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« 500 millions d'oeufs...et moi, et moi, et moi ♪♪♪♪♪ | Accueil | Folie ou folklore ? »

27 août 2010

Commentaires

attila

@Jog, l'intarissable:
"Il a une explication Attila à cet étrange phénomène qui ferait de l’œuf une création spontanée, sans aucune intervention, vraiment aucune, tout seul dans l’immensité de sa solitude, sinon cette volonté farouche d’exister qui lui ferait dire : je veux exister et me reproduire ?
L’a même pas de photocopieur l’œuf, alors ??"
Mais, grand déconneur devant l'Éternel, c'est un œuf de Colomb(e) que vous me collez-là: écrasez-en une extrémité pour le poser sur sa coquille. Il suffisait d'y penser. Gare, si on continue, je finirais par vous révéler le fond de ma pensée ...

Charlotte

Philippe AU COIN!!!!!!!!!!

Anne Sinclair

je suis de tres bonne humeur, Jog! Les balades(avec un seul "l", pardon!) de week end me mettent tjrs de bonne humeur...

Philippe Pugnet

Le vent de l'espoir a soufflé sur La Rochelle, ce week-end.

Son nom était sur toutes les lèvres et heureusement que les contraintes liées à sa charge ne lui ont pas permis d'accoster au port, près de l'Encan.

Il y aurait eu des mouvements de foules enthousiastes et la passion aurait peut être pris le pas sur la raison . Quoique !

Oui, le vent de l'espoir a soufflé et il n'est pas prêt de fléchir.

La patience prévaut désormais et si, pour certains, la fidélité permet de mieux supporter l'attente, pour d'autres, la sagesse doit prévaloir.

Encore faut-il qu'ils sachent le comprendre !

Mélanie

off-topic français encore et tjs d'actualité...

Les journaux roumains ont repris les déclarations de Monsieur Elie Wiesel, Prix Nobel de la paix, faites hier sur FR3:"c'est inacceptable de comparer la déportation des Juifs avec le renvoi des gitans roumains chez eux!" Même s'il se déclare solidaire avec eux, il a affirmé:"il faut être très prudent avec le langage employé. Ces gens sont renvoyés en Roumanie ou en Bulgarie, et non pas à Auschwitz. Nous n'avons pas le droit de banaliser les événements, les souvenirs, la mémoire. J'ai été moi-même réfugié, je comprends la situation de ces hommes, femmes et enfants qui se trouvent en France. Je ne pense pas qu'ils devraient être expulsés. La France est un pays, une culture, une civilisation et on pourrait trouver des solutions plus humaines."

Merci Monsieur Wiesel.

philippe

Bonjour Anne,
toujours un plaisir de passer sur votre blog et lire votre plume.
Mes amitiés à Dominique.

Charlotte

http://freesakineh.org/
Je crois qu'il est urgent de signer, c'est qm pas possible cette histoire

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Bonjour Anne, mes respects Dr House, Toutes et Tous

Mélanie
C'est vrai, parfois, que c'est une véritable Minette, surtout lorsque la Dame du céans délire sur ses grôles et cherche mille excuses à ses valises trop chargées dixit Dr House!
Le Pauvre!
Je suis totalement solidaire de cet homme, tant je sais combien femme lorsqu’elle part en voyage pour deux jours, vous charge une valise comme si elle s'exilait définitivement!
Peut être en fait les femmes veulent elles nous faire accroire ainsi qu’elles nous quittent définitivement, pensant par cette entourloupe navrante nous obliger à nous montrer galant !
Je m’interroge !
Quand à chanter en chœur, pourquoi pas!
Ma voix de fausset, de falsetto italien, semblant un canadien imitant un néerlandais après un fumage de moquette du cru, ou à un cocker se prenant la queue dans une porte, ça devrait le faire!

Ceci m'amène directos à Charlotte!
Merci ! Mais de quel cru parlez-vous?
Je suis en crue qui l'eut cru!
Je fais la nouille, mais suis sensible comme une éponge à l’eau, aux compliments !
En plus venant de la plus belle paire de gambettes du blog !!
Attention va y avoir des jalouses…
Ma, on vous aime comme vous êtes !

Sélène, je veux bien composer avec Anne !
C'est quand elle veut...mais pas aujourd'hui, j'ai tonte de la pelouse, rangeage du bureau...Ma Douce tanne Athos comme elle m'appelle tellement je suis une fine lame!
Le roi de l'esquive, celui qu’elle appelle à temps perdu, l’asticotant de son alumelle par ses assauts et attaques de fer !
Elle insiste de sa rapière verbale sur le pauvre bougre un peu, beaucoup, retors!

