Dès lundi matin, BO a réuni de nouveau ministres, responsables militaires et directeurs des services de renseignement et de contre-terrorisme pour continuer les discussions sur la stratégie à observer en Afghanistan et préparer la venue d’Hamid Karzai qui est arrivé depuis à DC.
Le Président était briefé sur la suite des opérations militaires par le Général McChrystal et le secrétaire à la Défense, Robert Gates. Au cœur des discussions se trouvait l’offensive contre Kandahar que les forces américaines et de l’OTAN préparent depuis deux mois déjà.
Mais le vrai le débat, porte sur l’attitude à adopter face au Président afghan avec qui les relations se sont dégradées depuis l’arrivée de BO à la Maison Blanche, comme je le notais l'autre jour.
Deux camps s’opposent au sein de l’administration Obama avec, d’un côté, ceux qui sont favorables à Hamid Karzai et prônent pour plus de patience et plus latitude ; et de l’autre, ceux qui ne croient plus en la capacité (et la volonté) du Président afghan de conduire les réformes nécessaires à la stabilisation démocratique et à la sécurité du pays. Parmi eux, on trouve Karl Eikenberry, l’ambassadeur américain à Kaboul, qui à l’opposé des communiqués officiels, n’hésite pas à déclarer publiquement que "Mr. Karzai n’est pas le partenaire stratégique adéquat" (“not an adequate strategic partner”).
Dans la foulée, une seconde série de réunions a été organisée, visant cette fois à faire le point sur la situation au large des côtes de la Nouvelle-Orléans et surtout, à passer en revue les nouvelles solutions proposées pour stopper les fuites de pétrole brut qui continuent toujours à s’échapper des puits de forage de la plateforme Deepwater Horizon (à hauteur de 800.000 litres par jour, rappelons-le !).
Le week-end dernier, le dispositif d’urgence de BP, qui consistait à enclore le puits principal d’une sorte de couvercle d’acier a échoué.
Dans un communiqué, l’administration Obama expliquait combien "l’explosion de la plateforme Deepwater Horizon et la marée de noire de BP nécessit(aient) de se battre sur tous les fronts – de l’encapsulation (?) du flot de pétrole s’écoulant du puits, au barrage mis en place à la surface, sans oublier la surveillance de la progression de la marée noire sur les côtes et les dégâts dans les marais et zones poissonneuses du Golfe du Mexique. ".
Même le Sénat s'est penché sur le dossier. Les responsables de BP, Transocean et Halliburton, c’est-à-dire les exploitants et propriétaires de la plateforme, ont dû être entendus toute une journée par la Commission de l’énergie et des ressources naturelles et puis, par celle de l’environnement et la santé publique afin de déterminer les causes de l’explosion et les responsabilités des différents acteurs.
Enfin, comme tous les leaders en Europe, Barack Obama entame et termine toutes ses journées par un point sur la crise grecque, sa contagion à l'Espagne et au Portugal et les réactions des marchés.Et tandis que, dans les média, les experts débattent pour savoir si la Grèce est le nouveau Lehman Brothers, Barack Obama, lui, a réaffirmé son soutien au plan européen : "Que ce soit clair : les Etats-Unis soutiennent ces efforts et nous continuerons à coopérer avec les autorités européennes et le FMI durant cette période critique".
("I made clear the United States supports these efforts and we'll continue to cooperate with European authorities and the IMF during this critical period.")
Il en a même - dit-on - téléphoné aujourd'hui à Zapatero pour lui demander d'être vigilant dans la réductions des déficits de l'Espagne. Ce que des manifestants à Madrid n'ont pas du tout apprécié...
BERLIN — The President of the European Central Bank is quoted as saying that he still sees Europe's economy in its deepest crisis since World War II or even World War I.
German News weekly Der Spiegel on Saturday reported that Jean-Claude Trichet said that since the beginning of the financial crisis in 2008 "we have experienced and we are experiencing really dramatic times."
In an interview to be published Monday, Trichet linked the recent exacerbation of the eurozone's debt crisis to the 2008 collapse of the U.S. investment bank Lehman Brothers, saying "the markets didn't work anymore."
Trichet was further quoted as saying that there was no doubt the economy "is in its most difficult situation since World War II or perhaps even since World War I."
