C'est la célèbre chanson de Marilyn souhaitant bon anniversaire à JFK, mais c'est le leitmotiv de la presse du jour. Barack Obama a fêté ses 49 ans et tandis qu’on apprenait qu’il allait célébrer son anniversaire tout seul, médias et Démocrates multipliaient les reportages et les initiatives pour marquer, à leur façon, l’anniversaire du Président.
Au petit matin, on connaissait déjà tous les détails de cette journée très spéciale pour BO : petite journée de travail à Washington, déjeuner avec les membres du Sénat, puis Air Force One direction Chicago, pour un dîner entre amis dans "sa" ville. Cet après-midi, les journalistes nous expliquaient que Michelle et Sasha étaient parties en vacances à Marbella, Malia en camp de vacances pour un mois, mais n’oubliaient pas de nous rassurer sur le fait que "le président avait reçu deux appels, le premier de la Première Dame et de Sasha (…) et le second de Malia, qui (- précision importante :) n’avait le droit qu’à un coup de fil durant toute la durée de son séjour et l’a utilisé pour appeler son père et lui souhaiter un bon anniversaire."
Les Démocrates, eux aussi, se sont organisés pour relayer l’événement à travers tout le pays. Depuis une semaine déjà, le DNC avait ressorti les listes de soutien de campagne pour envoyer à tous les inscrits une série de mails les invitant à signer, avec eux, une carte d’anniversaire – en ligne – et rappeler, au passage, que le parti avait besoin de nouveaux dons pour gagner les campagnes de novembre. Les élections de mi-mandat approchant, BO a d’ailleurs lui-même été mis à contribution et dès demain, il enchaînera trois meetings de campagne, réservés aux généreux donateurs. En effet, le Parti Démocrate, qui connaît des difficultés pour mobiliser ses votants – et des fonds - , a décidé de ‘rentabiliser’ le retour d’Obama à Chicago. Pour aider le candidat briguant l’ancien siège de BO, Alexi Giannoulias, un déjeuner de soutien a été organisé, ou plutôt ‘vendu’ à $2.400 le ticket d’entrée (par personne bien sûr et rajoutez $5.000 si vous voulez vraiment rester déjeuner et ne pas être gentiment congédié après les petits fours et le toast de BO ! Bref, un déjeuner dont les recettes sont estimées à $1 million tout de même. Mais ce n’est qu’une mise en bouche puisque BO doit se rendre ensuite à un second meeting, cette fois-ci au profit du Parti démocrate, avant de finir sa journée autour d’un dîner très privé, réservé aux très très généreux donateurs du DNC dont le billet d’invitation cette fois a été vendu à $30.400 par personne !
Qu’on se le dise : l’anniversaire du Président est donc une journée très spéciale aux Etats-Unis. Car finalement, des habitants de Chicago venus attendre l’arrivée de Barack Obama à l’aéroport avec des petites pancartes "Happy Birthday Mr. Président" aux élus Républicains qui, eux, ont profité de l’occasion pour rappeler à leurs électeurs le scandale éthico-financier lié à l’affaire Blagojevitch (rappelez-vous, il avait tenté de vendre la succession du siège de BO au candidat le plus offrant en 2008 et le verdict doit être rendu cette semaine), tous les Américains étaient invités à célébrer les 49 ans de leur Président aux cheveux de plus en plus grisonnants.
Samedi 7aout
« Happy birthday Mister President » et merci pour tout ce que vous faites pour le bonheur du pays....susurre la voix enchanteresse.
Marylin et sa robe couleur chair, si sexy, si serrée qu'on aurait cru voir sa propre peau mise à nue, l'apparition chantante sur la scène du Madison square Garden à quinze mille spectateurs enthousiastes fêtant leur président. Ce soir là elle a dix jours d'avance sur la vraie date du 45 ème anniversaire du président le plus glamour de son pays.
"I can now retire from politics after having had Happy Birthday sung to me in such a sweet, wholesome way," lui dira-t-il en souriant en réponse à sa chanson.
Le président Obama vient lui de se voir souhaité ses 49 ans, quatre ans de plus, qui comme ce décalage de dix jours en avance sur les festivités, semblent avoir totalement transformés les mœurs politiques américaines.
Combien il doit regretter ce temps où la belle Amérique remerciait son président pour tout ce qu'il faisait pour elle. Et cela tout ce qui a de plus gratuitement!
Lui non seulement on ne le remercie plus mais alors que sur Fox son bouffon attitré l'envoie directement dans la planète des singes avec son entourage, il est obligé de lui vendre son anniversaire pour contrer ses adversaires politiques.
Et pendant ce temps le voyage en Espagne de sa femme et de sa fille se chiffre en milliard selon les estimations en publicité déguisée pour la Costa Brava mais au pays certains la traitent déjà de Michelle-Antoinette pour ses goûts trop dispendieux à leurs yeux.
Oui les temps ont bien changé et la proverbiale gentillesse américaine est en train de tourner trop souvent à la pure méchanceté.