Bon ça va être l’heure du réveillage et du levage de la Dame Anne d’Amérique !
Les pains au chocolat sont encore chauds!
En souhaitant, quand même, que le port des valises ne se verra pas sur quelque visage!
Espérons que cela la mette de bonne humeur !

Charlotte

Si j'étais Obama, je ne cherchais pas une réélection, juste pour ne pas avoir besoin d'être populaire et pour pouvoir décider librement de ce qui est bon pour de vrai. Un mandat c'est déjà assez pour virer au gris, il peut aller aider Clinton à sauver le monde, profiter de ses enfants etc... La panique sera telle qu'il sera réélu malgré lui!!!

Mélanie

Back to McCain...

from my inbox:

http://opinionator.blogs.nytimes.com/2010/08/25/building-a-nation-of-know-nothings/

"Remember the moment: a woman with matted hair and a shaky voice rose to express her doubts about Barack Obama. “I have read about him,” she said, “and he’s not — he’s an Arab.”

McCain was quick to knock down the lie. “No, ma’am,” he said, “he’s a decent family man, a citizen.”
---
"Once Limbaugh has planted a lie, a prominent politician can pick it up, with little nuance."

mensonges et manipulations continuent, plus c'est énorme, plus ça avance... comme avec les never found weapons of mass-destruction et l'invasion de l'Irak, a trillion-dollar war!!! il y a encore des américains qui croient que JFK et Elvis sont vivants qqpart, alors...

"The Democrats may deserve to lose in November. They have been terrible at trying to explain who they stand for and the larger goal of their governance. But if they lose, it should be because their policies are unpopular or ill-conceived — not because millions of people believe a lie."

conclusion:
"At its worst extreme, a culture of misinformation can produce something like Iran, which is run by a Holocaust denier." QED.

Charlotte

Le dernier cru de Jog est excellent!

Mélanie

@Jog:"La géo localisation de la Dame en balade?"

curiosity may kill the (tom)cat... et il ne pourra plus chanter "what's new, pussycat?"... ☺;-)☺

Mélanie

@Françoise-D:

"La bêtise décidément aussi ne prend pas de vacances!!!!!!" Hélas, oui... et elle risque de se prolonger, de s'installer, alors que novembre approche...

j'ai vu le rassemblement qui a commencé par le serment d'allégeance au drapeau et l'hymne national, organisé par glenn beck, l'ex-alcoolo qui a affirmé s'en être tiré en se convertissant au mormonisme, comme bush le born-again!!! ce mor(m)on a accusé Obama de racisme anti-blancs et la dinde-paleen(sic!) a senti souffler "l'esprit de Martin Luther King"... duhhh!!! HELP!!!

"on est mal, on est mal, on est mal..."
("Un indien dans la ville")

Françoise Dumont

Les tea-party aussi are back. C'est impressionnant ce rassemblement à Washington ; il n'est pas sans laisser craindre le pire également. Qu'ont-ils à voir avec Martin Luther King ? La bêtise décidément aussi ne prend pas de vacances !!!!!!

Sélène

En ballade, Anne? et que nous avez vous donc composé? Jog vous a t il aidée?

ou bien en promenade, en virée, en excursion, en pleine flânerie? (on veut des photos!!!!)

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Les Aldines 2

« Retrouvailles d’un ami. »


Plus ses pas le rapprochaient du Rialto, plus la ville s’animait. Il lui fallait se hâter s’il voulait être à l’heure à ces retrouvailles. Pourtant il ne pouvait s’empêcher d’être attiré par le mouvement matinal des vénitiens. Les commerçants ouvraient leurs échoppes, tendant vers le chaland leurs victuailles ordonnées. Les premiers murmures de la foule s’élevaient dans la lenteur du réveil. La ville paraissait s’étirer d’un sommeil réparateur, et ces premiers marmonnements mimaient son bâillement.

Théobaldo allait à la rencontre d’un jeune vénitien revenu pour quelques jours de Ferrara, où son père tenait une ambassade. Il l’avait suivit tout au long de sa carrière de patricien vénitien en mission extraordinaire. Pietro Bembo, élevé dans le culte des lettres avait appris le latin à Florence et Urbino et, le grec à l’école de Constantino Lascaris helléniste de grande renommée à Messine.