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 15 mai 2010 à 20:10
Wow, Nicolas Sarkozy Banged His Fist On A Table And Threatened To Pull Out Of The Euro
Joe Weisenthal | May. 14, 2010, 6:07 AM | 1,813
This may be the most interesting story yet to have come out of the Greece bailout talks.
Spanish newspaper El Pais is reporting, via The Guardian, that during the negotiations, Nicolas Sarkozy actually threatened to pull out of the euro if there wasn't a Greek bailout.
Sarkozy demanded "a compromise from everyone to support Greece ... or France would reconsider its position in the euro," according to one source cited by El País.
"Sarkozy went as far as banging his fist on the table and threatening to leave the euro," said one unnamed Socialist leader who was at the meeting with Zapatero. "That obliged Angela Merkel to bend and reach an agreement."
Why is this important? Well it's the first time we've ever heard that a major European leader has threatened or intimated anything like this.
But beyond that, everyone assumed that if any country were going to quit, it'd be Germany, not France. Sarkozy used the last week before the Greek bailout to present himself as Mr. Euro, the new leader of the Eurozone. So the fact that behind closed doors he had something totally different in mind is fascinating, and definitely adds a point in favor of those who say the union remains quite fragile, even now.
Meanwhile, the euro itself seems to be getting hammered by the minute. It's now decisively below $1.25, and $1.24 seems like a distinct possibility.
And if you don't know why Sarkozy was so adamant about this, then you haven't seen the list of who got saved in the Greek bailout.
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 14 mai 2010 à 15:03
@Lady-Anne, je vous cite:
"La réponse qu'Elisabeth Roudinesco lui a faite, est très argumentée et a emporté davantage mon adhésion que ce pamphlet ne m'attire."
et je vous confirme que je suis du côté d'Elisabeth-R, aussi, mais pas forcément et spécialement parce qu'elle est d'origine roumaine...;-)
Rédigé par : Mélanie | 14 mai 2010 à 10:26
Sélène, je déteste parler d'un ouvrage que je n'ai pas lu (celui d'Onfray), mais j'ai lu beaucoup sur les débats qui ont suivi la population. Onfray ne s'arrête pas au surmoi, mais procède à une exécution totale de Freud, sur le modèle du Livre Noir de la Psychanalyse paru il y a quelques années. Avec talent (notamment oratoire) car il en a, mais - me semble-t-il - avec une violence étonnante, comme un compte personnel à régler. La réponse qu'Elisabeth Roudinesco lui a faite, est très argumentée et a emporté davantage mon adhésion que ce pamphlet ne m'attire. Je me méfie beaucoup de ceux qui tirent ainsi à boulets rouges sur la psychanalyse, qui ne cesse d'évoluer depuis Freud et qui a sauvé psychologiquement bien du monde - davantage que la grotte de Lourdes que j'ai entendu Onfray plusieurs fois citer...
Rédigé par : Anne Sinclair | 14 mai 2010 à 09:31
Puisque vous êtes en congés en France et d'humeur badine, permettez-moi une surenchère sur les plaisanteries de Mélanie et Maule :
3 mères juives parlent de leurs fils.
La première : "Moi mon fils est tellement riche qu'il pourrait acheter tous les magasins des Champs-Elysées !"
La deuxième : "Ce n'est rien, moi mon fils il est tellement riche qu'il pourrait acheter cash tout New-York !!!"
La dernière de répondre " Et qui vous dit que mon fils est prêt à vendre ?"
Rédigé par : RobertBizolier - Marrakech | 13 mai 2010 à 23:39
Communication, électricité, éclairage....
Les problèmes de notre temps.
Symboliquement, ces 3 termes sont aussi mis en relief par le nouvel ouvrage de Michel Onfray, à propos de Freud.
Son accusation envers Freud d'avoir été favorable au fascisme n'est pas une analyse historique, mais je l'approuve si l'on analyse l'idée d'autorité intérieure du surmoi sur le moi caché.
D'après Freud, c'est lorsque le surmoi maîtrise la pensée plus profonde quand elle n'est plus cachée, que l'individu pourrait aller mieux.
Cette idée de nécessaire autorité m'ennuie, comme elle ennuie Onfray.
Rédigé par : Sélène | 13 mai 2010 à 23:29
Qqn a vu le dernier pub pour Nespresso? Clooooooooooooooney marchande aux portes du paradis pour pouvoir garder la machine Nespresso contre sa maison au bord du lac de Côme ou contre sa porsche noire decapotable.... So funny...