Un excellent article sur the Newyorker à propos du Sénat et de sa flibuste montre à quel point le paysage politique s'est transformé depuis le temps de la nouvelle frontière.
Le prophète venu du vieux pays de France pour neuf mois de découverte de ce pays neuf et que l'on cite à chaque fois que l'on entreprend une mise en perspective de l'histoire politique des Etats Unis, l'aristocrate Alexis de Tocqueville, avait été très impressionné par la qualité des hommes peuplant le Sénat américain de son temps.
«Ils représentent uniquement les pensées élevées de la nation et le généreux instinc qui l'anime et non pas les passions vulgaires. Mais il met un bémol à ses louanges en reconnaissant que la minorité de la nation qui domine le Sénat peut complétement paralyser la volonté de la majorité représentée par l'autre Assemblée. Et que cela est tout à fait contraire à l'esprit de la Constitution.
Mais tant que les membres du Sénat continueront à être des hommes d'Etat responsables et talentueux, d'eux-mêmes ils poseront des freins aux tendances anti-démocratiques de leur corps.»
Le moins que l'on puisse dire à la lecture de l'article c'est que c'était une fois de plus bien vu.
Les hommes et surtout les femmes de talent qui demeurent encore dans cette grande assemblée sont submergés par la médiocrité de leurs collègues.
Le Sénat a un certains nombres de règles, dont l'esprit a été copiées malheureusement au niveau européen, et qui requièrent l'unanimité. On sait les dégâts qu'elles peuvent faire et notamment en permettant à la volonté d'un seul de bloquer tout le processus.
Ce sont des règles stupides dira exaspérée et un brin écœurée la sénateur Claire McCaskill, du Missouri, élue au Sénat dans le sillage de la vague Obama et dont la volonté réformatrice s'est heurtée au mur du conservatisme appuyé sur des règles totalement désuètes du temps des diligences et réactivées par l'opposition pour bloquer toute marche en avant.
Historiquement la chambre haute du congrès était un compromis constitutionnel entre la souveraineté populaire et la souveraineté des États. Deux sénateurs par État quelque soit sa taille.
La Californie, New-York ou le Texas ne pèsent pas plus au Sénat que les immenses États des rocheuses, Wyoming, Montana, ou l'Utah mormone, presque entièrement inhabités, ou encore le petit Vermont progressiste.
Le Sénat dans le jeu de check and balance était censé contrôler et faire barrage aux éruptions d'impulsions populistes de la chambre basse.
De nature aristocratique, la richesse de ses membres, leur ancienneté et leur expérience étant aussi censé être une garantie contre la corruption tout en leur donnant une hauteur de vue due à la jouissance d'un temps libre consacré à la réflexion.
Aujourd'hui alors que la richesse est de plus en plus présente au Sénat, temps libre et réflexion paraissent s'être comme envolés avec le vent de l'histoire. Gone with the wind.
Quant à la hauteur de vue et le barrage contre le populisme parlons en.
Le manuel de la pratique parlementaire rédigé par Thomas Jefferson est un vrai manuel d'étiquette de Cour. Les sénateurs se parlent à la troisième personne et s'adressent à l'honorable sénateur de tel ou tel Etat, il est défendu de stigmatiser la conduite ou de prêter des motifs indignes à un autre sénateur et de proférer des insultes contre n'importe quel Etat d'un sénateur.
Mais rien n'interdit dans le manuel les manifestations corporels comme le doigt pointé vers l'autre dont la signification est sans ambiguité.
Pendant le débat sur la santé les sénateurs ne s'en sont pas privés. Un sénateur par exemple pointant son doigt vers son adversaire de l'autre bord et criant au Président:
« Monsieur le président, ne nous y trompons pas, l'intention caché sous-jacente à chacun des amendements déposés par l'opposition n'a pas d'autre but que de tuer la réforme de la santé.»
Le meilleur exemple; l'amendement Viagra du Sénateur Tom Coburn, un obstétricien, sénateur de l'Oklaoma.
Il dépose deux amendements coup sur coup. Le premier pour s'assurer qu'un vétéran à qui l'on a diagnostiqué une maladie mentale ne se verrait pas enlever le droit de posséder des armes à feu, et le second pour interdire à tout abuseur d'enfant, violeur, et en général tout prédateur sexuel d'acheter des drogues érectiles avec les fonds du contribuable.
Il dépasse même son temps de parole pour expliquer le plus sérieusement du monde son amendement Viagra. C'est pas un amendement bidon insiste-t-il, il va faire économiser de l'argent.»
Gros ricanement dans l'Assemblée, le président est obligé de taper frénétiquement avec son marteau sur son pupitre pour obtenir le silence.
«L'amendement déposé par le sénateur de l'Oklaoma se moque du Sénat déclare alors avec colère le sénateur Baucus du petit grand Montana, c'est de la vulgaire politique destiné à alimenter un spot publicitaire de campagne, pas de la politique d'intérêt public.»