Ce qui avait en son temps étonné Théobaldo était le texte que le jeune homme alors âgé de vingt ans lui avait présenté et qu’il avait publié en 1496. La narration de son ascension de l’Etna. Un récit en latin où, le jeune Pietro encore étudiant dans une narration fabuleuse, descriptive, sous la forme d’un dialogue entre le père et son fils, décrit, avec une précision quasi scientifique, cette escalade. Les émotions qu’il ressent lors des tremblements de la terre ou des grondements du volcan donnent au texte une fraicheur ingénue. En latiniste et helléniste de talent, il usa de références anciennes. Il n’ignorait pas toute la valeur des observations réalisées par les philosophes grecs et naturalistes latins tel Pline.

Théobaldo en avait été ébloui et charmé. Il l’imprima et fit un joyau inégalé de la typographie.
Pour cette œuvre imprimée entièrement en latin, Théobaldo fit graver par Francesco Griffo une fonte d’après l’écriture du manuscrit de Bembo. Cela donna aux pages imprimées une harmonie nouvelle, moins compacte qu’auparavant, une lisibilité étonnante qui fit le succès extraordinaire de la parution. Elégance et beauté qui influenceront Garamond au 18éme siècle et d’autres encore après.

Ce caractère nouveau devint le signe de reconnaissance des humanistes, offusqués par l’écriture gothique des barbaresques, objet de leur ressentiment d’avoir détruit la Rome antique.

Bembo y fit ajouter un opuscule dédié à Agnolo Gabriele, son condisciple et ami avec qui il gravit l’Etna.
L’édition voulue par Bembo de son De Aetna fut financée totalement par Théobaldo. Il remerciait ainsi l’aide précieuse de Pietro pour l’édition de la grammaire de Lascaris.

Ce premier ouvrage, cette grammaire, édité par Théobaldo lors de son arrivée dans la ville, dont le manuscrit avait été corrigé et augmenté par deux de ses étudiants Pietro Bembo et Angelo Gabriele lui avait fait connaître ce jeune et brillant érudit.

Depuis, une collaboration sans faille s’était développée entre eux, jusqu’à en inventer un caractère d’imprimerie qui servira en 1498 aux éditions des poésies de Pétrarque dont Bembo était le plus fervent défenseur du style et de la langue vulgaire d’où naitra l’italien.

Théobaldo était impatient de le revoir. Retrouver ce jeune impétueux dont il se disait dans Venise qu’il était éperdument amoureux de Lucrèce Borgia. Il se disait aussi sous le manteau qu’il en était l’amant. N’avait elle pas épousé en troisième noce, en ce début d’année 1501 le futur duc de Ferrara.
Mais ne prêtait on pas à leur jeunesse magnifique plus que celle-ci ne pouvait recevoir ?

L’éditeur était plus empressé de connaître l’avancée de l’écriture des Gli Asolani, ces dialogues sur l’amour qui promettaient déjà d’être magnifiques d’érudition.
Il y avait, outre une connivence absolue entre les deux hellénistes, une amitié très forte qui portait l’un et l’autre à se retrouver à chaque déplacement dans leur ville respective.

Il commençait à gravir le pentu du Rialto lorsque se levèrent devant lui les deux tabliers de bois en vis à vis laissant s’insinuer entre eux les deux mats, voiles carguées, d’une galère vénitienne armoriée aux couleurs des Grimani.

Le peu de vent qui soufflait en long sur le Grand Canal parvenait avec peine à déployer le gonfanon flanqué de ces armoiries venitiennes

Il admira la jolie brunette qui vint attendre à ses côtés. Elle avait la mèche rétive, le regard espiègle d’une jeune rebelle. Son corsage échancré offrait des rondeurs plaisantes. Sur ses épaules un châle de laine lui tombait sur les reins Il n’osa pas l’aborder, comme il était d’usage, juste un sourire pouvait s’inscrire dans les convenances de ce siècle naissant.

Les deux plateformes pivotèrent en leur culée sur l’axe de métal les unissant à elles. Elles s’abaissèrent dans un grincement sourd. Ils reprirent leur marche d’un pas uni. Elle le quitta obliquant vers San Paternian, lui se dirigea vers San Zullian autre quartier des imprimeurs. Il l’admira un temps se faufilant dans la foule de ce pas si léger qu’ont les êtres d’innocence.

Son atelier était bien éloigné des quartiers habituels des imprimeurs, mais à proximité du premier centre des affaires de la Sérénissime, celui du Rialto. Son banquier Agostini tenait son établissement à deux pas de la Fondation Tedeschi où souvent il lui fallait se rendre pour acheter du papier ou des peaux mégissées.