Rédigé par : Ch | 13 mai 2010 à 23:11
Frédéric, comme exemple d'absurdité administrative, votre histoire EDF est presque incroyable!!
Et Maule, j'ai adoré cette histoire de "Mon Dieu"...!
Rédigé par : Anne Sinclair | 13 mai 2010 à 22:57
Après Orange pour Anne, ....voilà EDF pour mon amour de mère.
Ma mère reçoit une facture de -71€ !
Inquiète elle téléphone à la plate forme EDF, on lui dit "pas d'inquiétude, c'est une lettre type automatique, n'en tenez pas compte. En fait c'est EDF qui vous doit de l'argent pour avoir prélevé 71€ de trop."
Pas vraiment rassurée, ma mère demande une confirmation écrite. Serez vous étonnés si je vous apprends qu'elle l'attend toujours ?
Là, elle reçoit une lettre d'injonction type d'EDF lui annonçant la future coupure d'électricité si elle ne règle pas la facture de -71€ avant le 14 avril ......2006 !!!!
Oui, vous avez bien lu : un somme négative à régler avant le quatorze avril deux mille SIX !!!
Alors, s'il y a un responsable a EDF, (mais y a t il encore un responsable à EDF ?) qui lit ce blog, je crois pouvoir lui annoncer qu'il y a un sérieux ménage à faire du cote de Nice , puisque c'est de la bas que sont envoyées les lettres de relance, mais aussi pour lui dire le dévouement des interlocuteurs EDF du cote de Chasseneuil, désolés de ce qui arrive, mais qui paraissent bien désarmés.
Bonne soirée a toutes et tous.
frederic
Rédigé par : Frederic Audibert | 13 mai 2010 à 21:24
Merci à Sylvain et aux autres par avance, si vous avez de nouvelles infos.
Puisque Mélanie a l'humeur badine, une historiette en ce jour de fête religieuse.
Trois femmes qui s'étaient perdues de vue dont deux bigotes, se rencontrent au marché.
- La première dit:
Je suis fière de mon fils. Il est prêtre, et les fidèles quand ils le voient lui disent "mon Père".
- La seconde qui l'écoutait avec un petit sourire satisfait, lui répond.
Eh bien, le mien est évêque. Quand on s'adresse à lui , on lui dit "Monseigneur".
-La troisième embarrassée, hésite, puis se lance.
Mon fils est artiste à Paris, il fait tous les soirs un numéro déguisé en femme, et quand il se termine en nu intégral, les gens disent: "mon Dieu"!
Rédigé par : Mau!e | 13 mai 2010 à 20:20
Un jour de repos pour tout le monde?
C'est bien calme ici...
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 13 mai 2010 à 19:36
5 Myths about the European debt crisis
By Carmen M. Reinhart and Vincent R. Reinhart
Sunday, May 9, 2010
Just when the American economy appeared to be on the mend, a new crisis is stressing global financial markets. Greece's difficulty in financing its bloated budget deficit -- and the prospect that its debt troubles will spread throughout Europe and beyond -- is dominating the news. The euro has shed 12 percent of its value this year, and U.S. stock markets have shuddered in response, with the Dow declining almost 6 percent in the past week alone.
The authorities have stepped in, with the European Union and the International Monetary Fund putting together a $141 billion rescue plan that compels Athens to swallow some tough austerity measures. Will it work? Or will the problems spread? To answer those questions, it helps to first tackle the myths that have emerged surrounding this latest financial crisis:
1. This is a new type of crisis.
It's easy to imagine that this is a thoroughly 21st-century financial calamity, wrought by modern financial products and a hyper-connected global economy. But in fact, governments have borrowed to live beyond their means -- and have had trouble paying their debts -- for about as long as there have been governments. From the 14th through the 19th centuries, monarchies routinely resorted to debasing their currencies, expropriating private property and defaulting on their debts. And their failure to honor their obligations usually produced severe economic hardship for their populations.
More recently, countries have often defaulted on their debts or been forced to restructure their payments. Some have done it multiple times; for the past 180 years, Greece has been in default about half the time.
As recently as 2001, the government of Argentina ran into funding difficulties. Repeated attempts at fiscal austerity triggered widespread riots. In the end, despite IMF assistance, the authorities could not stanch the fiscal bleeding, and Argentina defaulted on $132 billion of debt obligations, sending its economy into freefall.