Il demande de se prononcer avec les antiques Yeas and Nays et l'huissier appelle les noms à une vitesse rageuse. C'est la nuit et l'amendement a émoustillé les sénateurs.
Pendant que les deux leaders de la majorité et de la minorité se sont retirés pour discuter qu'en faire, la sénateur Debbie Stabenow du Michigan, la main sur le coeur, chante un duo sentimental avec le sénateur du New Jersey, Robert Menendez. La fatigue fait oublier la division partisane.
La sénateur Claire McCaskill, encore elle, s'assoie a coté de l'obstétricien et lui fait un superbe doigt d'honneur en exprimant son vote Nay.
L'amendement Viagra s'affaisse comme une chiffe molle. Le sénateur Coburn lui-même ne résiste pas à un bon mot:
« Et ben le plus qu'il a duré ça été trente secondes.»
Un peu court en effet pour qu'il puisse s'enfoncer bien profondément et durement dans le marais de l'obstruction à la réforme désirée par l'obstétricien.
Baucus, le démocrate du Montana qui tonna contre l'amendement Viagra est l'élu de moins de 500.000 habitants alors que sa collège californienne représente environ 18 millions d'habitants.
Pendant que le candidat Obama perdait son Etat lui en revanche était réélu avec 78% des voix. Oui mais il a reçu plus d'un million de dollars de l'Industrie de la Santé pour sa campagne. Et en juin 2009 deux de ses principaux adjoints du comité des Finances qu'il préside ont rencontré pour négocier, deux lobbyistes pour les assurances santé qui se trouvait avoir été eux-même des collaborateurs du sénateur du Montana.
Chaque jour les lobbies de toute obédience dépensent $1.4 million pour influencer les membres du Congrès uniquement.
Et la porosité entre membres et anciens membres est totale.
Le sénateur du Mississipi aux 4 yeux, Trent Lott, par exemple, leader de la majorité républicaine, démissionna sur le champs après sa fameuse poussée d'urticaire de nostalgie sudiste pour monter une firme de lobbying avec un autre ex-sénateur sudiste, celui de Lousiane.
On sait que la Ségrégation après la reconstruction désastreuse du Sud est née de l'alliance des intérêts des robbers barons du Nord républicains et des conservateurs dixicrates du Sud.
Dans les années 50 le Sénat de l'ère Mac Carty devint encore plus conservateur que le reste de la Nation et pas juste conservateur William S White a pu dans son livre «Citadel» parler du Sénat comme la véritable réincarnation d'une assemblée sudiste ante bellum et le seul endroit dans le pays où le Sud n'avait pas perdu la guerre.
Tout va changer avec happy birthday Mister President, les vieux conservateurs démocrates vont laisser la place à la vague démocrate libérale, Bill Clinton surfera sur la dernière.
Les républicains modérés du Nord à la Nelson Rockfeller et les néo démocrates du Sud vont s'allier jusqu'au Sénat pour faire tomber la Ségrégation et passer les réformes des droits civiques.
On sait ce qu'il en est advenu par la suite, le Sud démocrate sans interruption depuis la guerre civile, un âne aurait voté démocrate disait-on ou dans le vieux temps un ancien esclave aurait été forcé de le faire si on lui en avait laissé le droit, tournera républicain en réaction contre les droits civils.
Quant aux républicains libéraux ils ont été balayés depuis que le conservateur Barry Goldwater fut préféré à Nelson pour se faire écrabouiller à son tour par le démocrate Johnson pour la présidence.
Son slogan In your heart, you know he's right (Dans votre cœur, vous savez qu'il a raison), fut détourné par les démocrates en In your guts, you know he's nuts (Dans vos tripes, vous savez qu'il est dingue).
Le sénateur de l'Arizona s'opposa aux droits civils non par racisme, son père était juif, mais au nom de la souveraineté des Etats et du droit de propriété.
Bien que soutenu par deux grands acteurs de Cow-boys, John Wayne et Ronald Reagan, il ne gagnera que six Etats dont cinq sudistes qui voteront pour la première fois républicain.
Débordé sur sa droite il a du constater la victoire de Nixon, l'homme le plus malhonnête que j'ai connu disait-il et voir de la haut son Etat d'Arizona devenir le fer de lance du combat anti-immigration aux relents un rien nauséabonds.
Après la parenthèse enchantée des droits civils sur la droite l'alliance au Sénat des années 50 a été reconstituée peut-être en pire.
Quand au franchissement des frontières, des ententes angéliques par dessus les ailes comme ils disent, elles ont été tué par l'arrivée de la télévision.
Après que C-SPAN arriva dans les chaumières, la douce et confortable atmosphère qui encourageait à la fois la délibération et ,derrière les portes, les petits arrangements entre amis s'évanouit. Place à la transparence.
Dans « So much damn Money » le reporter du Washington Post Robert G. Kaiser trace la spectaculaire montée des lobbies à Washington à la même époque. Les républicains libéraux furent remplacés par les conservateurs et aux Sud les démocrates laissèrent la place aux républicains archi conservateurs.