Les rues se remplissaient d’un monde agité et braillard. Les porteurs criaient au devant d’eux pour que s’écartât la foule. Lestés de leurs ballots de marchandises ils allaient de magasin en boutique, pressés qu’ils étaient de finir leur travail avant que les cales ne se remplissent et qu’il devint impossible de circuler.
Venise produisait et vendait mille choses. Elle était née du commerce, des échanges. Elle en avait tiré sa gloire et sa puissance. Alors que toute l’Italie sombrait dans le chaos des guerres intestines, Venise consolidait sa force, ses acquis. Elle rayonnait sur l’Europe comme aucun état ne l’avait fait avant elle. Le petit poisson pêché par les premiers vénitiens, s’était depuis transformé en or ruisselant de toute part.

Il parvenait à destination.
Devant l’habitation de Pietro Bembo il rectifia légèrement sa tenue. Il cogna à la porte et en réponse à l’écho du marteau la porte s’entrouvrit laissant apparaître une servante rondelette. Elle le guida vers le premier étage du palais par un grand escalier de marbre beige rosé. Il s’annonça, il n’avait pas terminé de le faire qu’une porte s’ouvrit au fond du couloir et un jeune homme accourut vers lui, empressé. Ils se jetèrent dans les bras l’un de l’autre tout en échangeant un bonjour en grec ancien. De tapotements sur les épaules en éloignements pour mieux admirer le visage de l’autre, ils échangèrent leur étonnement sincère à se retrouver.

- Maitre que je suis heureux de vous revoir, il me faut vous montrer ce que j’ai créé pour les éditions Aldines.
- Grand Dieu Pietro qu’avez-vous donc de si urgent à me dévoiler... Prenant un air badin il poursuivit… Est-ce pour me raconter votre attachement nouveau à la belle Lucrèce qu’une telle hâte vous envahi ?
- Non …Il rougit un peu...Non ! Non ! Je n’ai qu’entrevue la Dame par deux fois et encore, avions nous d’autres personnes avec nous. Mais je vous le confirme elle est belle et d’une intelligence vive.

Il alla vers la table où se trouvaient étalés des feuillets manuscrits. Il en préleva un, le regarda quelque instant, comme si il lui venait une résistance à le soumettre aux critiques de Théobaldo. L’éditeur vit le moment d’hésitation de son ami, inhabituel comparativement à la conviction qu’il exprimait lorsque celui-ci lui remettait à lire son travail d’auteur. Comme pour briser cette incertitude naissante il tendit la main vers le feuillet.

- Faites voir Pietro !
- Tenez, je pense vous avoir trouvé l’enseigne de vos publications.
- Voilà qui devrait me satisfaire, j’en suis persuadé. Je vous sais tellement appliqué à ce que vous faites, qu’il me semble inutile de vous voir douter de vous plus longtemps.

Sur la feuille de vélin une ancre était dessinée. Autour de sa verge, la tête vers le diamant un, dauphin s’enroulait, laissant sa nageoire caudale fouetter le jas. De part et d’autre de l’ancre Al Dus séparé, marquait avec force ses origines latines. Cette marque empruntée aux pièces du Bas Empire, déjà parue dans le songe de Poliphile, surlignée de la devise festina lente (hâte-toi lentement) exprimait toute l’importance du soin méticuleux apporté aux œuvres de Théobaldo.

- Magnifique s’écria t-il... je la fais mienne ! Dorénavant je l’imposerai à toutes mes publications. L’idée d’accoler le nom de l’éditeur comme vous l’avez fait est séduisant et d’une rare simplicité.

Pietro était ému. Il tremblait tant l’enthousiasme de son ami, à la vue de son travail, faisait naitre un réel plaisir.
Après des remerciements sincères fait l’un à l’autre, l’un remerciant chaleureusement l’autre pour son travail, l’autre gratifiant l’un pour son engouement, ils passèrent à la lecture de sa nouvelle œuvre, les Gli Asolani, qui sous la plume de Bembo s’enrichissait de nouveaux feuillets dialogués.
Le temps passa jusqu’au déjeuner.

Mélanie

Bonjour de windy Toulouse!

Ping-pong Californie-SNCF...

Motto:"l'ignorance et la mauvaise foi sont les mères de tous les maux..."