2. Small economies such as Greece can't launch major financial turmoil.
Remember Thailand, which has an even smaller gross domestic product than Greece? Thirteen years ago, its financial woes sparked a regional crisis that sent currencies and stock markets plummeting throughout East Asia. South Korea and Thailand narrowly avoided default only through painful new economic policies -- slashing government spending, raising taxes and restructuring private debts-- and international support. By the end of the crisis, Asian economies had contracted by as much as 13 percent.
How do crises spread from one country to another? First, many governments have common lenders, including big international banks and hedge funds. If these institutions suffer large losses in one national market, they often pull back their lending to others.
Second, trouble in one country acts as a wake-up call to investors, who scour their global holdings for similar risks elsewhere. When they look hard enough, they usually find something to worry about, triggering even more funding withdrawals. Greece, Ireland, Portugal and Spain may be miles apart, but to a worried portfolio manager, they look similar: They all have ongoing budget deficits and large private and public debts.
3. Fiscal austerity will solve Europe's debt difficulties.
The need for Greece and other European economies to slash government spending is not some artificial imposition by the IMF or the European Union. Once investors decide that a country living beyond its means will have a hard time meeting its debt obligations, spending cuts become a reality of arithmetic.
But fiscal austerity usually doesn't pay off quickly. A large and sudden contraction in government spending is almost sure to shrink economic activity as well. This means tax collections fall and unemployment and welfare benefits rise, undermining efforts to reduce the deficit. Even if new borrowing is reduced or eliminated, it takes time to whittle down a large debt, and international investors are notoriously impatient.
In recent years, several countries facing market pressures opted for austerity measures and eventually recovered, such as Mexico in 1995, South Korea in 1998, Turkey in 2001 and Brazil in 2002. But they all started with debt burdens significantly lower than Greece's.
Of course, a country such as Greece could seek to negotiate with its creditors to reduce its debt, but that path -- essentially a partial default -- is no panacea. Argentina's economy contracted about 15 percent after its default in 2001, as it was shut out of international markets for a time. When debt dynamics turn as adverse as those in Greece appear to be, authorities have no good options.
4. The euro is to blame for Greece's financial woes.
Greece's adoption of the euro in January 2001 was first considered a blessing. A country with a history of high inflation and currency turmoil would shape up by linking itself to more disciplined economic partners. The immediate reward for Greece was the ability to borrow money at lower rates.
But there can be too much of a good thing. Before it joined the Eurozone, Greece's household debt was only 6 percent of the nation's GDP. By 2009, it was nearly 50 percent of GDP. And by the end of 2009, government debt had marched upward to about 115 percent of GDP. In that sense, the euro did pave the way to this crisis.
However, Greece was not the only country on a borrowing bender. Iceland and the United Kingdom, not to mention the United States, dramatically increased domestic and international borrowing, even as they retained their national currencies. The question is not why politicians were willing to spend freely and tax insufficiently -- that may be part of their DNA. Rather, why did lenders facilitate such overborrowing? Across continents, good economic times bred complacency among investors, who believed that past performance promised a bright future.
5. It can't happen here.
Where have we heard that before?
In the mid-1990s, authorities in the fast-growing countries of East Asia explained that their success was due to "Asian values." The crisis of 1997-1998 changed that tune. Similarly, senior U.S. officials spoke confidently in 2006 as they basked in the glow of the "great moderation," as economists called the easing of business-cycle fluctuations over the prior two decades. Financial institutions were rock solid and not leveraged, we were told. Financial markets were resilient. And housing prices would never decline nationwide. Who would have listened 12 months ago to someone asserting that an E.U. member would teeter on default?
The stark choices before the Greek government are not in America's immediate future. However, a U.S. fiscal deficit at 11 percent of GDP and an overall federal debt level that is rapidly climbing toward 100 percent of GDP are testing the risk tolerance of domestic and international markets. Taking for granted that Uncle Sam can indefinitely borrow at reasonable rates is a risky proposition.
Carmen M. Reinhart is the director of the Center for International Economics at the University of Maryland and the co-author with Kenneth S. Rogoff of "This Time is Different: Eight Centuries of Financial Folly." Vincent R. Reinhart is a resident scholar at the American Enterprise Institute.