Les coalitions bipartisanes par dessus les ailes, si souvent souhaitées dans les discours réthoriques, s'effondrèrent.
Rien ne domine plus la vie d'un sénateur que la recherche de l'argent. Le fund raising de l'anniversaire du président n'est pas un cas isolé loin de là. Un sénateur passe son temps au téléphone pour sa propre campagne et pour celle du parti. C'est une course sans fin à l'argent qui n'est jamais suffisant pour se faire élire et lui pompe le temps qu'il pourrait prendre à faire la connaissance de ses collègues ou à étudier ses dossiers.
Dans ce contexte la plupart de ses votes lui sont dictés par son staff ou les dirigeants de son parti et la plus part du temps il serait bien en peine d'expliquer pourquoi il a voté d'une telle façon et pas de telle autre.
Quand deux sénateurs travaillent sérieusement ensemble pendant un an comme ce fut le cas des deux amis, notre Sénateur Baucus du Montana et du républicain Charles Grassley, de l'Iowa, sur le dossier de la réforme de la santé, ils sont finalement lâchés en rase campagne par leurs partis respectifs et ça finit par leur retomber sur le nez.
D'autant plus qu'à la maison la pression populaire, populiste extrémiste devrais-je dire est impitoyable et insoutenable. Pourquoi pensez vous que le successeur du sénateur Goldwater dans l'Arizona, le maverick a si totalement retourné sa veste même sur des sujets où il a toujours été en pointe comme le financement des partis politiques.
Alors pour conclure rêvons un peu. Rêvons à l'élection au Sénat d'un mister Smith, le candidat démocrate Alvin Greene.
Alvin fait face à une caricature d'archi- conservateur Jim DeMint. Non seulement ce père la pudeur voudrait bannir de l'enseignement tous les professeurs homos mais aussi les femmes célibataires vivant en concubinage.
Quel symbole retentissant sa victoire serait. Elle est de celles qui font tomber les colonnes du temple.
Qui sait, avec les caroliniens du Sud que je connais bien et que j'aime bien, il faut s'attendre à tout, le pire comme le meilleur.
N'ont-il pas permis à leur vieux sénateur de souffler ses cents bougies au Sénat, Happy birthday mister Senator, alors qu'à cet age avancé le vieux patriarche sudiste ne devait pas avoir beaucoup plus de moments de lucidité que notre un peu simple d'esprit Alvin.
Rédigé par : François Fonlac | 08 août 2010 à 14:25
Oui, nous avons une chance folle...
J'aimerais pas être noire, nue, avec à la main juste de quoi la remplir de riz sec, obligé de me faire violer par des milices, sans toit, sans éducation, sans tout, me baignant jamais....
Mais ça me console assez peu quand même... je sais, je suis difficile...
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 07 août 2010 à 23:48
@Sélène-Luna:
"Comment les paysans (mot noble que je préfère à tout autre) vont-ils pouvoir acheter davantage de semence, cultiver davantage de terres pour regarnir nos greniers à blé?"
TRES bonne question que je poserai demain aux cousins aveyronnais et le we prochain aux cousins tarnais... I'm serious.
===
Comme on parle ces derniers jours de la "France fliquée"...
un policier arrive au bureau vers 5h du mat' tout nu. Son supérieur n'en revient pas:
- ça va pas, t'as perdu la tête ou quoi?...
- chef, je peux vous expliquer... j'étais invité avec ma femme chez des amis, et vers 3h du mat', on a commencé les jeux de société, vous savez, suddenly les lumières se sont éteintes et qq'un a crié:
- que les dames enlèvent tout!
qqs minutes après:
- que les hommes enlèvent tout!
et la même voix a rajouté:
- allez, au travail maintenant!!!
- et?... demande le chef abasourdi.
- eh bein, chef, j'ai mis une demie-heure pour arriver ici!!!☺☺☺
---
@Jog:
"Normal; my taylor is rich!!!"
Question:
- sont les femmes plus intelligentes que les hommes?...
réponse:
- oui, évidemment, aucune femme n'épouserait un homme seulement pour ses longues jambes!!!☺☺☺
Rédigé par : Mélanie | 07 août 2010 à 22:33
certains évoquent le tristement célèbre anniversaire des bombes lancées par les américains sur le Japon pendant la seconde guerre mondiale; mais depuis cette date il ne faut pas rêver, la course à l'atome avec des technologies encore plus dévastatrices n'a pas cessé de croître; pourquoi ? cette année la France par exemple s'est dotée du m51 pour sa force océanique stratégique, chaque snle c'est plus de 400 fois la puissance de Hiroshima donc un pouvoir de destruction tellement inimaginable que je n'ose pas fournir d'équivalence; en 2015 ça va être encore plus puissant paraît-il sur certaines composantes françaises; franchement où allons nous ? j'espère que le potus va frapper fort, un jour peut-être, pour montrer le chemin à suivre il a la capacité et le pouvoir pour le faire avant la fin de son mandant; il faut toujours espérer
Rédigé par : claude | 07 août 2010 à 22:09
@celine : l X est par nature rebelle est facecieuse...
