraiser Monday, Obama asked: "The policies that crashed the economy, that undercut the middle class, that mortgaged our future -- do we really want to go back to that, or do we keep moving our country forward?" Their message is clear: Republicans still embody the Bush agenda, and only with a Democratic White House and Congress will the nation be able to truly break from the past.

The president is correct in part. Just look at the health-care overhaul, Wall Street reform and the new emphasis on diplomacy in American foreign policy to see the difference that one election can make. Yet the break between Bush and Obama should not be exaggerated. Dismantling the past is extraordinarily difficult. In a host of arenas, Obama is holding on to the Bush administration's policies and practices, even some that he decried during his presidential campaign and vowed to undo. From the wars we fight to the oil we drill for, we're still living in the Bush era -- like it or not.

First, consider the strengthening of presidential power. Every president since Richard Nixon has fought to restore the authority of the executive branch that was diminished as a result of Watergate. No chief executive was as successful as Bush, especially since he had the help of Vice President Dick Cheney, who had dedicated much of his career to criticizing the 1970s reforms that he thought had emasculated the White House. Bush relied on signing statements and executive orders to implement initiatives such as warrantless wiretapping without having to get approval from Congress.

Obama has not done much to reverse the trend. While he has worked harder to court Congress, allowing legislators to craft the details of the health-care legislation, for example, he has not stepped back from Bush's robust use of executive power. He has relied on it to strengthen environmental programs and agencies that had been weakened since the 1980s. On national security, the pattern is more striking. Obama's Justice Department has turned to Bush's sweeping interpretation of the "state secrets" privilege to battle lawsuits involving the rendition and torture of terrorism suspects, and the president has defended the right of the government to conduct intrusive domestic wiretapping programs.

The second enduring legacy of the Bush presidency is the sprawling counterterrorism infrastructure created after Sept. 11, 2001. The Bush administration vastly strengthened the government's ability to fight terrorist networks by collecting information, tracking and closing down financial and nonprofit organizations, and interrogating detainees. Although Obama was a critic of this program on the campaign trail, much of it remains in place -- most notably, the detention facility at Guantanamo Bay, Cuba.

Early in the Obama presidency, Jack Goldsmith, a former lawyer for the Bush administration who had become a vocal critic of its counterterrorism policies, criticized Cheney for exaggerating the differences between the two White Houses. "The new administration," Goldsmith wrote in the New Republic, "has copied most of the Bush program, has expanded some of it, and has narrowed only a bit."

And in a blistering report on the administration's national security record released last month, the American Civil Liberties Union warned of the "very real danger that the Obama administration will enshrine permanently within the law policies and practices that were widely considered extreme and unlawful during the Bush administration. There is a real danger, in other words, that the Obama administration will preside over the creation of a 'new normal.' "

The report praised Obama's decisions to release the Bush administration's "torture memos" and to outlaw secret CIA prisons overseas, as well as his prohibition of torture, but criticized the administration for, among other things, failing to eliminate military commission trials and targeted killings of terrorism suspects. ACLU Director Anthony Romero declared himself "disgusted" with the president's policies.

Nor, in a practical sense, has the Obama administration distanced itself from the Bush administration's third legacy, its wars for regime change. After the 2001 attacks, Bush defended a vision of foreign policy that sought to remove terrorist-friendly governments from power and rebuild their countries' civilian and security institutions. These principles underpinned the wars in Afghanistan and Iraq.

To the frustration of many liberals, Obama has not changed course. While following through with Bush's withdrawal schedule for Iraq, Obama has expanded Bush's mission in Afghanistan by sending 30,000 more troops into the conflict. He is now relying on Gen. David H. Petraeus, who Bush used to clean up the problems in Iraq, to strengthen the counterinsurgency effort in Afghanistan. And Obama's withdrawal dates remain fuzzy. At the end of this month, 50,000 U.S troops will still be in Iraq, while the July 2011 deadline for leaving Afghanistan remains far from solid (in fact, many administration officials backed off that date almost as soon as it was announced).

The Bush administration also rejected strong regulatory oversight of offshore oil drilling -- a fourth critical legacy. In keeping with their long-held position that oil companies should be free from government restrictions in order to help end American dependence on foreign oil, Bush officials allowed agencies responsible for oversight to be weakened, staffing them with administrators who were skeptical of climate change and other scientific arguments about the environment.

Although many Democrats initially decried Bush's deregulatory policies on offshore drilling after the BP oil spill in the gulf, it soon became clear that blame also rested with the Obama administration. In a series of penetrating articles for Rolling Stone, Tim Dickinson revealed how the Obama White House had not done much to repair the broken Minerals Management Service and had been willing to trade support for offshore drilling in exchange for votes on climate-change legislation. Ignoring the advice of scientific experts, the administration authorized an aggressive round of drilling in the gulf without adequate environmental review.

After the spill, the Obama administration did impose a moratorium on drilling and stuck with it despite enormous political fallout; when a federal judge struck down the first ban, Obama imposed another. Yet the moratorium has been far from airtight, with loopholes allowing several kinds of drilling to continue.

Fiscal policy is the final area where Bush's legacy still looms. The tax cuts of 2001 and 2003 provided substantial tax relief for middle- and upper-income Americans, with the benefits weighted toward the wealthiest citizens. Building on Ronald Reagan's supply-side economics, the Bush administration pushed for big cuts based on the notion that they would propel economic growth. Moreover, during the financial meltdown in the fall of 2008, the administration proposed the Troubled Assets Relief Program -- with Democratic support -- which offered a massive bailout to the nation's financial sector.

These policies remain intact. Obama, as a senator and presidential candidate, helped push the TARP through Congress, and as president he extended and defended the bailout. On the Bush tax cuts, which are set to expire this year, the verdict is still out. Here, Obama and the Democrats have made an aggressive push to overturn part of the Bush legacy: They have rallied support to allow the tax cuts for the wealthiest Americans to expire -- in order to reduce the deficits they helped create -- while extending the cuts for Americans earning less than $250,000 a year. It's not clear whether they will succeed; after all, many Democrats are nervous about being tagged as members of the party that raises taxes.

Almost since before he took office, Bush was written off by many as an intellectual and policy lightweight, an accidental commander in chief. Nonetheless, it soon became clear that his would be a very serious presidency -- one with long-term consequences for the nation and the world, far beyond his two terms in office.

Obama, who won the presidency on a platform of change, is now seeking to recycle that anti-Bush magic for the midterm vote. Yet, he is learning the hard way that it is easier to campaign against the Texan's legacy than to actually govern against it. It is Bush who, despite avoiding the post-presidential limelight (at least until his memoir is published in November), has continued setting the terms of the debate, so much so that his successor and opponents must adopt many of his ideas, however reluctantly.

We may live in the age of Obama, as many call it, but it's still Bush's world.

Julian E. Zelizer is a professor of history and public affairs at Princeton University. He is the editor of the essay collection "The Presidency of George W. Bush: A First Historical Assessment," forthcoming this fall, and the author of the forthcoming "Jimmy Carter."

Robert

Bonjour !

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