Je viens de regarder les infos dont l'une m'a laissée puzzled, speechless, bouche-bée: la SNCF rattrapée par son rôle durant l'occupation... décidément, la logique, le raisonnement et l'ignorance de certains (élus) américains nous étonneront tjs, nous-autres vivant en "old Europe"...

bon, on savait que la SNCF tentait depuis les années-80 de décrocher le projet de TGV aux USA(californien et même texan!), mais voilà qu'un démocrate du coin, Bob Blumenfield, affirme que:"la SNCF refuse d'assumer sa responsabilité pour son rôle dans l'Holocauste durant la 2e guerre mondiale." et il continue, en enfonçant le clou:"maintenant, cette compagnie vient en Californie et veut une part du plus gros contrat de toute l'histoire de notre Etat. Je pense que si une compagnie veut recevoir notre argent, celui de l'impôt des Californiens, alors elle doit assumer ses responsabilités pour ses actions passées".

The question is: qui sont les autres concurrents de la SNCF?!... Siemens, Hitachi, les 2 étant "blancs" comme neige-vierge, right?!

De son côté, la SNCF réaffirme sa "totale transparence" sur cette question et rappelle "avoir agi sur réquisition des Allemands". La SNCF, comme de nombreuses entreprises en Europe mais aussi aux USA, a eu beaucoup de choses à se reprocher à cette époque, mais la SNCF d'aujourd'hui n'a plus rien à voir avec la celle des années 40. Pk ressortir les vieux dossiers d'alors et faire capoter un projet français? pas très fair-play tout ça.

Espérons que monsieur Bob Blumenfield, contrairement à un très grand nombre de ses compatriotes, ne roule ni en BMW, ni en Porsche, ni en Mercedes, ni même en Ford... Car s'il savait que Arnold Schwartzy himself, gouverneur de la Californie est autrichien, pays natal de qui vous savez... ou alors il semble ignorer complètement le contexte historique de l'époque et la résistance passive ou active des cheminots qui ont payé un très lourd tribut à la guerre, près de 7000 cheminots morts et déportés...:-(

Comme disait qq'un, si l'on reproche tout ça à la SNCF en 2010, on peut reprocher à bcp d'entreprises françaises d'être complices de l'Holocauste: les coiffeurs qui ont coiffé des allemands, les bistrotiers qui ont servi à boire à des allemands, les fonctionnaires qui ont fait fonctionné la France allemande de 40 à 44, les agriculteurs qui ont nourri les allemands, etc... et avec de telles raisonnements, la France devrait refuser de travailler avec les entreprises et les administrations-US qui sont toutes surement complices de l'élimination des tribus indiennes et plus proche, plus récent de nous, on peut parler de l'Irak...:-(

Sélène

à Michèle, qui "rame" sous la pluie, toute ma compassion....

à Obama, avec ce qui me reste de confiance, tout mon espoir qu'il conserve la majorité au Sénat.

Quant aux lois de la politique, de l'amour et du désamour entre un peuple et ses gouvernants, tout cela me paraît de plus en plus difficile à déchiffrer: pourquoi y a t il eu divergence d'opinion entre le "tea party", et son égérie? peut être encore des questions de gros sous? si quelqu'un a une analyse plus précise à apporter, je suis toute ouïe...

Quant au titre, joliment ironique,plein d'autodérision, j'aime bien...

Anne, votre rappel à des textes antérieurs dans les nouveaux sujets retranscrit "l'épopée du blog d'Anne Sinclair", j'apprécie cette unité de ton qui donne une atmosphère spécifique.

Account Deleted

La géo localisation de la Dame en balade ?

Supposons, en nous basant sur ses habitudes d’interventions sur son blog, que la Dame soit :

A plus 7 h :

Cela nous la positionne au Canada, à l’ouest du Pecos, au nord Mexique du côté du désert de Sonora ou en plein pacifique sur Easter Island, ou bien alors elle rame sec pour rejoindre une ile sauvage et inconnue.

A moins 7 heures :

Russie Baikal, Mongolie, Chine, Indochine ce sont tout ses pays anciens, Malaisie, ou peut être rame t’elle vers les iles Cocos…Encore une histoire de pirates !

Ou bien elle bambinoche du côté de La Rochelle vu l’heure nocturne de son com, où un nouveau style de Jazz se crée, le groupe s’appelle les Mauvaises Langues, c’est pour rester poli !

Une chose est pratiquement certaine elle est loin de nous ; comme d’hab !
Pleurons mes Sœurs et Frères !

Du supposé principe de causalité!
Bande de matérialistes, bande de bolcheviques attardés, (je dis bolcheviques car ça va bien avec matérialistes et attardés parce l’URSS n’existe plus), bande de marxistes énucléés du bulbe, bandes de gauchistes proto révolutionnaires, maoïstes encore penchés sur votre bol de riz !