Rédigé par : bloggy bag | 07 août 2010 à 20:59
Attila
Avez-vous pensé assurer votre ouïe ?….
Quelle question !
Pourquoi le ferais-je, alors que la surdité m’irait impec tant le bruit de fond que j’entends me deviens insupportable inaudible qu’il est.
La normalité serait pour moi que Mozart, Beethoven Schubert servent enfin de bruit de fond au monde…je n’en suis pas amoureux, j’aurais trop peur de tomber en désamour, ils me sont vitaux, essentiels, indispensables. Ils sont le fondement même de toute spiritualité.
Bizarre Attila qu’après tant et tant d’écrits sur le Sacripant on puisse encore y trouver notre part de subjectivité ?
Ce que j’écris sur Mozart ou d’Autres ne sont pas paroles d’évangiles, mais ma seule perception à un temps donné d’une de ses œuvres, en cela c’est subjectif.
A 9 ans j’aimais plus que tout la Neuvième de Schubert, cela m’est resté c’est un joyeux compagnon, mais il a fallu que j’arrive à 30 balais pour aimer Schubert dans ses autres œuvres…Ma perception à cet âge de la découverte n’était pas la même que celle d’aujourd’hui et sans doute découvrirai-je plus encore l'immanence de l' Adagio du Quintet à cordes de Franz à la dernière minute de mon existence.
Le sublime inégalé de cette œuvre magistrale me sera peut être plus irréfragable qu’il ne l’est aujourd’hui.
Vous le savez bien, on écrit que sur les gens célèbres, qui siècles passés, perdurent !
Il est hautement improbable qu’il en soit ainsi pour nous..
Ca me va très bien et vous ?
Au fait qu’est ce qu’elle à ma gueule ?
Rédigé par : Account Deleted | 07 août 2010 à 19:19
@Charlotte-G:
"je suis blanche, avec tous les papiers pour ne jamais me faire emmerder par quelque droite que ce soit et moi j'ai peur, alors..."
eh oui, quelle "chance" avons-nous, right?!
si tu savais combien de fois on m'a dit en ricanant à propos des gitans roumains:
"eh, Mélanie, j'ai vu tes ex-compatriotes à tel endroit, mais ils étaient plus "bronzés" que toi!":-(
===
J'apprends via "la dépêche" que le pas très "fresh" Georges s'offre Mao et Lénine à Montpellier parce qu'ils ont joué un rôle-clef dans l'histoire!!! à quand hitler et staline?!...☻:-(☻ HELP!!!
http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/07/885614-Freche-s-offre-Mao-et-Lenine-a-Montpellier.html
Rédigé par : Mélanie | 07 août 2010 à 18:44
http://joglesconneries.typepad.com/files/rio-bravo01.mp3
My riffle, my pony and me
Le soleil se couche à l'ouest
Le bétail descend à la rivière
La grive mauvis s'installe dans le nid
C'est le temps pour un cow-boy de rêver
Lumière pourpre dans le canyon
C'est là où j’ai envie d’être
Avec mes trois bons compagnons
Juste mon fusil, poney et moi
Allant j’accroche mon sombrero
Sur la branche d'un arbre
Je vais rejoindre mon logis et ma chérie.
Juste mon fusil, poney et moi
L’engoulevent dans le saule
Chante une douce mélodie
Je chevauche vers Amarillo
Juste mon fusil, poney et moi
Non, plus de vaches à « Ropin » '
Plus de bêtes égarées je verrai
Dans les méandres du fleuve
Pour mon fusil, poney et moi
Pour mon fusil mon poney et moi
Traduction tout à fait libre de ce qui est un petit chef d’œuvre…de film de Howard Hawks…
Le vieux qui chante c’est lui qui a composé Cindy…Wouaip !
Le jeunot c’est Ricky Nelson qui joue de la gratte…Wouaip, Wouaip
Et c’est le Dean qui a écrit la première chanson sur une musique de Dimitri Tiomkin. Wouaip, Wouaip, Wouaip.
Je suis gentil je vous évite le De guello !!
On n’est pas à Fort Alamo !
Le marlou à la voix sirupeuse Mesdames, c’est le pire ivrogne sympathique que je connaisse !
Un jour je vous mettrai un extrait de leur Ultimate Rat Pack aux trois salopards…Il ya a eu les douze au ciné mais eux étaient trois sur scène..Sammy Davis Junior, Dean Martin, et Franck Sinatra.
Rédigé par : Account Deleted | 07 août 2010 à 18:34
On est d'autant plus dans le pétrin, mon cher Robert Bizolier, que le système de propriété sur les semences érigé en dogme par Monsanto et Cie, ajouté aux jachères obligatoires de l'Europe actuelle ne permet pas de souplesse..... Comment les paysans (mot noble que je préfère à tout autre) vont-ils pouvoir acheter davantage de semence, cultiver davantage de terres pour regarnir nos greniers à blé?