Rédigé par : Charlotte largement dépassée | 13 mai 2010 à 14:51
@Robert,
eh oui, quelle crise, même pour les sujets de conversation intéressants... j'en avais parlé ici:
http://annesinclair.typepad.fr/journal/2010/05/michelle-ma-belle-/comments/page/2/#comments
===
3 amis discutent, l'un dit:
- Moi j'ai 10 garçons!
L'autre dit:
- Bah, si t'en fais un 11e, tu auras une équipe de foot...
Le 2e enchaîne:
- Moi j'ai 14 garçons!
L'autre rétorque:
- Mais si tu en faisais un 15e, tu aurais une équipe de rugby!
Et le 3e dit:
- Moi j'ai 17 filles!
L'autre rétorque:
- Si tu en faisais une 18e tu pourrais faire un golf...(Hi Tiger Woods!)
☺☺☺
Rédigé par : Mélanie | 13 mai 2010 à 13:28
Mau!e, je crois me souvenir que les premiers effets vont se faire sentir en septembre avec une montee en puissance pendant 2 ans.
Rédigé par : Account Deleted | 13 mai 2010 à 12:50
Maule, j'avoue que je ne sais pas répondre à votre question. L'actualité est si vorace, qu'une nouvelle chassant l'autre, plus personne ne parle de la réforme de santé... Je vais me renseigner car c'est une question intéressante qui donne la mesur de temps en politique entre un vote - fût-il hautement symbolique - et l'application dans les faits.
Rédigé par : Anne Sinclair | 13 mai 2010 à 12:42
Obama est intelligent et sait que si l'Euro explosait, le dollar ne s'appuie pas sur des fondamentaux économiques assez sains pour être à l'abri des marchés financiers ...comme on dit. Au fait qui sont-ils? Les nommer un peu plus (je veux dire les bénéficiaires: banques, fonds d'investissement etc...) les rendraient peut-être moins insaisissables et moins nuisibles. J'ai dit peut-être.
Une question SVP Anne pour finir. Ou en est la réforme de santé, ou plus exactement quand commencera -t-elle à faire sentir ses effets positifs? Les différents Etats peuvent-ils retarder son application?
Cordialement
Rédigé par : Mau!e | 13 mai 2010 à 12:39
Mmmmhhh Robert, je ne sais pas si c'est vrai, mais si cela l'est, je trouve cela assez "cute" - comme ne l'a sûrement pas pensé Michelle qui, si encore une fois l'histoire est vraie - et chacun sait que les 3/4 de ce qui s'écrit est faux - a dû être terriblement choquée! So french...
Rédigé par : Anne Sinclair | 13 mai 2010 à 12:39
Claude, mes souvenirs datent mais il me semble que l'on injecte du gaz sous pression pour pouvoir extraire le petrole. Et vu l'explosion le trou du puit doit etre en choux fleur maintenant ! Donc pas facile a colmater meme avec de la preparation H... :-)
Plus serieusement : http://actualite.portail.free.fr/monde/13-05-2010/une-negligence-de-bp-serait-a-l-origine-de-la-maree-noire/
Rédigé par : Account Deleted | 13 mai 2010 à 12:28
Bonjour !
En ce temps de crise et de crises, voici qui amusera les médias US...
http://politicalticker.blogs.cnn.com/2010/05/12/trending-michelle-obama-shocked-by-brunis-sex-talk/?fbid=jgoE327z1Qf
Rédigé par : Robert | 13 mai 2010 à 12:01
Bonjour Anne, bonjour à tous
Les Présidents Obama et Karzai ont tenu une conférence de presse commune à l’issue de leur rencontre à Washington.
Pour Obama "le partenariat s’élargit" et pour Karzai les relations entre les deux pays "sont plus solides que jamais". Ah qu’en termes diplomatiques ces choses-là furent dites !
L’épineux sujet de la corruption n’est plus évoqué en public par Obama. Quant au président afghan il s’est rendu au Congrès pour déclarer que "la lutte contre la corruption est un sujet sur lequel nous agissons chaque jour".
"Nous avons commencé à briser l'élan de l'insurrection" a déclaré le Potus. Au bout de 9 ans d’intervention et alors que les troupes américaines vont se retirer du pays, je ne sais pas si cette affirmation est de nature à rassurer l’opinion publique et les opposants à ces "opérations", tout ça pour ça pourraient-ils se dire !