Ok l’œuf est avant la poule, mais qui qui met son doigt pour faire l’œuf ?
Qui c’est y qui le féconde, qu’est-ce qui fait le mâle, il glandouille à sa grande habitude ?
L’œuf serait il hermaphrodite, et générerait lui-même sa descendance sans que qui queue ce soit intervienne ?
Il a une explication Attila à cet étrange phénomène qui ferait de l’œuf une création spontanée, sans aucune intervention, vraiment aucune, tout seul dans l’immensité de sa solitude, sinon cette volonté farouche d’exister qui lui ferait dire : je veux exister et me reproduire ?
L’a même pas de photocopieur l’œuf, alors ??

Allons, allons, enfants de la patrie, c’est pas demain notre jour de gloire où nous découvrirons une réponse pleine et entière à cette question insolite…
Même mes confrères de l’Ecole Ethylique d’Athènes en sont encore à se souler de mots sans avoir défoncer, sauf eux-mêmes, la plus petite parcelle de notre ignorance !
Par contre à quelques hectolitres près, je puis vous dire ici qu’ils sont Eux, qu’ils viennent de chez Eux, et qu’ils y retournent vivre avec leurs promises cuitées, comme Eux le sont aussi !
On ne quitte pas facilement l’œuf voyez vous !

Santé !


attila


Par attilaAuthor Profile Page le 28 août 2010 9h38

Voici encore une étude universitaire qui vaut son pesant d'or, suite d' une série d'études du même acabit:
http://www.nytimes.com/2010/08/29/magazine/29language-t.html?_r=1&partner=rss&emc=rss
Moi qui pensais que c'était ma pensée qui dirigeait ma langue, me voilà cloué au sol. Je ne vais donc plus tourner ma langue sept fois avant de parler mais faire une pause de sept minutes avant de penser selon le dictat de ma langue maternelle. Qu'en pense Céline? Et sur ce site, c'est qui qui précède qui?: le clavier ou la pensée?

adonis

Bonjour Anne..... Pour en revenir à John McCain, je pense que "la radicalisation" de son discours n'est qu'une radicalisation de façade, je pense que cela ne se traduiras pas dans les actes, John McCain, en plus d'etre un maverick, est plutôt au centre..... Concrêtement, John McCain est bien moins à droite que , par exemple, Bush; John McCain pourrait très bien à la droite du Parti Démocrate, et en France, John McCain serait à l'UMP, le paysage politique américain étant plus à droite qu'en France (l'UMP serait considéré comme un parti de centre droit aux États-Unis) ..... Mais enfin tout cela, chère Anne, vous le savez, je ne vous apprend rien ;) ..... Pour en revenir à la France, Nicolas Sarkozy s'est fait encore "tapé sur les doigts" par l'ONU, à cause de sa politique discriminatoire envers les Rohms

Anne Sinclair

mais non, je suis pas gone, je suis en ballade

Charlotte

Mac may be back but u seem 2 b gone!!!! On perd au change...

Mélanie

Lady-Anne,

je viens de vous revoir dans une émission-rétro de l'A2, un 7/7, en 1989, avec Guy Bedos... ses questions étaient déjà LOL, après en parlant de l'âne de BeBé, ses allusions... vous étiez mdr, écroulée... Sacré Guytounet!!!☺☺☺;-)♥♥♥

François Fonlac

Mac est la dernière risée des shows de fin de soirée.
"Condoleances on your victorious defeat"
ainsi a qualifié l'excellent humoriste Colbert, la victoire à la Pyrrus du tin man de l'Arizona sur son concurrent du tea party.
McCain versus Mac Cain a-t-il ajouté
Le bon McCain, celui d'y il a quelques mois qui déclarait
"L'Amérique terre de toutes les opportunités, jamais ici on ne bâtira ni murs ni barrières contre le martial à la casquette vissée sur le crâne de sa récente campagne, "dépéchons nous de le finir ce p. de mur."
De la ligne Maginot au mur de Berlin en passant par la grande muraille de Chine et j'en passe et des meilleurs, les fortifications honteuses ont toutes fini par tomber un jour ou l'autre et n'ont jamais efficacement protégé personne.
Bien au contraire, elles donnent le plus souvent un faux sentiment de sécurité.

Faut-t-il que la peur soit bien mauvaise conseillère et la drogue du pouvoir forte pour que le vieux soldat ait oublié cette constante leçon de l'histoire.

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