Les politiques devraient prendre conscience très rapidement du caractère exceptionnel des difficultés actuelles pour revoir la loi au sujet des semences, et au sujet des terres cultivables, avant l'explosion (qui ne sera pas atomique, Céline.. mais humaine, simplement humaine).
Sinon, pour le clavier, il faut essayer la méthode du "retourné, tapoté", pour évacuer une quantité généralement astronomique de saletés accumulées !!!! ordinateur éteint bien entendu!!!! sinon, les touches se déclipsent facilement, surtout avec de bons ongles, on nettoie et le plus difficile est de replacer; mais c'est faisable (4 minuscules plots à encastrer). çà ne casse pas en général.
Rédigé par : Sélène | 07 août 2010 à 13:09
Ah Venise, l'arrivée au petit matin par le train de nuit... Tiens, j'y vais aussi de mon album nostalgie : http://ph.ris.free.fr/venise/FrameSet.htm
Rédigé par : Bloggy Bag | 07 août 2010 à 13:03
Je ne sais pas où vous en êtes mais moi j'ai l'impression que la moutarde me monte au nez, mercredi je suis allée à l'Ass Nat qui s'est assemblée en session extraordinaire pour parler de cette coalition que est en train de s'organiser avec l'extrême droite, y avait foule, personne n'en veut, mais c'est qd mm ce qui va se passer.... Je suis blanche, avec tous les papiers pour ne jamais me faire emmerder par quelque droite que ce soit et moi j'ai peur, alors... pour les autres, je ne peux mm pas commencer à piger... Et c'est partout pareil.
On va droit dans le mur de l'histoire
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 07 août 2010 à 12:42
"...et cela m’amuse un max d’imaginer votre tête à la lecture de mes conneries !" et nous on a difficile d'imaginer vos conneries à la lecture de votre tête si sympa et intelligente ! Avez-vous pensé assurer votre ouïe (wiwi... wifi ou high-fi) car il ne faudrait pas finir comme Beethoven qui n'entendait même pas sa musique. Tomber amoureux de son, fut-il musical, est-ce normal ? ... N'est-ce pas bizarre qu'il y ait des mozartiens ou autres ...iens qui ont écrit tant sur Mozart que lui-même ne s'y reconnaîtrait pas ? Cela s'applique aussi à Jésus et ses collègues. Ou dis-je une connerie ?
Rédigé par : attila | 07 août 2010 à 12:01
Julie, c'est de ma faute, si les sujets abordés dernierement sont legers, je me sens en vacances...
Céline, bien joli billet que le vôtre sur Hiroshima.
Charlotte, si vous n'aviez pas mis le NYTimes en ligne, je ne l'aurais pas fait, de peur d'être jugée trop partiale sur ce sujet brûlant!
Rédigé par : Anne Sinclair | 07 août 2010 à 11:55
@Robert Bisoulier,
excellent résumé, avec une conclusion réaliste et extra-lucide, congrats!
Quant à:"Là, on est vraiment dans le pétrin non?"- ma réponse serait:"oui, mais..."
Carpe diem, ici et maintenant! what else?!
Rédigé par : Mélanie | 07 août 2010 à 10:18
La petite Sasha est bien jolie… Marbella… ses boites la nuit, ses immenses yachts en plastic, ses Rolls plaquées or…Au moins aura-t-elle coupé à Cordoue, son quartier Juif et sa mosquée aux 600 colonnes, Cordoue rivale de Bagdad cité de Maimonide et d’Averroès, le temps des cultures mêlées. Elle aura évité Tolède et Grenade, Ah ! Grenade …El suspiro del Moro… « Pleure comme une Femme ce que tu n’as pas su défendre comme un homme » Grenade dont le poète dit qu’il veut y mourir au son de la cloche de la Vela…. Oui charmante Michèle et gentille Sasha vous aurez échappé à tout cela : bonnes vacances.
Rédigé par : penda | 07 août 2010 à 09:41
Bon ben alors Celine, ca va donner quoi si Dominique est elu en 2012 ? Il me semble qu'il les as deja les cheveux gris ! Ca faisait longtemps qu'on avait pas reparle de ca tiens...
Rédigé par : Account Deleted | 06 août 2010 à 21:39
@Fred-A,
merci d'avoir partagé vos belles photos avec nous autres... Je suppose que vous avez laissé les gondoles à Venise, comme chantaient Sheila&Ringo...:-)
Amitiés toulousaines back.
Rédigé par : Mélanie | 06 août 2010 à 21:10
http://news.cnet.com/8301-31921_3-20012583-281.html
Ceci devrait vous mettre en pétard...