@ Clara
Zapatero et l’opérateur "orange juice" bien trouvé ! les jus d’oranges fraîches d’Espagne sont si bons ! m’a fait penser à la pièce de Lorca "la zapatera prodigiosa "la savetière prodigieuse.
Le personnage de Zapatero, le cordonnier, propose à sa femme un rafraîchissement au citron pour la calmer ☺☺☺☺
Et ici c'est encore et toujours le déluge...
Rédigé par : Michèle Doige | 13 mai 2010 à 11:37
Ce portrait de Deneuve est tellement beau que j'espère que Sarki ne le regarde pas... Il se mettrait à lui organiser ses funérailles illico presto!
C'est marrant comme elle aussi se regarde avec distance, y a pas de quoi fouetter un chat quoi... Ca me rappelle qqn...
Rédigé par : ch | 13 mai 2010 à 11:33
Deneuve la femme de glace!
Bonjour Anne toutes et tous,
Je serai assez d'accord avec l'ambassadeur US à Kaboul, Karzaï n'est pas le bon partenaire.
Mais il faut faire avec...Sinon c'est le retour aux vieilles habitudes de la CIA....On dégomme le gouvernement en place pour avancer ses pions!
Bref un retour aux pratiques des années 60 70 80, qui ne sont pas ici des mensurations féminines dans le désordres!
Du pétrole et des poils, ça pourrait faire un titre de roman, mais ça ne fera que la une des journaux, et le lissage des plumes des oiseaux...
Encapsulation, en informatique c'est protéger des données dans un contenant...Ici c'est un cataplasme sur une jambe de bois...La solution ils l'ont depuis le départ, le 'cimentage' du puit par injection oblique...ce qu'ils savent aussi c'est la fin de l'exploitation il faut en forer un autre...Ce qui coute cher et leur fait perdre beaucoup de pognon!
Alors ....
Sale temps pour l'euro, l'Europe etc...
Mais dans cette affaire que fait on d'autre contre la spéculation sinon de faire tourner la planche à billets.
750 milliards de crédit alloué aux seuls spéculateurs pour contenir leurs attaques!
Et aux peuples on leur envoie la note par toutes sortes de restrictions..
Mais rien pour interdire de telles pratiques financières...
déjà pour Sauros le monde applaudissait ses prouesses contre la Livre Sterling, contre un pays, à quand le nobel de l'économie à ces escrocs???
Jusqu'au jour où le monde chavirera, là les politiques auront interet à garer leurs miches!
Bonne ascencion à tous!
Rédigé par : Account Deleted | 13 mai 2010 à 11:01
si bp est capable de creuser un trou je me demande pourquoi il n'est pas possible de le reboucher tout de suite ? mettre un capuchon d'acier pour canaliser le pétrole et le faire remonter à la surface me paraît être une solution d'urgence à haut risque qui si elle fonctionne va être de toute manière temporaire et limitée dans le temps car il faudra quand même reboucher le puit;même avec un couvercle la question qui se pose est de savoir si la tête de puit va exploser libérant ainsi 20 fois plus de pétrole qu'avant; et après que se passe t-il ? on va mettre un autre capuchon encore plus gros, plus lourd (1000 t), et à terme des conditions pour condamner le puit qui seront encore plus difficiles avec le méthane qui s'échappe ? est-ce que la compagnie souhaite retirer un maximum de pétrole pour compenser des pertes d'exploitation, la pollution étant secondaire ? pendant ce temps des pêcheurs à la dérive qui sont 'sélectionnés' pour aller ramasser un mélange d'une telle horreur que ça donne de la mousse blanche hautement toxique sur certaines plages; on passe du noir à l'orange puis au blanc; y aura t-il un jour du vert dans l'âme des ingénieurs ?
Rédigé par : claude | 13 mai 2010 à 08:35
Y a un merveilleux auto-portrait de Catherine Deneuve sur Arte. C'est très matter of fact, regard franc et distant, impressionnant.
Une grande pensée triste pour Madeleine Mc Cann qui a 7 ans aujourd'hui, enfin j'espère.
Rédigé par : Ch | 13 mai 2010 à 01:32
D'après mes sources, Obama n'a pas réussi à joindre Zapatero, la faute à son opérateur Orange Juice qui l'a empêché de capter jusqu'à l'Espagne.
Rédigé par : Clara | 12 mai 2010 à 23:37