Rédigé par : Ch | 06 août 2010 à 20:56
JE HAIS mon clavier qui fait des caprices ! Il tape ce qu'il veut et omet des lettres. Non, promis, ce n'est pas moi. Il fut un temps où il faisait la grève du X. Sérieux. Je devais taper 3 fois sur la touche x pour qu'il la mette à une taxe, à un mieux etc... Là, il me fait le même topo pour chaque lettre. Je mets 2 heures à poster !!! Et je ne relis pas toujours. Donc pardon pour les lettres manquantes. Du fond du coeur. Pardon. Pardon aussi pour les lettres qui n'ont à rien à faire là. On tape plus vite qu'un clavier capricieux, je vous le dis !!! Non, je ne cherche pas de mauvaises excuses !!! Non !!!! Je suis de bonne foi. Toujours. Eh oh ! Oui d'abord ! Qui me paye un nouveau clavier pour mon portable ? Hein ? Personne ?
Tout ça pour ça. J'aurais essayé. Tant pire. Je m'en retourne tapotter laborieusement avec mon capricieux clavier. Deux heures que je mets pour poster un truc à peu près correct !!! Deux heures !!! Et encore, je ne vais pas me relire car si je le fais, je ne poste pas. Allez, ça part. Anne, pardon encore...je suis une mauvaise mouche. Mais j'ai trouvé de belles m....pour me nourrir. Miam !!!! Ce soir, j'ai de quoi faire un festin de roi. Et ce n'est même pas mon anniversaire !!!!
Rédigé par : CelineElias | 06 août 2010 à 20:38
Avec ses nouvelles mesures sécuritaires, Nicolas Sarkozy «attise dangereusement les sentiments anti-immigrés», juge vendredi le New York Times, dans un éditorial qui condamne les «calculs politiques à court terme» du président français.
Le prestigieux quotidien new-yorkais dénonce en particulier le projet de retrait de la nationalité française aux délinquants d’origine étrangère coupables de polygamie, d’excision ou ayant atteint à la vie d’un membre des forces de l’ordre.
Rappelant qu’aux Etats-Unis la citoyenneté américaine, qu’elle soit de naissance ou acquise, est protégée par le 14e amendement, le New York Times écrit que «Nicolas Sarkozy, qui aime être appelé Sarko l’Américain, attise dangereusement les passions anti-immigrés pour des calculs politiques à court terme».
«Et ce, dans un pays qui a longtemps défendu avec orgueil le principe d’égalité devant la loi de tous les citoyens français», poursuit le journal, rappelant que Sarkozy a épousé une Italienne naturalisée Française, Carla Bruni, et a pour père un immigrant Hongrois, Pal, qui a également acquis la citoyenneté française.
Le principe d’égalité devant la loi «s’applique» à l’épouse et au père du président français «et doit s’appliquer à n’importe qui d’autre», tranche le New York Times.
Le quotidien revient également sur le démantèlement de camps illégaux de Roms et le renvoi de leurs occupants en Roumanie et en Bulgarie, «deux pays membres de l’Union européenne».
«Faire campagne contre les immigrés est populaire chez les électeurs français de souche et M. Sarkozy ne s’en est jamais caché. Il a bâti sa campagne présidentielle de 2007 sur son bilan d’homme à poigne (et aux mots incendiaires) lorsqu’il était ministre de l’Intérieur», poursuit le journal.
Mais alors que la cote de popularité du chef de l’Etat est «au plus bas» et que le Front National reprend des forces avec Marine Le Pen, «il est allé plus loin, inquiétant les membres de la droite traditionnelle».
Ces derniers, conclut le Times, «ont raison de s’inquiéter, et (M. Sarkozy) à tort d’ignorer leurs conseils de prudence».
Et pendant ce temps, l'extrême droite Hollandaise est entré en discussions pour former une coalition avec la droite normale et les chrétiens "démocrates".... En Belgique c'est pas mieux.... on va où?
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 06 août 2010 à 19:44
Oui, Mel. En ce jour, il faut se souvenir d'Enola Gay. Pas la chanson mais l'avion. Celui qui a largué la mort. Qui a initié le monde à ce qu'il est devenu depuis.
Le monde tel qu'on le connait depuis que nous sommes presque tous nés vit avec les stigmates d'Hiroshima. Plus jamais ça, disions-nous. Plus jamais ça disons-nous encore ? Oui dans l'absolu. Dans l'absolu, nous refusons tous, d'une même voix placée au-dessus de nos dirigeants, de considérer le nucléaire militaire comme dangereux. Alors que nous l'acceptons au quotidien. Il alimente nos PC, nos télés et tout ce qui nous relie de façon tellement factice parfois au monde.
De tout l'un ou tout l'autre devons-nous trancher ? Je trancherais dans le vif si l'on me disait que le nucléaire civil cachait des intentions mimitaires. Et je trancherais tout autant dans le vif si l'on me disait que le nucléaire militaire caché pouvait servir de force de négociation et de dissuasion face à d'autres forces nucléaires militaires. Je ne sais plus. Je n'ai sans doute jamais su.
Je me dis juste que ma visite à l'ONU en 1990 a fait pencher la balance du côté de ma survie. J'ai vu les ogives positionnées dans ma région. J'ai vu le monde capable d'imploser juste parce qu'on aura jouer à qui pisse le plus loin. J'ai entendu des responsables me dire que certaines guerres étaient truquées. J'ai entendu l'ONU m'avouer qu'on ne luttait pas pour sauver le monde mais pour sauver des "peanuts. Après, on se demande encore pourquoi je ne crois plus en l'ONU ????? Moi, les peanuts, je les mange. Je ne sauve pas une cacahuète pour sauver un pays. Je vis dans mes illusions. Et aucun Président d'aucun pays ne saura jamais me démontrer que les peanuts que je mange valent moins que les personnes réelles que je peux aider, à mon échelle. Et si on doit tous sauter dans un grand boum, je ne veux pas le savoir. J'en sais déjà beaucoup trop à mon goût !!!
Je déteste ceux qui ont découvert qu'on pouvait détruire le monde en appuyant sur un bouton. Je déteste ENOLA GAY.
Mais il faut qu'on se souvienne de cela. Tout le temps. Pour toujours.
Rédigé par : CelineElias | 06 août 2010 à 19:24
Bonjour à tous:
Je voudrais savoir pourquoi on parle de l'anniversaire du President quand cette semaine nous présente plusieurs événements et polémiques hyper-révelateurs des Etats-unis?
Cordoba Project à Ground Zero (son opposition mais aussi de son vote pour et unanime)
http://www.economist.com/node/16743239
Elena Kagan confirmée pour le Sénat
Prop 8 retiré en Californie
Et l'événement à la Maison Blanche pour l'Afrique http://www.nytimes.com/2010/08/06/world/africa/06forum.html?ref=world
Sinon, bon weekend à tous.
Rédigé par : Julie | 06 août 2010 à 19:19
http://www.dailymail.co.uk/tvshowbiz/article-1300920/Carla-Bruni-lands-hit-U-S-crime-series-CSI--writing-letter-Hollywood-executives-praising-show.html
Rédigé par : Charlotte Goulmy | 06 août 2010 à 18:26
So...
Happy anniversaire mister Président ! Je fais du Mélanie dans le texte (☺ :-)).
Je m'aperçois qu'il est quand même tout jeune, ce POTUS. Enfin, tout est relatif. Pour une gamine comme Clara (l'exemple est naturellement fortuit), c'est déjà un grand-père !!! Mais pour moi, c'est mon contemporain ou presque. Ca fait bizarre.
Pour vous, Anne, c'est un gamin, hein ? Et pour mon PPP, je n'ose y penser !!!!!!!!
Céline, allons, un peu de sérieux !!! L'heure est grave !
Le POTUS a pris des cheveux blancs depuis qu'il est...le POTUS ! Est-ce du à ses 49 étés d'existence ou à ses 6 saisons de présidence ? Je pencherais - allez savoir pourquoi ! - pour la deuxième option. Tous ceux que j'ai vus et connus et qui avaient un tant soit peu de pouvoir prenaient rapidement des rides et des cheveux blancs.
Ah c'qu'on est bien quand on est le bain !!! On envoie plein de bulles, on fait les sous-marins. Ah c'qu'on est bien quand on est le bain, on joue un peu des pouces pour les voisins....
J'ai une question qui me brûle les doigts : ils vont faire quoi l'an prochain pour ses 50 ans ????
Quant à Marbella...beurk ! C'est du ciment et rien d'autre. Très très surfait. Puerto Banus est plus "exotique" bien que surfait aussi d'ailleurs. La Costa Del Sol n'est pas jolie si on aime les espaces naturels. Il n'y a rien à voir. On peut apprécier la mer chaude et quelques restaurants sympas mais en dehors de ça...RAS. J'ai largement préféré pour ma part des petits coins perdus au-dessus de Fuengirola ou de Torremolinos, des villages "typiques" (je mets entre guillemets car le tourisme à outrance a dénaturé le typique) comme Mijas.
Mais bon, quand on est dans le people, il faut être là où sont les peoples. Et se montrer. Se cacher quand on est les personnes les plus en vue de la planète équivaut sans doute à dérouter les journalistes et les curieux vers des endroits encore sains. S'il en existe. Ce serait une TRES mauvaise idée. TRES TRES TRES mauvaise. Laissons encore quelques endroits sur la planète libres de toute incursion médiatique et, in extenso, de toute dérive touristique.
Finalement, Marbella, c'est parfait ! ☺☺☺
Rédigé par : CelineElias | 06 août 2010 à 17:15
ATLANTA -- Atlanta police are looking for a robber who got away with cash from a Wendy’s restaurant on Piedmont Road. The suspect was apparently upset with his haul and minutes after the robbery called the restaurant back to complain.
Saturday night, the masked man walked up to the clerk working the drive-through window, pulled a gun and demanded money.
He got away on foot.
Police said he later called the fast food restaurant to complain about the lack of cash. In one call he said "next time there better be more than $586." Police said he made "a similar threat" in the second call.
Rédigé par : Charlotte | 06 août 2010 à 16:30